Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Ouest France
par Thierry Cheze
Patricio Guzman fait dialoguer passé et présent dans un geste de cinéma passionné.
L'Humanité
par Marie-José Sirach
En 1972, Patricio Guzman avait filmé la Bataille du Chili. En octobre 2019, un mouvement de contestation sans précédent secoue le pays. De ce matériau, le réalisateur signe une fresque poétique et politique sur un pays qui retrouve sa mémoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Patricio Guzman signe un très beau documentaire, aux images et à la bande-son soignées, qui vaut autant par le témoignage d’une histoire en marche que par les résonances qu’il fait vibrer chez le cinéaste, entre passé et présent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Guzman, qui a vu en son temps verser le sang de ses camarades et étouffer dans l’œuf l’espoir démocratique exactement pour les mêmes raisons, filme tout cela comme en retenant son souffle. Son film se regarde dans les mêmes dispositions.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Témoin infatigable des évolutions de la société chilienne, Guzman évoque une nouvelle fois sa terre natale dans « Mon pays imaginaire ». Il signe un documentaire engagé dont la concision sert au mieux la puissance du propos.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Tout commence et se termine par les morceaux de pavés, une pierre superbement filmée, statique, ruisselante, poids et symbole d’une révolte qui agite les rues. Puis des plans plus prosaïques recueillent les témoignages de femmes, une parole précise qui remet à hauteur la force du peuple.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Résultat : un film passionnant qui témoigne avec vigueur du désir démocratique dans un pays encore traumatisé par les longues années de dictature.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Dominique Martinez
On sent l’émotion et l’espoir de filmer ce réveil chilien, de toucher du doigt la possibilité qu’advienne la société plus juste tant espérée.
Première
par Gael Golhen
Ce cri de douleur et d’espoir se révèle aussi beau que ses essais philosophiques précédents dont ce Pays Imaginaire (utopie qui renvoie autant au futur rêvé qu’au Chili de demain) pourrait être une coda brute et réelle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par François Ekchajzer
À travers les manifestations de 2019 au Chili, Patricio Guzmán montre la soif de démocratie de son pays. Avec force et poésie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Rythmé par la parole de différents acteurs du soulèvement [...], scrutant chaque étape qui a mené à l’écriture de la nouvelle Constitution, le film touche d’autant plus que l’on sait désormais que sa bataille fut soldée comme la première par son lot de désillusions et par cet aveu silencieux qui semble traverser le film comme un principe de fatalité et de mélancolie : à l’instar de la plage sous les pavés, le pays d’idéal et de songes rêvé par Guzmán restera imaginaire.
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
À travers ses mots, se dessine en creux le portrait d’un artiste [...] se reprenant à rêver tout en sachant par expérience que les promesses d’un monde meilleur sont bien souvent effacées par les forces les plus réactionnaires. En attendant que tout ceci devienne un jour réalité, il reste au cinéaste, et à ses spectateurs, l’un des plus beaux des pays imaginaires qui soient : son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
Le Chili d’Allende est-il encore vivant ? Guzmán enquête et nous communique sa foi en l’avenir. On sort de là le poing levé et le sourire aux lèvres.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
La principale qualité de ce documentaire réside ainsi dans cette capacité à ne pas se focaliser sur l’instant (même si la tension des manifestations est parfaitement restituée), mais à enregistrer une constance historique, une force irrépressible en faveur de la liberté et de l’égalité.
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Filmant l’explosion sociale au plus près, avec de fortes séquences (la course d’un véhicule blindé, caillassé, dans une avenue qu’il asphyxie de lacrymos ; la chute d’une palissade, tel un nouveau mur de Berlin), le documentariste sonde aussi une vingtaine de témoins.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un touchant “film de retrouvailles”, hélas un peu pauvre dans sa forme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Si le film est précieux d’un point de vue informatif, introduisant son public aux grandes lignes du déroulé du mouvement [...] Mon pays imaginaire semble en rester à la surface des événements, comme à celle des images, survolant l’histoire récente comme ses plans de drones survolent Santiago.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le mot dignité revient sans cesse à travers la parole de ces femmes qui ont tant à dire devant la caméra de Patricio Guzmàn. À plus de 80 ans, le cinéaste chilien filme ce par quoi son pays se réveille. Sa jeunesse et ses femmes...
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
La démarche de Patricio Guzmán est sincère et louable et son talent de documentariste indéniable, malgré un propos manquant d’analyse politique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Patricio Guzmán échoue néanmoins à faire advenir de l’intime au cœur de la trajectoire historique et collective, les témoignages ne finissant plus par produire que du discours idéologique, dont la valeur performative reste incertaine.
Ouest France
Patricio Guzman fait dialoguer passé et présent dans un geste de cinéma passionné.
L'Humanité
En 1972, Patricio Guzman avait filmé la Bataille du Chili. En octobre 2019, un mouvement de contestation sans précédent secoue le pays. De ce matériau, le réalisateur signe une fresque poétique et politique sur un pays qui retrouve sa mémoire.
La Croix
Patricio Guzman signe un très beau documentaire, aux images et à la bande-son soignées, qui vaut autant par le témoignage d’une histoire en marche que par les résonances qu’il fait vibrer chez le cinéaste, entre passé et présent.
Le Monde
Guzman, qui a vu en son temps verser le sang de ses camarades et étouffer dans l’œuf l’espoir démocratique exactement pour les mêmes raisons, filme tout cela comme en retenant son souffle. Son film se regarde dans les mêmes dispositions.
Les Echos
Témoin infatigable des évolutions de la société chilienne, Guzman évoque une nouvelle fois sa terre natale dans « Mon pays imaginaire ». Il signe un documentaire engagé dont la concision sert au mieux la puissance du propos.
Les Inrockuptibles
Tout commence et se termine par les morceaux de pavés, une pierre superbement filmée, statique, ruisselante, poids et symbole d’une révolte qui agite les rues. Puis des plans plus prosaïques recueillent les témoignages de femmes, une parole précise qui remet à hauteur la force du peuple.
Marianne
Résultat : un film passionnant qui témoigne avec vigueur du désir démocratique dans un pays encore traumatisé par les longues années de dictature.
Positif
On sent l’émotion et l’espoir de filmer ce réveil chilien, de toucher du doigt la possibilité qu’advienne la société plus juste tant espérée.
Première
Ce cri de douleur et d’espoir se révèle aussi beau que ses essais philosophiques précédents dont ce Pays Imaginaire (utopie qui renvoie autant au futur rêvé qu’au Chili de demain) pourrait être une coda brute et réelle.
Télérama
À travers les manifestations de 2019 au Chili, Patricio Guzmán montre la soif de démocratie de son pays. Avec force et poésie.
Cahiers du Cinéma
Rythmé par la parole de différents acteurs du soulèvement [...], scrutant chaque étape qui a mené à l’écriture de la nouvelle Constitution, le film touche d’autant plus que l’on sait désormais que sa bataille fut soldée comme la première par son lot de désillusions et par cet aveu silencieux qui semble traverser le film comme un principe de fatalité et de mélancolie : à l’instar de la plage sous les pavés, le pays d’idéal et de songes rêvé par Guzmán restera imaginaire.
Culturopoing.com
À travers ses mots, se dessine en creux le portrait d’un artiste [...] se reprenant à rêver tout en sachant par expérience que les promesses d’un monde meilleur sont bien souvent effacées par les forces les plus réactionnaires. En attendant que tout ceci devienne un jour réalité, il reste au cinéaste, et à ses spectateurs, l’un des plus beaux des pays imaginaires qui soient : son cinéma.
L'Obs
Le Chili d’Allende est-il encore vivant ? Guzmán enquête et nous communique sa foi en l’avenir. On sort de là le poing levé et le sourire aux lèvres.
La Septième Obsession
La principale qualité de ce documentaire réside ainsi dans cette capacité à ne pas se focaliser sur l’instant (même si la tension des manifestations est parfaitement restituée), mais à enregistrer une constance historique, une force irrépressible en faveur de la liberté et de l’égalité.
La Voix du Nord
Filmant l’explosion sociale au plus près, avec de fortes séquences (la course d’un véhicule blindé, caillassé, dans une avenue qu’il asphyxie de lacrymos ; la chute d’une palissade, tel un nouveau mur de Berlin), le documentariste sonde aussi une vingtaine de témoins.
Les Fiches du Cinéma
Un touchant “film de retrouvailles”, hélas un peu pauvre dans sa forme.
Libération
Si le film est précieux d’un point de vue informatif, introduisant son public aux grandes lignes du déroulé du mouvement [...] Mon pays imaginaire semble en rester à la surface des événements, comme à celle des images, survolant l’histoire récente comme ses plans de drones survolent Santiago.
Sud Ouest
Le mot dignité revient sans cesse à travers la parole de ces femmes qui ont tant à dire devant la caméra de Patricio Guzmàn. À plus de 80 ans, le cinéaste chilien filme ce par quoi son pays se réveille. Sa jeunesse et ses femmes...
aVoir-aLire.com
La démarche de Patricio Guzmán est sincère et louable et son talent de documentariste indéniable, malgré un propos manquant d’analyse politique.
Transfuge
Patricio Guzmán échoue néanmoins à faire advenir de l’intime au cœur de la trajectoire historique et collective, les témoignages ne finissant plus par produire que du discours idéologique, dont la valeur performative reste incertaine.