Avis : Spider-Man - Page 6

C'est LE FILM de mon enfance , ce film est tous simplement génial.
Un casting parfait , un scénario impeccable.
Je l'ai revu y a pas longtemps , je le trouve toujours aussi génial.
Il est sorti à une époque où Marvel sortait de son (trou)
et c'est Spiderman qui s'en sortait le mieux (box office , histoire ,etc)
Bref , pour le peu de personne qui hésite encore à le voir allez-y foncez vous en aurez pour votre argent .

De toutes les adaptations de super-héros au cinéma, l'Araignée se révèle sans doute la meilleure, parce que le film privilégie la psychologie des personnages de façon habile, notamment les états d'âme de Peter Parker et sa relation compliquée avec Mary Jane le rendant ainsi très humain, fidèle à l'image perçue dans le comics, au détriment d'une surenchère de fx (pourtant bien présents). Réalisé par un véritable fan, l'auteur de la trilogie "Evil Dead" a réussi un cocktail divertissant et savamment équilibré de poésie (le fameux baiser à l'envers), d'aventure, de romance (le personnage de Mary Jane a attiré un public féminin habituellement peu porté sur les super-héros), et de mélancolie, racontant l'histoire d'un garçon ordinaire qui devient extraordinaire. Le choix de Tobey McGuire peut s'avérer pour cela judicieux, bien qu'il soit dénué de tout charisme. Les autres acteurs sont très bons, notamment Willem Dafoe en savant inquiétant qui devient l'instable Bouffon Vert. Carton justifié donc pour cette équipe gagnante qui se reformera pour 2 suites.

Excellent casting, excellent scénario. Chef d'oeuvre des films de super héros. C'est lui le "amazing" spider man !

Film qui se laisse voir avec une cible orientée vers les adolescents. Les effets spéciaux ont un peu vieilli aujourd'hui, quand spiderman saute de toit en toit on se croit dans un jeu video. Personnellement je trouve le costume du méchant ridicule, on se rapproche plus du manga que du comic. Et le fondu au noir sur le drapeau américain, c'est dingue ca me fera toujours rire...

Pas pu m'empecher de couper avant la fin..... Hollywood nous passe en revue a coups de millions de dollars tous les super heros possibles un a un. C'est tous les memes films. De l'action,des effets spéciaux, une histoire a l'eau de rose, de l'émotion, ect...,ect... On mélange le tout et voila.

Le scénario n'est pas original mais le résultat est néanmoins réussi, on est bluffé.

Une fois sorti de la salle obscure j'étais content d'avoir vu Spider-Man car à la base il m'attirait peu mais il faut avouer que ce film de super-héros et rondement mené, tant au niveau de l'interprétation que de la mise en scène ce 1er opus est une belle réussite et l'action remarquable. Dommage que les 2 suites ne seront pas aussi réussies.

Un vrai film de super-héros comme on les aime. Avec action, méchants et rebondissements. Alors les bons sentiments sont peut-être un peu trop présents, mais ça reste très bien.

Spiderman de Sam Raimi réalise un premier film réussi sur le plus connu des super-heros. Certes les effets spéciaux de 2002 ne sont plus les effets spéciaux de 2016 (on voit quand c'est fait par ordinateur ou le costume du bouffon vert façon bioman), mais Sam Raimi se concentre sur les personnages notamment Peter Parker. Tobey Maguire arrive à faire passer les émotions de colère, de naïveté, d'humour dans le même personnage de manière parfaite. La scène du baiser reste une des scènes cultes du cinéma de ces dernières années. Cet Spiderman a lancé les films de super-héros qui prolifèrent ces dernières années

J'avais beaucoup aimé cette version à sa sortie, toujours aussi bonne aujourd'hui malgré le remake. Les rôles sont bien choisis, surtout celui du rédacteur en chef. Un bon humour, une bonne histoire et un très bon divertissement. Il y a un peu de superflu et de naïveté mais on sent un vrai travail de mise en scène et surtout dans la gestuelle et les pauses de Spider-Man.

Après une sérieuse période de disette, les super-héros sont revenus à la mode depuis la réussite du "X-Men" de Bryan Singer. Le moment était donc idéal pour s’attaquer à l’une des plus vieilles arlésiennes d’Hollywood : l’adaptation de Spider-Man. Exit James Cameron qui avait initié le projet, qui se voit remplacé par Sam Raimi (le papa des "Evil Dead"), soit un choix à la fois logique et audacieux, le réalisateur n’ayant jamais été à la tête d’une si grosse production. Et le résultat est une incontestable réussite, à commencer par un casting particulièrement pertinent avec un Tobey Maguire parfait dans le double rôle du timide Peter Parker et de son alter ego Spider-Man, la belle Kirsten Dunst en fiancée du héros (leur relation est d’ailleurs traité avec beaucoup de subtilité), la révélation James Franco épatant dans le rôle pourtant mineur du meilleur ami torturé, Willem Dafoe qui cabotine avec bonheur en Bouffon vert (et qui parvient à faire oublier un costume un peu ridicule), Rosemary Harris en indispensable Tante May et surtout l’hilarant J.K. Simmons en irascible rédacteur en chef (il s'arroge les scènes les plus drôles du film). Mais le principal défi de "Spider-Man" résidait bien évidemment dans la capacité du réalisateur à faire vibrer le public en le balançant de building en building à coup de toile. La mise en scène énergique appuyée par la superbe BO de Danny Elfman et d’impeccables effets spéciaux assurent le spectacle. Mais le film ne se résume pas à une succession de scène d’action puisque Sam Raimi n’a pas oublié de soigner l’intrigue et plus précisément ses personnages. Le conflit intérieur de Peter, résumé par la réplique "un grand pouvoir implique de grandes responsabilités", est au centre de toutes les attentions du réalisateur, tout comme les complexes d’Harry vis-à-vis de son père. Résultat ? On réussit à s'identifier aux personnages ! On a donc droit à un grand divertissement particulièrement spectaculaire qui ne néglige pas le fond… soit un exemple quasi-inédit jusque-là à Hollywood et qui révolutionnera la façon d’aborder les comics au cinéma !

Certainement un des meilleurs films de super héros, Spider Man montre beaucoup la vie de Peter Parker ce qui rend le personnage plus attachant, par rapport à un film de super heros banal.

Ce premier volet a ramassé une sacrée claque avec le temps. Visuellement ( effets spéciaux ) mais aussi d'un point de vue scénaristique. Beaucoup de second degré, que se soit dans les combats ou les dialogues. On joue des clichés, on s'en amuse, et sa fonctionne. La première partie sur les malheurs de l'adolescence de son héros est fichtrement bien foutue, j'ai beaucoup rit et les métaphores pleuvent ... La suite est plus conventionnelle mais tout autant agréable à suivre. La mise en scène de Raimi était assez innovante pour l'époque et à influencé pas mal de réalisateur par la suite. Les comédiens sont pas bien aidés par les niaiseries de leurs personnages respectifs, mais il n’empêche qu'ils s'en sortent plus que bien. Kirsten Dunst à un jolie minois et un talent monstre, dommage q'elle soit cantonné à la cruche de service ici, mon seul véritable regret.

Après de nombreuses d’années de blocages juridiques, Columbia récupère en 1999 les droits d’adaptation de l’homme-araignée et jette son dévolu sur Sam Raimi l’année suivante, avec un flair manifeste. Grand fan de l’œuvre originale, son film, qui réuni un excellent casting à tous les niveaux, est une totale réussite aussi bien scénaristique qu’artistique. Avec un tel univers, les effets spéciaux ont forcément une place importante mais l’évolution de Peter Parker prend ici largement le dessus sur l’action et le spectaculaire. Et c’est là toute la force et l’intelligence de « Spider-Man », aussi rationnel que le choix de Tobey Maguire pour l’incarner à la vue de sa performance à l’écran. L’un des grands films de super-héros.

"Spider-man" premier du nom réalisé par Sam Raimi et sorti en 2002 est une pure réussite. Avec "X-Men" de Bryan Singer, c'est le film qui aura engendré toute une génération de films super-héroïques (à l'heure où j'écris cette critique s'apprête à sortir le sixième film consacré au tisseur..). Le métrage raconte l'histoire de Peter Parker, orphelin élevé par son oncle et sa tante, timide et remarquablement intelligent, qui se fera un jour mordre par une araignée génétiquement modifiée. L'accident lui confèrera des super-pouvoirs arachnoïdes et l'invitera à réfléchir sur le sens des responsabilités liées aux grands pouvoirs. L'histoire est très bien racontée : c'est un véritable parcours du héros que Peter réalise. La notion de paternité est centrale dans le film ; elle s'illustre d'abord par Ben Parker, père de substitution dont les paroles dirigeront la vie de Peter, mais aussi par Norman Osborn, père de son ami d'enfance Harry, qui va vite nouer avec lui une relation alternant entre respect et amitié. L'amour est aussi un fil conducteur du film car Peter étant éperdument amoureux de Mary-Jane Watson, il fera d'abord tout son possible pour l'impressionner spoiler: (chercher des voitures d'occasion dans les journaux)
puis il deviendra son 'fidèle serviteur' sous le masque du Tisseur.. spoiler: La scène où MJ avoue à Peter qu'elle est tombée amoureuse de Spider-Man est remarquablement intelligente car elle illustre toute l'ambigüité du personnage.
Et que serait un bon film de super-héros sans un méchant digne de ce nom.. Devenu physiquement évolué et schizophrène suite à un accident de laboratoire, Norman Osborn est un personnage complexe et torturé. On sent qu'il lutte pour que le Bouffon ne prenne pas l'avantage sur lui spoiler: (les scènes où il est seul chez lui à se parler à lui-même sont à la fois terrifiantes et très bien pensées)
mais les différents échecs liés à sa vie privée spoiler: (la perte de sa femme, la distance avec son fils)
et professionnelle spoiler: (le rachat d'Oscorp)
le pousseront à extérioriser son mal intérieur sous la forme du super-vilain, dont le design a par ailleurs génialement été réinventé par rapport au comics. Une sorte de parallélisme va s'installer entre lui et Spider-Man : spoiler: il voudra d'abord faire rejoindre Spider-Man à sa cause, puis voyant qu'il a échoué le détruire psychologiquement (s'attaquer à ses proches pour lui montrer qu'il connaît son identité secrète, le pousser au choix en menaçant la femme qu'il aime et un téléphérique d'enfants anonymes innocents). Le duel final dans l'entrepôt abandonné est un grand moment de cinéma : les masques tombent, le sang coule et certaines blessures resteront ouvertes à jamais.
Le casting de ce film est absolument parfait : Tobey Maguire campe un Peter Parker maladroit, torturé mais aussi naturellement bon, Kirsten Dunst est impeccable dans le rôle de MJ, elle ne tombe pas dans le rôle cliché de la demoiselle en détresse que le héros doit sauver, Cliff Robertson est quant à lui quasi-divin en Oncle Ben (la scène de sa mort reste selon moi l'une des scènes les plus émouvantes jamais vues dans un film), James Franco colle parfaitement à la peau du personnage d'Harry Osborn comme fils de riche toujours un peu dépassé par la situation et enfin Willem Dafoe est absolument parfait dans le rôle d'Osborn senior/Green Goblin : il peut se montrer émouvant, chaleureux et brillant mais aussi démoniaque, calculateur et surtout très puissant. La BO signée Danny Elfman est entraînante, les scènes d'action sont réalistes et le montage offre des idées intéressantes (la musique rythmée lors de sa première ascension sur le mur, brillant). Pas besoin de s'éterniser plus pour dire qu'on tient là un grand film.