Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une comédie sociale tragicomique, qui l’air de rien, sur un ton léger, dit des choses importantes sur l’état déliquescent du travail.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Jacques Gamblin infuse une belle qualité de tendresse dans cette histoire simple et touchante.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Zita Hanrot investit le tragique de la situation, Jacques Gamblin son absurdité comique. Il est formidable en senior funambule, dans sa bulle, si léger qu’il ne peut pas tomber.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une savoureuse comédie sociale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par François Forestier
Florence Vignon, actrice et scénariste passée derrière la caméra, observe avec acuité la houle sociale qui bouscule les personnages.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Une fable revigorante, comme un antidote à une époque dont elle dépeint la dureté avec lucidité.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Malgré ses bonnes intentions et deux comédiens formidables, le premier long-métrage de Florence Vignon ne nous séduit pas complètement.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Malgré un manque de rythme général et des personnages secondaires bien fades, cette comédie dramatique vaut pour la rencontre de deux solitudes, qui confrontent leurs choix de vie face au déterminisme social et familial.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Bien interprété et bien éclairé, « L'Homme debout » n'a rien de déplaisant, néanmoins il ne parvient jamais à imposer à l'écran sa « nécessité ».
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Thierry Chèze
Juste quand il parle du monde de l’entreprise ou dans les moments plus poétiques traduisant le cerveau vagabondant de son héroïne, le film souffre de personnages secondaires trop caricaturaux qui en affaiblissent la portée. Inégal donc.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Nicolas Didier
Même en faisant abstraction de cette étrange inversion des revendications, le film, adapté d’un roman de Thierry Beinstingel, s’avère trop écrit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par M. Jo.
Croyant observer lucidement un monde du travail malmené par le néolibéralisme, Florence Vignon vide son film de toute substance politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une comédie sociale tragicomique, qui l’air de rien, sur un ton léger, dit des choses importantes sur l’état déliquescent du travail.
Femme Actuelle
Jacques Gamblin infuse une belle qualité de tendresse dans cette histoire simple et touchante.
Le Dauphiné Libéré
Zita Hanrot investit le tragique de la situation, Jacques Gamblin son absurdité comique. Il est formidable en senior funambule, dans sa bulle, si léger qu’il ne peut pas tomber.
Les Fiches du Cinéma
Une savoureuse comédie sociale.
L'Obs
Florence Vignon, actrice et scénariste passée derrière la caméra, observe avec acuité la houle sociale qui bouscule les personnages.
Télé 7 Jours
Une fable revigorante, comme un antidote à une époque dont elle dépeint la dureté avec lucidité.
La Voix du Nord
Malgré ses bonnes intentions et deux comédiens formidables, le premier long-métrage de Florence Vignon ne nous séduit pas complètement.
Le Journal du Dimanche
Malgré un manque de rythme général et des personnages secondaires bien fades, cette comédie dramatique vaut pour la rencontre de deux solitudes, qui confrontent leurs choix de vie face au déterminisme social et familial.
Les Echos
Bien interprété et bien éclairé, « L'Homme debout » n'a rien de déplaisant, néanmoins il ne parvient jamais à imposer à l'écran sa « nécessité ».
Première
Juste quand il parle du monde de l’entreprise ou dans les moments plus poétiques traduisant le cerveau vagabondant de son héroïne, le film souffre de personnages secondaires trop caricaturaux qui en affaiblissent la portée. Inégal donc.
Télérama
Même en faisant abstraction de cette étrange inversion des revendications, le film, adapté d’un roman de Thierry Beinstingel, s’avère trop écrit.
Le Monde
Croyant observer lucidement un monde du travail malmené par le néolibéralisme, Florence Vignon vide son film de toute substance politique.