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4,0
Publiée le 05/10/2007
Le réalisateur Raoul Ruiz nous offre une lecture surprenante et personnelle du roman de Giono avec des acteurs inégaux. En effet, autant Laeticia Casta ravit (une étoile est née...) autant Arielle Dombasle déçoit voire agace quelque peu... En dépit de quelques petites imperfections, ces "Ames fortes" sont une réussite...
Mon premier Raoul Ruiz et je n'ai pas ete decue. Pour son premier film Casta s'en sort plus que bien. Par contre Diefenthal ca n'est pas possible. Il est vraiment mauvais. Il recite son texte.
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2,5
Publiée le 18/11/2017
La réalisation est belle en revanche on ne comprend pas toujours les actions et les réactions des personnages. Il me semble qu' il manque des éléments pour que l' histoire fonctionne. Dommage le style m'avait vraiment accroché et si Laetitia Casta montre parfois ses limites elle a aussi des moments de grâce brillants.
Une particularité de ce film concerne la bande son, qui utilise, en partie, plusieurs airs tirés de la musique traditionnelle du comté de Nice et du Piémont. Voir les détails à cette adresse :
http://mtcn.free.fr/mtcn-musique-traditionnelle-cinema-films.php
Ce film est un peu trop fouillé et trop long à mon goût, mais j'ai trouvé le jeu des acteurs très convainquant, en particulier celui de Laetitia Casta... Je l'avais pris parce que j'adore Giono et le film est tiré d'un de ses romans. On y retrouve bien sa poésie...
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43 abonnés
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1,0
Publiée le 25/07/2005
ennuyeux! de plans solennels en jeux d´acteurs sans interet, de musique nulle en grand panorama digne d´un documentaire de tourisme...heureusement que casta est la, impeccable et rejouissante de talent.
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0,5
Publiée le 14/06/2005
Quel bonheur de voir évoluer des acteurs aussi fantastiques que Diefenthal Casta et Dombasle, de l'actor studio en puissance, des génies! Non, je déconne ils sont misérables, tout comme le scénar de ce film archi pourri
Comment est-ce possible un tel désastre avec un auteur aussi grand? quand on connait la philosophie qui habite Giono...Mais je suis sortie triste, confuse, désenchantée en fait. Où sont-ils les artistes français du vingt-cinquième siècles? où sont les monstres sacrés?
Dur, dur de voir un film pareil quand on n'est pas vraiment en pleine forme.
C'est simple, je me suis ennuyé du début à la fin
on ne sait pas vraiment ce qui motive les personnages, on les devine à peine, les images sont jolies, mais insignifiantes, le jeu des figurants et des acteurs maladroit.
Raoul Ruiz a beau soigner ses éclairages et faire virevolter gracieusement sa caméra, ça ne suffit pas pour donner corps à un scénario mal découpé qui donne naissance à une histoire sans souffle, sans signification, et mal racontée. Et que dire de cette Provence sans accent, en VF, où les acteurs, à part Laetitia Casta, ne font guère plus que le minimum syndical ?
Voyons, voyons, le scénario.. non; le jeu d'acteurs... non; l'humour... non; Laetitia Casta... non; les effets spéciaux (ah, ah, ah)... non; l'histoire... non. Euuuh... ah oui, les décors sont bien.
Je sors de la projection des Ames Fortes. A la fin de la projection, n'ayant rien compris au film, je me suis retourné vers les autres spectateurs à mes côtés. Je leur ai demandés s'ils avaient compris quelque chose, et qu'elle n'a pas été ma surprises quand ils m'ont Tous confié n'avoir rien, mais alors rien, compris à l'intrigue !!! C'est scandaleux de distribuer un film aussi raté ! Si des personnes le désirent, qu'elles m'expliquent un peu...
Peut-être faut-il avoir lu le livre pour comprendre cette histoire ?
J'ai cependant été très sensible à cette étrange Provence des années 1880; à la fois noire et ensoleillée... On s'y croirait.
Certes les images d'antan sont belles, rustiques et provençales à souhait. Mais, s'il n'y avait le grand écran, on se croirait dans un téléfilm, qui vous laisse le temps d'aller prendre une boisson fraiche dans votre frigo ou de vous couper un ongle... La complexité est de rigueur dans les relations entre les personnages mais on s'y intéresse si peu. D'autant que certaines niaiseries déflorent les passions de ces soit disant âmes fortes.
Comme Ruiz est décevant depuis Le temps retrouvé...