Le Fils de l’épicière, le maire, le village et le monde : Critique presse
Le Fils de l’épicière, le maire, le village et le monde
Note moyenne
3,0
12 titres de presse
L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Positif
Cahiers du Cinéma
La Croix
Le Journal du Dimanche
Libération
L'Obs
Le Monde
Première
aVoir-aLire.com
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12 critiques presse
L'Humanité
par Sophie Joubert
Avec ses vignes, son clocher, le bruit d’une mobylette dans les rues désertes un soir de pleine lune, l’enseigne du tabac qui clignote entre chien et loup, Lussas est un formidable décor de cinéma. Et ses habitants, autant de personnages (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Entre culture et agriculture, Claire Simon traque avec talent l’humain et son environnement.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Que voulons-nous, Françaises et Français ? Quel prix souhaitons- nous encore accorder à la culture tout en permettant aux villages de continuer à vivre de l’agriculture ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Baptiste Roux
Chronique généreuse d’une aventure humaine, Le Fils de l’épicier... pointe moins les limites de l’utopie qu’il n’acte l’infranchissable barrière entre les détenteurs du capital culturel et les autres.
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
La réalisatrice capte autant la passion que les doutes et les épuisements face aux compromis ou aux impondérables.
La Croix
par Céline Rouden
Doit-on sacrifier l’utopie de départ aux impératifs économiques pour assurer la pérennité de l’entreprise ? La question, en filigrane, se pose aussi pour les agriculteurs et viticulteurs des environs qui subissent de plein fouet les contraintes de la mondialisation. Elle permet à Claire Simon d’élargir son propos, qui pourrait paraître autrement microcosmique, à l’avenir de la ruralité (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Les espoirs et les questions glanés en chemin, relatifs à la visibilité sociale et la diversité culturelle, valent le détour.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Anne Diatkine
La toile tissée ainsi est parfois si lâche qu’elle cesse d’être accueillante et paraît céder pour laisser place à un magma où le spectateur peut peiner à trouver sa place.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par François Forestier
Certes, on est de tout cœur avec les organisateurs de ce projet dans une France très rurale, mais assister aux discussions, à la recherche de fonds, au travail de construction, c’est tout sauf un spectacle. Sujet d’article ? Oui. Sujet de film ? Non.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Hormis le talent propre de la réalisatrice (...) rien ne distingue vraiment le film d'un rapport d'activité ou d'une bande institutionnelle, faute d'un regard plus critique, dont l'adhésion avec son sujet ne serait pas acquise d'emblée.
Première
par Thierry Chèze
Un format série aurait été plus approprié pour sortir d’un côté entre- soi et tendre vers son ambition d’un propos plus universel à partir de ce lieu singulier.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un récit militant sur la fabrique d’une plateforme ardéchoise de films documentaires, en faveur de laquelle Claire Simon ne parvient pas à emporter son spectateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
Avec ses vignes, son clocher, le bruit d’une mobylette dans les rues désertes un soir de pleine lune, l’enseigne du tabac qui clignote entre chien et loup, Lussas est un formidable décor de cinéma. Et ses habitants, autant de personnages (...).
Les Fiches du Cinéma
Entre culture et agriculture, Claire Simon traque avec talent l’humain et son environnement.
Les Inrockuptibles
Que voulons-nous, Françaises et Français ? Quel prix souhaitons- nous encore accorder à la culture tout en permettant aux villages de continuer à vivre de l’agriculture ?
Positif
Chronique généreuse d’une aventure humaine, Le Fils de l’épicier... pointe moins les limites de l’utopie qu’il n’acte l’infranchissable barrière entre les détenteurs du capital culturel et les autres.
Cahiers du Cinéma
La réalisatrice capte autant la passion que les doutes et les épuisements face aux compromis ou aux impondérables.
La Croix
Doit-on sacrifier l’utopie de départ aux impératifs économiques pour assurer la pérennité de l’entreprise ? La question, en filigrane, se pose aussi pour les agriculteurs et viticulteurs des environs qui subissent de plein fouet les contraintes de la mondialisation. Elle permet à Claire Simon d’élargir son propos, qui pourrait paraître autrement microcosmique, à l’avenir de la ruralité (...).
Le Journal du Dimanche
Les espoirs et les questions glanés en chemin, relatifs à la visibilité sociale et la diversité culturelle, valent le détour.
Libération
La toile tissée ainsi est parfois si lâche qu’elle cesse d’être accueillante et paraît céder pour laisser place à un magma où le spectateur peut peiner à trouver sa place.
L'Obs
Certes, on est de tout cœur avec les organisateurs de ce projet dans une France très rurale, mais assister aux discussions, à la recherche de fonds, au travail de construction, c’est tout sauf un spectacle. Sujet d’article ? Oui. Sujet de film ? Non.
Le Monde
Hormis le talent propre de la réalisatrice (...) rien ne distingue vraiment le film d'un rapport d'activité ou d'une bande institutionnelle, faute d'un regard plus critique, dont l'adhésion avec son sujet ne serait pas acquise d'emblée.
Première
Un format série aurait été plus approprié pour sortir d’un côté entre- soi et tendre vers son ambition d’un propos plus universel à partir de ce lieu singulier.
aVoir-aLire.com
Un récit militant sur la fabrique d’une plateforme ardéchoise de films documentaires, en faveur de laquelle Claire Simon ne parvient pas à emporter son spectateur.