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    Drive My Car
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    PIERRE-QUI-ROULE
    PIERRE-QUI-ROULE

    59 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 août 2021
    Un film prétentieux et sans saveur sur fond de la pièce 'Oncle Vania' de Tchekhov.. Tout le monde sait que le choix des films de Cannes cuvée 2021 était médiocre, mais pas à ce point là !

    Après 3h de supplice, le film termine sur un ton d'optimisme sirupeux.
    theo_kacz
    theo_kacz

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 août 2021
    Film totalement surcôté par la critique qui a dû être hypnotisée par ces scènes interminables, et incapable de juger négativement un film japonais pseudo profond.

    Il ne se passe strictement rien, les personnages sont creux, on attend désespérément un twist. Au bout de deux heures j'ai compris qu'il ne viendrait jamais et je suis sorti, en lisant les autres critiques je me dis que j'ai bien fait.

    Les seules choses à sauver : la lumière, le cadrage, l'image. C'est très bien filmé.
    Larbin D
    Larbin D

    13 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2021
    Un film assez fort parlant de beaucoup de thèmes. Certains passionnants, d'autres qui touchent moins. En 3h le film brasse beaucoup de thèmes et arrive à nous conduire sur plusieurs pics d'émotions mais qui nous endort aussi à d'autres moments lorsque des longueurs se font sentir. Un film en demi-teinte qui n'est pas pour tout le monde.
    Michèle G
    Michèle G

    39 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 août 2021
    Un pur chef d'œuvre où les scènes de divers théâtres forment un subtil tissage avec le réel et la vie des personnages. Jeux de miroirs aux multiples facettes, à faire du silence un magnifique langage et d'un simple véhicule l'espace clos de travellings intérieurs .
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    198 abonnés 394 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 août 2021
    ENNUI ABYSSAL devant ce très long film de 2 h 59. On est pris d'un mal de voiture, d'un mal de transport au bout de 30 minutes. Le film change sans cesse de direction pour se perdre dans sa narration filandreuse. Résultat : on assiste impuissant à de longues trouées de vide où le spectateur se sent complètement paumé. On ne comprend évidement pas son prix du scénario à Cannes.
    Christine V
    Christine V

    7 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 août 2021
    Ou comment tuer l'énergie de Tchékhov (cité quasi tous les plans). Prétentieux et névrotique, c'est à dire convenu. Renoir parlait d'ouvrir une fenêtre et s'adresser le plus gracieusement possible au spectateur. On en est très très, mais alors très loin. Le réalisateur nous gerbe en pleine poire sa culture mal digérée (il ne voit en Tchekhov qu'un chialeur). Il mêle ça au cliché du moment sur le monde en ruine écologiquement et économiquement, sans y apporter un regard personnel.
    aymericl
    aymericl

    17 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 août 2021
    J'allais forcément voir ce film avec beaucoup d'attentes compte-tenu des critiques très élogieuses des professionnels à l'issue des projections à Cannes.
    J'ai été également ébloui par Drive my Car qui m'a tiré quelques larmes. Un film sur le deuil, la reconstruction, avec une mise en scène sublime.
    Les images du film restent en tête plusieurs jours après la projection. A voir!
    Hélène D.
    Hélène D.

    30 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 août 2021
    Un film interminable où on attend qu’il se passe quelque chose entre la conductrice et le metteur en scène! Mais rien! Le casting qui apparaît à l’écran après plus d’une heure de film si bien qu’on croit que c’est la fin du film: incompréhensible! Un film très ennuyant ! Encore une fois une sélection à cannes bien décevante! 3 heures perdues!
    Spaceboy2095-2.0
    Spaceboy2095-2.0

    6 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 août 2021
    Ce film ne devrait durer qu'1h30, pas 3h. Le récit n'avance pas et il donne l'impression d'être étiré jusqu'à l'ennui. Incompréhensible que ce film ait obtenu le Prix du scénario à Cannes! Alors oui, les plans sont très beau, mais quel manque de fond et d'intrigue avec une approche psychologique tout de même très convenu. Mais on y voit du théâtre alors tous les snobs vont dire que c'est magnifique!
    islander29
    islander29

    847 abonnés 2 344 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 août 2021
    C'est rare le cinéma, qui vous fait penser profondément au relations humaines, l'époque est plutôt à la légèreté, ceci dit sans jugement ni critique....Au bout d'un heure, je me suis dit, c'est un grand film, au bout de deux heures trente, j'ai osé penser
    " c'est du grand cinéma"...Sur un scénario simple, (il s'agit de préparer les répétitions de Mon oncle Vania de Tchekhov), le réalisateur va nous révéler les blessures intimes de deux ou trois des personnages.......Il faut dire que quand le japonais s'intéresse de près à l'âme Russe (peut être le peuple le plus désabusé de la terre), ça nous donne un drame dont la noirceur en viendrait à déranger Bergman ou Woody Allen ????Ajouter la note nippone, exotisme des rapports humains, des paysages, de la musique serais je tenter de dire...La profondeur de champ élargit la conscience du spectateur, si innocent soit il....Il y a à la fin, un ou deux twist qui ajoute à l'intérêt d'un film fait principalement de secrets, de dialogues, et de mise en lumière du Théâtre. Le film est aussi riche d'émotions, deux scènes m'ont fait larmoyer...Bref que vous aimez le théatre ou le cinéma, n'hésiter pas, ce film est pour vous....
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 322 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 décembre 2021
    Je me doute qu’il horripile sûrement un peu ce titre de critique…
    Mais que vous voulez…
    A un moment donné il est tout de même difficile d’ignorer certaines évidences.
    Oui « Drive My Car » est un vrai film de bobos. Je ne dis pas ça comme une attaque. Je pose juste ça comme un fait.
    Quand un film nous invite à explorer pendant près de trois heures les états d’âme d’un acteur et metteur-en-scène japonais en prise avec une pièce de Tchekhov, je pense qu’on peut difficilement réfuter ce simple constat.
    Et dire cela d’emblée ce n’est pas forcément vouloir faire un procès d’intention. C’est juste poser un cadre qui va nous permettre d’expliquer pas mal de choses.

    Parce que oui, il va falloir le considérer ce cadre bobo, car c’est lui qui crispera ou séduira selon les affinités de chacun.
    Ainsi n’échapperons-nous donc pas aux espaces cosy des grands hôtels et des intérieurs bourgeois, à ce goût consommé pour la culture occidentale classique, ou bien encore à ces discussions feutrées dans lesquelles on se délecte de savoir parler de sexe non sans une certaine élégance.
    Il y a d’ailleurs quelque-chose d’assez européanisé dans la manière d’être des personnages de « Drive My Car », comme s’il s’agissait ici de reproduire une sorte de fantasme.
    A jouer d’ailleurs à ce petit jeu, le film de Ryosuke Hamagushi n’échappe pas à une légère impression de culture hors-sol.
    C’est ce qui explique par ailleurs sûrement ce titre fort singulier pour un film japonais : « Doraibu mai kâ » en langue originale, soit la transcription phonétique littérale de Drive My Car.
    Voilà qui permet de situer un peu l’œuvre : un film japonais imprégné de culture européenne et qui semble d’ailleurs s’adresser essentiellement au public du vieux continent.
    Tout un programme…

    Mais qu’on ne se méprenne toujours pas sur mon propos.
    Je ne dis pas que c’est un problème en soi d’être un film asiatique imprégné d’une certaine européanité – j’en veux notamment pour preuve le fait que j’ai particulièrement apprécié « Burning » du Coréen Lee Chang-Dong – mais par contre je n’oublie pas de souligner que c’est cette imprégnation culturelle là qui conduit régulièrement ce « Drive My Car » vers une certaine contemplation de soi ; ou plutôt devrais-je dire vers un certain fantasme de soi.
    Ainsi, sur ces trois heures de spectacle, le film aurait clairement pu se soulager de quelques répétitions entre acteurs et autre discussions qui, par certains aspects, donnent l’impression de n’être là que pour magnifier ce seul art d’être ce qu’on est…

    Malgré tout – et comme l’annonçait si insidieusement le titre de cette critique ;-) – il y a bobos et bobos…
    …Or je me dois bien de reconnaitre qu’en ce qui concerne Ryosuke Hamagushi, le bobo japonais a au moins le mérite de s’aimer avec un certain savoir-faire et une certaine élégance.
    Car au-delà de magnifier son milieu, Hamagushi sait aussi magnifier ses lieux.
    Cadre propres. Photographie douce. Un goût sobre mais certain pour une forme de géométrie de l’épure… Sans être pleinement séduisant, « Drive My Car » présente au moins le mérite d’être propre. Or c’est là justement le genre de raffinement qui s’est perdu au sein de la culture bobo de chez nous, alors ne boudons pas cette qualité.

    Mais si le lieu est aussi régulièrement valorisé c’est aussi parce que Hamagushi sait le marier avec un vrai respect du temps…
    …Et ça m’étonnerait presque de le dire, mais ces trois heures participent à installer quelque-chose qui va au-delà de la seule sublimation de soi.
    Car ce temps long, c’est celui qui fait qu’au bout d’un certain moment, les instants de « Drive My Car » deviennent précieux.

    Il y a d’abord toutes ces longueurs du début qui progressivement prennent de l’épaisseur a posteriori grâce à un habile jeu de narration par couches successives, mais il y a aussi tous ces instants insolites qui se posent là comme des bulles de respiration et qui s’installeraient presque comme des centres d’intérêt à eux seuls.
    En ce qui me concerne par exemple, j’ai particulièrement apprécié cet instant où Yusuke et Misari décident de traverser le Japon sur un coup de tête.
    On est dans un moment d’introspection. Les personnages ont besoin de décanter les choses et ce voyage s’impose comme une nécessaire mise à vide…
    Or c’est justement dans ce contexte que Hamagushi prend le parti de filmer la route.
    Juste la route qui défile.
    La route et ses images. La route et ses sons.
    Et même si j’ai quelque-peu regretté qu’à ce moment-là le cadre ait manqué d’une réelle stabilisation, je me suis par contre laissé totalement prendre par la distorsion sonore du passage dans les tunnels, par les errements des phares le long des routes sinueuses, par le silence d’une arrivée dans la neige…
    Lors de moments comme ceux-là, toute l’ambition consistant à faire de la voiture un lieu de reconstruction de soi – un vaisseau faisant transiter du deuil passé aux « amours » futures – prend toute sa forme et tout son sens.

    D’ailleurs je n’ai jamais trouvé le film aussi bon que lorsqu’il s’éloignait des pièces de théâtre et des comptoirs huppés.
    Quelques balades en voitures et autres discussions / confessions sur le siège passager ont su sonner justes me concernant.
    …Malheureusement pour un coup réussi il y en a parfois deux râtés.
    Combien de fois le film savate-t-il ses instants à trop vouloir parler, à trop vouloir décrire ?
    Venant d’un film d’auteur japonais qui aime prendre son temps, j’avoue qu’il y a là-dedans quelque-chose de rageant…

    Ainsi – et à bien tout considérer – il y a du à prendre et à laisser dans ce « Drive My Car ».
    D’un côté je ne peux renier de vrais instants de justesse, ainsi que quelques pointes d’élégance fort bienvenues, mais de l’autre il m’est difficile d’ignorer les quelques boursouflures et autres marques artificielles qui font que je n’arrive pas pleinement à me projeter dans ces quêtes introspectives.

    Finalement, comme tout un symbole, c’est le titre qui pourrait contenir à la fois le problème et la solution de tout ce film.
    Car c’est justement quand le film accepte de prendre la route qu’il est finalement le meilleur.
    Loin des théâtres mondains, Yusuke se retrouve sitôt qu’il laisse l’initiative de la conduite à celle qui au fond parle le moins alors que pourtant c’est elle qui a le plus à dire et à montrer.
    Ce sera donc à savoir pour la prochaine fois, cher Ryosuke…
    Car c’est parfois en allant se ressourcer un peu dans l’arrière-pays, loin des artifices de la grande ville, qu’on renoue avec l’essentiel…
    …Et qu’on se dépare du superflu.

    …A méditer. ;-)
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    131 abonnés 1 617 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 avril 2022
    Ensencé à Cannes où il aurait frôlé la Palme d’Or. Unanimité critique incompréhensible.
    Ce film se veut élitiste car il parle de création artistique, d’accouchement douloureux d’œuvres et surtout de théâtre russe au travers de Tchékhov. Il est surtout bavard et pompeux ; du cinéma qui se regarde le nombril vu par des critiques intellos. Il est d’une vacuité absolue et les personnages se meuvent comme des statues vides de toute émotion à l’image de la chauffeure qui à ne jamais sourire ressemble à une poupée de cire. 3h c’est interminable et même souffrant ; même découpé en deux fois 1h30 comme j’ai fini par le regarder. J’avais abandonné au bout d’une heure du premier opus de « Senses » qui comportent 4 films ; je pense qu’il faut que je fuie ce metteur en scène même s’il a un certain talent pour les plans stylisés et réfléchis. Comparé par certains à Ingmar Bergman, çà me fait sourire et pourtant je ne suis par hermétique devant ce genre de film. Si on parle de cousin de Bergman , citons aussi Nuri Bilge Ceylan. Bavards, longs et lents ; ces films ont malgré tout beaucoup à dire ; le contraire de celui-ci.
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    domit64
    domit64

    49 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 septembre 2021
    Long très très long, succession de scènes sans intérêt... film plat... bref passez votre chemin ou faites un vrai road trip !
    Denis DUBOS
    Denis DUBOS

    3 abonnés 1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 août 2021
    Il est fort rare que je quitte une salle de cinéma avant la fin. Ma patience mise à rude épreuve est arrivée à son point culminant lors du monologue interminable d'une sourde et muette en V.O. sous titrée, déclenchant un besoin irrépressible de quitter ce bien pénible interlude encensé par les excités du bocal cannois et de la presse bobo. Ou alors profitez d'un jour de canicule pour vous mettre au frais 3h dans une salle de cinéma et faire une sieste réparatrice...
     Kurosawa
    Kurosawa

    576 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2021
    En remettant à "Drive my car" le prix du meilleur scénario, le jury du dernier festival de Cannes a récompensé un film aussi complexe que majestueux. On y suit d'abord l'histoire d'un couple qui dysfonctionne, dont la communication est mise à mal – et l'on comprendra pourquoi. Hamaguchi montre à quel point le dialogue entre les deux époux ne passe que par leurs professions respectives : quand Yusuke et Oto font l'amour, elle trouve alors l'inspiration pour inventer des histoires qui serviront ses séries télé ; quand Yusuke répète la pièce qu'il est en train de monter, c'est en écoutant une cassette dans sa voiture, où Oto lui donne la réplique via un enregistrement. L'art pour surmonter le deuil, idée qui va prendre une dimension autre à partir du générique de début, lequel arrive après quarante-cinq minutes, quand le metteur en scène de théâtre rencontre Misaki, sa chauffeure chargée de le conduire de son hôtel au lieu de travail où ont lieu les répétitions d' "Oncle Vania". On ne sait pas grand chose de Misaki, si ce n'est qu'elle conduit à la perfection : elle parle peu et ne noue pas de relation avec Yusuke, comme on pourrait s'y attendre. Hamaguchi prend le temps de filmer ce long moment où deux êtres s'observent et n'osent aller à la rencontre de l'autre. Si l'on devine aisément que Misaki elle aussi porte un lourd fardeau, ce n'est pourtant pas une déception que d'apprendre ce mystère dans le dernier tiers du film : la révélation sonne davantage comme un exutoire, dans un moment où la confession de la douleur se calque sur le texte de Tchekhov. Les répliques d' "Oncle Vania", que l'on entendait dans la voiture de Yusuke ou pendant ces nombreuses répétitions sans que l'on parvienne vraiment à leur donner un sens, à les raccrocher à une autre réalité, trouvent enfin un point d'appui. Si l'idée selon laquelle l'art est un miroir de la vie n'est pas la plus originale qui soit, ce qui importe ici c'est moins la conclusion que le long trajet qu'il aura fallu pour y parvenir : une route faite d'attentes, d'hésitations, d'accélérations et de heurts – une métaphore qui vaut autant pour décrire la relation Yusuke-Misaki que pour la manière sublime et si rarement montrée au cinéma dont est retranscrit le processus de casting et de répétitions d'une pièce de théâtre. Durant ce très beau voyage qu'est "Drive my car", deux magnifiques moments font pause dans le récit : le premier est un repas entre le directeur du théâtre, sa femme muette, Yusuke et Misaki. Ici, Hamaguchi ne fait pas autre chose que filmer une scène où la vie est réactivée, un partage d'amour dans lequel l'art est absent. Le second moment se déroule durant le long trajet vers le village d'enfance de Misaki : alors que l'on est bercé par le bruit feutré de la voiture qui crée un rythme hypnotique, le cinéaste ose une rupture ambitieuse en coupant le son. On ne voit alors pendant quelques secondes qu'une voiture roulant sous la neige, sans distinguer les deux personnages à l'intérieur ; l'image devient pendant un bref instant reine et tous les composants du cadre (voiture, personnages) sont réduits à ce qui fait leur beauté, à savoir une opacité qui leur rend tout leur mystère. Aussi Hamaguchi signe un long-métrage exigeant, porté par des relations complexes et une mise en scène qui réside le plus souvent dans la froide observation, ce qui n'empêche en aucun cas l'émotion.
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