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    Toute une nuit sans savoir
    Note moyenne
    3,7
    12 titres de presse
    • Les Fiches du Cinéma
    • Libération
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • Marie Claire
    • Positif
    • Transfuge
    • Cahiers du Cinéma
    • Critikat.com
    • L'Obs
    • Télérama
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    12 critiques presse

    Les Fiches du Cinéma

    par Marine Quinchon

    Dans la lignée de ses courts métrages, Payal Kapadia privilégie un récit poétique, ici en format carré et essentiellement en noir et blanc, et la voix off. Et signe à la fois un bijou esthétique et un manifeste politique. Une grande expérience de spectateur.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Libération

    par Elisabeth Franck-Dumas

    Ainsi Toute une nuit sans savoir, mêlant habilement l’intime et le politique, le found footage et le film rêvé, des images de manifs et de répression, devient-il une poignante lettre d’adieu, à l’amour et l’espérance, à la jeunesse et l’innocence, qui résonne bien au-delà des frontières où il se déroule.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Le Monde

    par Clarisse Fabre

    Un kaléidoscope d’images ouvragées, soyeuses, presque silencieuses, tournoie dans l’œil du spectateur, mettant à distance la fureur pour mieux l’observer. La cinéaste plasticienne relie mille utopies, événements et faits d’armes, les coulant dans un bronze qui serait le film.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Inrockuptibles

    par Bruno Deruisseau

    Le parti pris de Payal Kapadia traduit le drame du présent qui ne change pas, un présent prisonnier du passé, qu’il soit hanté par un amour perdu ou le conservatisme d’une société indienne qui asphyxie sa jeunesse.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Marie Claire

    par Emily Barnett

    Un docu en forme de journal intime bouillonnant, caméra au poing, entre arte povera et culture Instagram.

    Positif

    par Vincent Thabourey

    Le spectateur se trouve alors plongé dans une brèche narrative, entre fiction et réalité, hallucinante, vibrante de rage et de désespoir. Cet amalgame de révolte politique et de frustration amoureuse se noue dans une esthétique fantasmagorique singulière, qui peut nous égarer ou nous subjuguer, mais qui ne nous laissera jamais indifférents.

    Transfuge

    par Corentin Destefanis Dupin

    On sort de "Toute une nuit sans savoir" le coeur endolori, mais à nouveau empli de courage.

    Cahiers du Cinéma

    par Vincent Poli

    Toute une nuit sans savoir est autant journal intime que bouteille à la mer. Non pas l’exposé chronologique d’un nationalisme d’État et de sa radicalisation, mais le résumé impossible de quelques années chamboulées par l’amour, l’engagement et l’effroi.

    Critikat.com

    par Thomas Grignon

    À la fois chronique au jour le jour de l’occupation d’une université et kaléidoscope de visions poétiques, le film réussit à faire passer un peu de lumière dans la grande nuit totalitaire.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    L'Obs

    par François Forestier

    Sentiment de mélancolie, présence du désir, dénonciation des violences qui fracturent la société, tous les thèmes imprègnent ce film politique qu’on jurerait issu du cinéma d’amateur, mais qui, en fait, est minutieusement mis en scène.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Télérama

    par Kattel Lemarchand

    À la fois distante et sensible, la caméra poétise un mouvement irrépressible de liberté, dans une société encore soumise aux castes.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Première

    par Thierry Chèze

    Le résultat, captivant dans ses premières minutes, finit cependant par laisser peu à peu à distance. Comme trop gangréné par sa cérébralité pour tendre la main aux spectateurs. Sa radicalité se révèle ici tout à la fois sa plus grande force et sa plus dommageable faiblesse.

    La critique complète est disponible sur le site Première
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