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Ghighi19
51 abonnés
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5,0
Publiée le 8 février 2018
De temps en temps je parle des mes comédiens préférés et Jean Paul Belmondo a largement été à l'origine de ma "vocation" . Ce film dialogué par Veber et tourné par Verneuil est un régal de spectateur ! Bien sûr ( mais c'est la première fois ) Belmondo joue un flic qui ose tout mais avec beaucoup d'humour . La musique inoubliable de Morricone et la présence incroyable de Charles Denner contribue au plaisir de revoir ce film . C'est un peu ancré dans les années 70 mais du coup on découvre aussi le Paris de ces années là . La scène de poursuite dans le métro a souvent été copiè mais jamais égalé .
Un classique du cinéma français et un classique de la filmographie de Belmondo. Un excellent film policier, aux dialogues très bien écrits et très bien exécutés par un casting très convaincant. L'histoire est prenante et instaure une tension durant les 2h de visionnage malgré quelques longueurs.
Très bon film. Belmondo est autant très bon acteur que cascadeur. Les dialogues sont bien écrits, tout comme le scénario et le film a le mérite de maintenir du suspense pendant 2 heures. L'enquête est assez bien montrée et le personnage de Minos est bien creusé. Il y a quand même une grande incohérence à la fin du film: spoiler: Pourquoi Minos n'entend pas l'hélicoptère qui est à 3 mètres de l'appartement?
Un des meilleurs Bebel, sans doute l'un des plus sombres, aussi... Le charisme et les motivations du méchant (Minos), la façon dont celui-ci finit par être identifié (brillante idée!), et la réalisation d'Henri Verneuil sont les principales valeurs ajoutées de "Peur sur la ville".
Ca commence comme « Scream », ça finit comme « Piège de cristal ». Non, blague à part. Verneuil réussit un sympathique mélange entre le film d'action à l'américaine et le thriller...à l'américaine aussi. A ce titre on peut le rapprocher du 1er épisode du « Dirty Harry » de Don Siegel (1971). JPB, clope au bec et gouaille tranchante, exhibe fièrement ses attributs masculins en prenant soin de faire lui même ses cascades un peu folles (pour l'époque). On a le droit à une petite visite guidée de notre Capitale (métro, Concorde, Trocadéro... et une belle pub pour les Galeries Lafayette au passage). Verneuil ne lésine pas sur les moyens et offre un spectacle de qualité, particulièrement efficace, tout en ficelant très bien le côté thriller avec ce duel Letellier/Claude Franç...pardon... « Minos », qui tient en haleine jusqu'à la fin. On ne s'ennuie jamais. Efficace.
Du bebel pur et dur : c'est le roi de l'acrobatie et de l'enquête musclée, la main sur le Berreta, avec la clope au bec et la verve truculente. Des décors des années 70 et une musique de Morricone qui nous met les frissons dans le dos. Ce commissaire flingueur est finalement attachant, et le spectacle, divertissant. C'était pas mal, le cinéma en chemise à col jabot et avec les coiffures de 3 kg de cheveux... Cet épisode est parmi les plus réussis.
un très bon film policier :le suspence fonctionne bien et le méchant est plutot charismatique.avac un bébel au sommet de sa forme dans les scènes d'action.a voir
Attention polar sérieux dans la même veine que le Casse du même réalisateur Henri Verneuil d'ailleurs ; polar où Totoc-Badaboum reste assez sobre globalement... un peu trop peut-être comme s'il cherchait ses marques.
Ce qui n'empêche pas "petite tronche avec des gros bras" de sortir quelques bons mots, lesquels dans un style très différent de Michel Audiard, doivent beaucoup à Francis Veber qui exerce là une ironie aussi appréciable que percutante.
Ce qui n'empêche pas non plus Totoc-Badaboum de faire le zouave sur la corniche et de jouer à Assassin's Creed sur les toits de Paris avant de cavaler sur la rame du métro aérien, puis de descendre en rappel d'un hélicoptère et... bref, de l'ultra-classique pour Bébel en somme ! et c'est pas du chiqué mon gars !
Dommage que son comparse Charles Denner soit réduit à la portion congrue, celle du simple faire-valoir ; dommage également toutes ces petites maladresses dans le scénario ainsi que des longueurs inutiles dans le dernier tiers : le film s'essouffle sensiblement. Quant au vilain "psychopathe", il ne fait pas peur : il est juste grotesque !
Certes sérieusement réalisé, Peur sur la ville est sans génie sur sa photographie, voire bâclé : Paris est gris, morne, moche et pluvieux. D'où l'insistance à montrer la Tour Eiffel dans chaque plan ou presque : "eh ce tas d'ordures, c'est Paname, mec !"... Bah dis donc.
Bien sûr, la musique d'Ennio Morricone est sympathique mais comme trop souvent et à l'instar de bien d'autres films français sur lesquels il a travaillé, l'auteur italien ne se foule pas trop, torche son unique ritournelle et fout le camp. Un peu léger.
Efficace dans ses scènes d'action, drôle de temps en temps, trop lent par moments, le film ne convainc pas mais distrait malgré tout : il manque vraiment quelque chose, ce quelque chose intangible, ce "tout" supérieur à la somme de ses parties.
Sombre , musclé, spectaculaire , captivant , un film prenant très bien mené par Belmondo qui nous fascine avec se gouaille et ses courses poursuites en voiture ou sur toits . Le reste du casting est excellent : Charles Denner et Adalberto Maria-Merli qui campe l' un des meilleurs méchants de l' histoire du cinéma ! Un tueur fou avec un oeil de verre : Minos ! Le tout ne serait pas aussi sublime sans la musique merveilleuse d' Ennio Morricone , une musique sombre comme le film, et la mise en scène du plus américain des réalisateur français : Henri Verneuil ! Il nous developpe tout son talent , surtout pour les scènes d' action qui resteront a jamais marqué s dans les mémoires . L ' une des meilleures collaboration entre Bebel et Verneuil! Un classique !