Avis sur Appelez-moi Mathilde

Une comédie absolument géniale ! Des comédiens excellents, avec une grange comme unique décor (ou presque) pour un scénario titanesque ! Certes la réalisation n'est pas formidable et la photographie a pris un sérieux coup de vieux (ce film a quand même presque un demi-siècle au compteur !) mais la performance grandiose des acteurs, les situations désopilantes et les dialogues hilarants de ce film nous font passer un moment de rêve. Ajoutez à ça un montage efficace, une musique agréable et vous obtiendrez un merveilleux film signé par Pierre Mondy !

un film peu connue mais qui à le mérite de reunir une palette des plus grand acteurs des années 1970, qui dans ce film sympatique se tienne tous en haleine.

Génialissime , grandiose, extraordinaire, incontournable, sublime ! Jacqueline la Magnifique est un régal, Robert Hirsh pourrait à lui tout seul détrôner tous les acteurs d'aujourd'hui, c'était un diamant !! Que dire de Michel Serrault sinon qu'il est au faîte de sa carrière et qu'il crève l'écran..... Et ce qui faisait la richesse du cinéma français, c'était la pléiade de seconds rôles excellents, source qui semblait intarissable à l'époque! Un temps où l'on faisait 20 ans de théâtre avant de tourner dans un film......!
A voir...... Revoir....... Et revoir....... Encore et encore......!

L'essentiel du film se déroulant dans une grange (oui vous avez bien lu), le spectateur éprouve vite une certaine lassitude à tenter de suivre le déroulement de cette prise d'otage d'une dame du monde par trois pieds nickelés (Serrault et Bedos survoltés, mais mal servis par des dialogues banals, et Dufilho, au jeu plus limité, se contentant du rôle de neuneu rural arriéré). Le métrage atteint le sommet de sa stupidité quand notre otage est rejointe par un pilote de chasse se faisant passer pour un astronaute russe (sans commentaire). S'ensuivent des gags dignes d'un épisode de Benny Hill, un survoltage général indigne de tels comédiens. Pierre Mondy, comédien quelconque de cinéma et de théâtre de boulevard, était donc aussi un mauvais réalisateur.

Scénario, adaptation (avec Pierre Mondy), dialogues de Francis Veber...alors cela ne peut etre mauvais. Les échanges entre la Maillan et Serrault sont exellents. Dufilho a un role de barjot, Blier, Balutin, Robert Hirsch, ont aurait tort de se priver.
Un pilote de chasse en perdition (qui ce fait passer pour un cosmonaute russe!), qui s'éjecte au-dessus de kidnappeurs dans une ferme (Maillan s'est fait kidnapper par des idiots), Bedos en seducteur loubard...Une bonne farce divertisante...

Ce film est un bon moment de distraction, et qui vaut surtout par les acteurs, et leur jeu qui sonne très bien, servi par des dialogues qui ne sont pas en reste.
A voir par tous les amateurs de vaudeville.

Une pléiade de grands acteurs mais c'est tout.
Une mauvaise comédie comme il s'en faisait à la pelle au début des années 60 (le film était déjà has been à sa sortie).
Il est bien difficile d'esquisser un sourire et même d'aller au bout du film.

un vrai bonheur cette comédie, alors oui c'est quasiment un huis clos, la photo a bien vieilli, mais quelle brochette d'acteurs et surtout quels dialogues! tellement drôles que ça rappelle la chèvre ou le diner de con et c'est normal vu qu'ils sont signés Francis Veber. Une réalisation signée Pierre Mondy qui sait parfaitement cadrer ses acteurs et les accompagner dans leur mouvements pour les nombreuses répliques qu'ils devront s'échanger pendant 1h30.

Un petit film bien sympathique, que des acteurs géniaux... et Robert Hirsch un régal !

nul pour ceux qui non pas d'humour ou alors un humour au rare des paquerettes mais pour les personnes avec des connaissances sur le cinéma français c'est formidable un conseil regardez le plusieurs fois vous autre peut être la chance de comprendre !!!

Nul

Une pléiade de vedettes des années 60 (Maillan, Bedos, Serraut, Dufilho,…) ne réussit pas à faire un bon film. Une histoire débile, un scenario inexistant, des acteurs qui en font trop et qui n’y croient pas,… : un film déjà dépassé lors de sa sortie.
Bref, une calamité qu’on a du mal à supporter.