Mon compte
    Les Sept Samouraïs
    Note moyenne
    2,8
    97317 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Les Sept Samouraïs ?

    298 critiques spectateurs

    5
    181 critiques
    4
    76 critiques
    3
    14 critiques
    2
    16 critiques
    1
    7 critiques
    0
    4 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 janvier 2008
    voila du cinéma du vrai de l'authentique kurosawa un génie
    Jean-philippe N.
    Jean-philippe N.

    104 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2014
    Enfin vu dans sa version longue restaurée, mais... en japonais non sous-titré. L'impression est à peu près semblable que de se retrouver derrière le volant d'une Mercédès W196 (modèle mythique ayant gagné les 24h du Mans en 1954) au réservoir vide, donc dans l'impossibilité de l'essayer.
    Frustrante...
    LBDC
    LBDC

    84 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2014
    (...) Lorsqu’on découvre Les Sept Samouraïs ont ne peut que noter la qualité d’image offerte par cette édition DVD. On retrouve le format carré d’origine (1:33) et le noir et blanc au contraste important, créé par les éclairages de Kurosawa. Avec ce film, le réalisateur atteint des sommets avec une intrigue, en soi, relativement simple. Mais comme souvent avec Kurosawa la simplicité devient magistrale. Sa mise en scène place le spectateur au cœur de l’histoire. La caméra se déplace comme un acteur. Elle observe les différents protagonistes en les suivants à quelques mètres de distance. En plaçant les héros du film régulièrement dos à la caméra, le réalisateur japonais donne une dimension spatiale à son œuvre. On passe d’un personnage à l’autre avec aisance et toujours dans un but précis. Car le spectateur doit avant tout vivre le film à travers le regard des personnages. Kurosawa alterne judicieusement entre des plans rapprochés de visages et des plans larges permettant de filmer au mieux l’action. Lorsqu’on découvre pour la première fois à l’écran un combat entre deux samouraïs, une foule de villageois assiste à la scène. Chaque geste des samouraïs est commenté par un regard ou une réaction. Shimada, témoin de la scène aux côtés de Katsuchiro, va jusqu’à prévoir l’issue du combat. Un combat dont la finalité n’a finalement pas de réel intérêt pour Kurosawa qui s’intéresse davantage aux réactions qu’à l’action.

    Si le film parvient à nous garder attentif durant plus de trois heures c’est en partie par la qualité de son scénario et le travail sur les personnages. Comme une partie d’échec Kurosawa met en place au fur et à mesure les éléments déterminant à la suite de son film. La première partie consiste à réunir un groupe de samouraïs. Peu d’action mais uniquement l’interaction des personnages et le développement de leur caractère. Shimada est le sage et sera le leader du groupe. Plus âgé il est le premier à accepter la requête des villageois et parvient à convaincre les suivants. Katsushiro est jeune et admiratif de ses aînés, et notamment de Kyuzo. Ce dernier dégage sérénité et élégance. Gorobei, Shichiroji et Heihachi sont relativement simples et acceptent rapidement de rejoindre Shimada. Le dernier samouraï recruté sera le plus excentrique: Kikuchiyo. Rustre et grossier, il s’avère le plus touchant, émouvant et constitue l’ajout comique du film. En s’attardant sur chaque protagoniste Kurosawa cherche à les mettre en valeur. Pour lui « un film doit être une histoire palpitante avec des personnages inoubliables ». Malgré leurs défauts, qui en font des personnages profondément humains, Kikuchiyo le premier, ces samouraïs sont des héros admirables. Ils sont d’autant plus mis en avant grâce à l’accompagnement musical superbe composé majoritairement d’instruments à bois, de cuivres et de percussions. Grâce aux variantes du même thème, cette symphonie parvient autant à émouvoir qu’à apparaître glorieuse et magistrale. Cet hymne présent durant la quasi-totalité du film est inoubliable et le travail de Fumio Hayasaka apparaît aujourd’hui extrêmement moderne (...

    L'intégralité de notre avis à propos des 7 SAMOURAÏS, sur Le Blog du Cinéma
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 octobre 2010
    L'avancée des technologies est le pire ennemi pour les jeunes générations voulant apprécier pleinement les vieux films cultes. S'il est aujourd'hui difficile pour un adolescent comme moi d'appréhender objectivement les sept samouraï, les ravages du temps ne font cependant pas tout. Car certes on est ici en présence d'un vieux film, mais quel film !
    Prenant place dans le Japon médiéval, le pillage imminent d'un village de paysans constitue la trame principale, dont découle le recrutement par les villageois de fiers guerriers japonais: les samouraïs. Si cette première partie est de moindre intérêt par rapport à la suite du récit, elle à le mérite de donner le ton et d'attiser l'intérêt du spectateur pour les évènements qui vont suivre.
    Durant trois heures, le réalisateur film une véritable ode au samouraï, qui se révèlent être de véritables incarnations des valeurs que nous chérissons tous: bonté, héroïsme, honnêteté. Aucune tache d'ombre n'obscurcit le tableau vaillant des sept combattants dressés par Akira Kurosawa, contrairement à celui des paysans. Le groupe de «ronin» gagne surtout en profondeur et en crédibilité grâce à l'opposition entre la sensei incarnant la sagesse, et Kikuchiyo et son attitude espiègle. N'usant jamais à outrance de combats ( qui se révèlent particulièrement réaliste ), le réalisateur préfère se concentrer sur les samouraï en tant que personnes et leur relations mutuelles, mais aussi celles avec les villageois. Si les combats n'impressionnent plus techniquement parlant, on comprend facilement en quoi leur réalisation à pu être qualifié de moderne à l'époque, un réel dynamisme étant présent. Au terme de cette fresque héroïque et sanglante, ce film épique parvient raviver nos rêves de gosses: devenir samouraï. Seul le temps passé alterne sensiblement la beauté de l'oeuvre et on en regrette presque d'être née à cette époque.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 octobre 2006
    "Shichinin no samurai" est doté de plans d'une plastique irréprochable. Très rare sont les cinéastes à faire un film aussi beau que celui-ci. Variant entre gros plans expressionistes et panoramas esthétiques, Kurosawa fait un film fort. Si la photo est appréciable à souhait, le point fort, après la réalisation, reste l'intrigue, sa structure et la direction des acteurs. Pour l'intrigue, Kurosawa aborde un thème cher : les samouraïs. Mais l'originalité de l'oeuvre, c'est le traitement du thème. En effet Kurosawa nous présente les samouraïs comme en "décrépitude". Le samouraïs est ici au second plan, le vainqueur demeurant le paysan. Comme un Eisenstein, Kurosawa fait l'apologie du prolétariat. Pour soutenir son film, le cinéaste de génie utilise ses acteurs avec génie. Les jeux empreintent au théâtre japonais, notamment le kabuki. La musique aussi est une des meilleurs du cinéma, au côté de "Barry Lyndon" et de celle de bien d'autres films. Plus que de diriger les scènes dans un sens, elle donne aux images un double sens. Là où la scène montrera une idylle, la musique frappera la tension qui pèse sur l'instant. Pour conclure, "Shichinin no samurai" est une oeuvre belle, entrainante. Assurèment l'un des meilleurs films d'action et une entrée direct dans mon top 10.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    158 abonnés 2 421 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 novembre 2016
    Les Sept Samouraïs est un film que j'ai beaucoup aimé. J'ai du mal à comprendre la note moyenne des spectateurs (je n'ai d'ailleurs pas vu non plus de films sur Allociné où l'écart entre les critiques presse et spectateurs était aussi important).
    Certes, le film a pris un sacré coup de vieux, mais il date tout de même des années 50.
    On peut reprocher à ce film sa longueur indécente. Les longueurs sont au début du film où le recrutement des samouraïs prend beaucoup trop de temps. Le réalisateur traite ses samouraïs au cas par cas, ce qui est long, pour au final avoir pas mal de personnages auquel on n'a pas d'attachement car mono-dimensionnels. Par contre, la deuxième moitié du film est très prenante, et on ne s'ennuie pas une seconde.
    Les scènes de combat ne sont pas si mal que ça, pour voir que le film a soixante ans. J'ai beaucoup apprécié le fait que le film montre une vraie stratégie de la part du chef des samouraïs. Le conflit ne se restreint pas à de simples combats mais également à la définition de vraies stratégies militaires, ce qui est souvent omis dans les films de guerre (ou de conflits).
    Les acteurs ne m'ont pas marqué spécialement. Takashi Shimura était bon en chef de guerre. J'ai eu plus de mal à comprendre le jeu de Toshirô Mofune, qui pourtant était le personnage le plus intéressant du film.
    Franchement, un classique intéressant à voir.
    Lenalee23
    Lenalee23

    34 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 novembre 2009
    Quelle claque... Ce film est vraiment un des plus grands film du cinéma asiatique et mondial. J'ai regardé les films de Kurosawa dans l'ordre chronologique de leur sortie et jamais je n'ai été déçu, toujours j'ai trouvé ses films magnifiques et de très très bonne qualité mais celui la hormis Rashomon qui l'égale est au dessus des autres et de bons nombres de chef d'oeuvre du cinéma universel. Toshiro Mifune et Takashi Shimura les deux acteurs fétiches de Kurosawa sont comme à leur habitudes énormes de talent, de véritables Dieu du grnd écran.
    Noistillon
    Noistillon

    66 abonnés 408 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 avril 2012
    Que dire pour qualifier ce chef-d'oeuvre authentique ?
    Le film d'Akira Kurosawa n'a pas pris une ride, que ce soit dans sa mise en scène délicieuse, son noir et blanc somptueux. Les Sept Samouraïs est une expérience particulière, à la croisée des genres, et des légendes. C'est une oeuvre non pas engagée, ou démagogue mais qui se fait l'apologie d'un héroïsme vieillissant que Kurosawa évoque avec nostalgie. Le cinéaste japonais a transgressé la mode contemporaine de l'auteurisme et de la contemplation pour nous offrir cet objet filmique singulier, qui fait rimer divertissement, accessibilité, densité et émotion. Dans les Sept Samouraïs, Kurosawa délivre, avec une modestie manifeste, deux cent minutes de toute beauté. L'oeuvre est fournie mais jamais arrogante, très drôle, juste, et authentique. Du grand cinéma, pourtant d'une grande simplicité.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 août 2013
    Près de soixante ans après leur heure de gloire, les Sept Samouraïs retrouvent une seconde jeunesse. Mais accusent quelques rides… C’est le paradoxe de la fresque mythique de Kurosawa qui, même parfaitement restaurée et dans sa version longue, suscite toujours des avis contrastés.
    Le scénario tient en deux lignes : au XVI° siècle, un village japonais perdu au fond d’une vallée est régulièrement assailli par des bandes de pillards. Le recrutement des sept samouraïs permettra de vaincre les brigands et de rendre un peu de fierté aux villageois.
    Mais le souffle passe encore. Parfois dantesque, comme lors de l’assaut final sous la pluie et dans la boue. Parfois lyrique comme certaines scènes au moment de la moisson ou dans la rizière. Tableaux toujours superbes. Le rôle des samouraïs dans l’émancipation des villageois, où la rudesse de leur pédagogie fait pendant à leur habileté au combat, justifie aussi leur notoriété. Et plus généralement cette alternance entre action et peinture sociale demeure la marque de fabrique du film.
    Il n’empêche… Comment ne pas entendre les critiques sur la longueur de la première partie, consacrée notamment au recrutement de samouraïs. Comment ne pas trouver un peu caricaturale la vision des villageois, ces gueux que tout accable y compris leur propre couardise. Et comment ne pas sourire au « rictus de misère » qu’ils forcent parfois jusqu’à l’outrance.
    Mais bon, les Sept Samouraïs ont encore de beaux restes. Même soixante ans plus tard. Même si six ans après leur avènement, ils ont dû partager les honneurs avec autant de mercenaires qui ont su s’allier, eux, critique et grand public.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 mai 2011
    Avec les sept samouraïs, Kurosawa remettait le chanbara au gout du jour, réalisant ce qui est peut-être le plus grand film japonais, maintes fois copié. Le scénario simple mais efficace, les acteurs convaincus, et surtout les images magnifiques font de ce film une réussite totale. Même si l'on peut noter quelques longueurs, la réussite esthétique parvient à nous émerveiller d'un bout à l'autre... Un chef d'oeuvre.
    _Royal_
    _Royal_

    108 abonnés 1 600 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 septembre 2011
    Mais quel ennui ce film... Si on parlais plutôt de quelque chose d'interessant. Vous avez vu sur Youtube récemment, Isao Machii à carrément découpé en deux, avec un katana, une balle de 6mm de diamètre, tiré par un uzi à plus de 120m/s ! Whaw.
    Dodeo
    Dodeo

    88 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 janvier 2012
    Echec et mat. Kurosawa se sert de tous les atouts à sa disposition pour remporter la partie de la plus belle des manières. Les sept samouraïs, réalisé en 1954, narre l’histoire de villageois au 17ème siècle qui subissaient régulièrement l’assaut d’une bande de voleur qui ne se faisaient pas prier pour voler les récoltes et vivres disponibles. Sous les conseils de l’Ancien, ils décidèrent de partir à la recherche de samouraïs pour leur apprendre à se défendre. Sept d’entre eux acceptent de venir au secours des paysans.

    Le film se base donc sur une triade de personnages que sont les paysans, les bandits et les samouraïs. Trois castes différentes, trois cultures, trois enjeux. Mais comme le laisse sous-entendre le titre du film, les samouraïs occupent une place on ne peut plus importante. Les samouraïs sont des Ronins, autrement dit, ils vendent leurs services aux plus offrants. Ce type de samouraïs connut une grande expansion au milieu du 16ème siècle suite à la guerre civile de l’Onin entre 1956 et 1957. Kurosawa fait de ces sept personnages son élément régulateur de l’intrigue et son liant entre les différentes castes sociales.

    Le recrutement des Ronins occupe la première partie du film. Ils sont donc sept. Autant de portraits que le réalisateur japonais ne manquera pas de brosser au peigne fin. Il leur donne une épaisseur psychologique qui ne cessera de croire au fil de l’intrigue. Tout en subtilité, Kurosawa insère les éléments descriptifs de ses personnages, tantôt en prenant le temps de les coudre minutieusement, tantôt en procédant par des fulgurances à l’image par exemple de ce paysan qui reconnut sa femme sous les traits d’une prostituée du camp ennemi. Celle-ci prise de honte, préfèrera se laisser bruler dans l’incendie déclenché par les paysans, flammes salvatrices et dissimulatrices de ses pêchés.

    Kurosawa tisse donc un ensemble de personnages très variés ayants chacun leur propres thèmes et sentiments, le tout donnant aussitôt une impression de richesse assez inédite et grisante. Il y a ici une gestion des personnages tout particulièrement intéressante, l’on s’intéresse à une immense palette d’hommes et de femmes et pourtant jamais l’intrigue ne perdra en cohérence, jamais l’on ne regrettera de s’intéresser à un personnage plutôt qu’à un autre. Les temps d’apparition à l’écran ainsi que les éléments de psychologie pure sont distribués avec maestria. Kurosawa déplace ses pions avec une agilité et une fluidité remarquable, en prenant le soin de n’en sacrifier aucun, conservant ainsi toute la force et le potentiel qui sont à sa disposition. Mention spéciale à l’acteur Toshiro Mifune (un habité des films du maître nippon) qui est auteur d’une prestation pour le moins excellente dans ce rôle assez atypique.

    Mais le réalisateur nippon ne s’arrête pas là. Il profite de la diversité de la triade en présence pour désormais entrelacer les classes sociales et les enjeux qui leurs sont propres. D’ailleurs l’on remarquera que le compositeur Fumio Hayasaka –auteur par ailleurs de très bonnes compositions- a composé un thème pour chacune des classes sociales. Ce nouvel aspect aux élans historiques apporte dès lors une dimension supplémentaire à une œuvre qui n’en manquait aucunement.

    Mais ce qui est probablement le plus impressionnant ici se révèle être la gestion du rythme minutieuse au possible. L’on pourrait par exemple parler de la cohabitation entre les scènes de batailles, épiques et menées d’un rythme assez soutenu, et les scènes d’amour, beaucoup plus lentes et contemplatives (Kurosawa laisse ici une place importante à la nature). Kurosawa alterne les plans de batailles avec des plans beaucoup plus posés ayant pour intérêt d’accroitre la puissance de l’œuvre en mettant en exergue les personnages et l’attente du combat. Tout se déroule dans une fluidité assez folle et pour le moins bluffante. «Les sept samouraïs » c’est près de trois heures et demi de fresque épique qui n’en paraissent que la moitié.

    L’art du rythme s’accompagne d’une virtuosité des descriptions tant dans le réel que l’humain. « Les sept samouraïs » pourrait se décrire comme un immense mouvement d’ensemble qui ne néglige jamais les détails. Une œuvre riche et globale, un choc culturel… L’œuvre n’aura pas volé son statut de chef-d’œuvre du septième art.

    « Nous avons encore perdu ! Ce sont les paysans les vainqueurs, pas nous !... »
    dragon_ryu
    dragon_ryu

    11 abonnés 487 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 septembre 2008
    Tout simplement magnifique et doté d'une écriture sans faille, Mifune livre une prestation magistrale. Et que dire de la fin, terriblement cruelle, les nobles samouraïs en deuil de leurs frères d'arme d'un côté et les paysans bêtes et ingrats qui reprennent leur rythme de vie normal de l'autre côté. En tout cas un grand chambara, et un film qui fait partie du patrimoine cinématographique universel comme la plupart des Kurosawa, un auteur de génie qui a défraichie bien des terrains.
    Tedy
    Tedy

    211 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 octobre 2006
    "Les sept samouraïs" est correctement réalisé par Akira Kurosawa, mais il aurait pu raccourcir certaines scènes qui entâchent le film de certaines longueurs. L'humour lourd agace également durant tout le film. En revanche le scénario est intéressant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 août 2013
    que dire ? un pur chef-d'oeuvre. les vrais sept mercenaires, en vrai !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top