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    L'Histoire d'Adèle H
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    Nadia T
    Nadia T

    3 abonnés 400 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 janvier 2024
    J'ai aimé, ce n'est pas non plus un film incroyable, ça a permit de me pencher sur cette histoire méconnue, que j'ai du coup aimé explorer de mon côté...
    cinéman
    cinéman

    21 abonnés 736 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 décembre 2023
    Belle reconstitution de la vie d'Adèle Hugo (1830-1915), obsédée par un homme qu'elle poursuivra au bout du monde, alors que celui-ci se fera toujours indifférent à elle. Ainsi Isabelle Adjani s'avère touchante en érotomane incapable de comprendre que son "amour" est pathologique autant que vain ou chronophage. Qu'on aime ou pas le scénario, on pourra admirer la fidélité à l'histoire réelle, ou comment Adèle s'humiliait devant le général Pinson et correspondait avec son père, dans un XIXème siècle particulièrement bien porté à l'image.
    Sylvie BLONDEAU
    Sylvie BLONDEAU

    13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 novembre 2023
    Malgré ma tendance à plébisciter les films en costumes d'époques, je crois que c'est Isabelle Adjani qui me fascine dans son évolution. François Truffaut lui procure un cadre et une photographie qui relèvent de la haute couture ! (j'y reviens).
    Et ce H que l'on nous suggère épris de grandeur... A la fois dur, distant et néanmoins père.
    Alolfer
    Alolfer

    86 abonnés 872 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2023
    Un film de Truffaut assez sous-côté. Isabelle Adjani incarne la fille cadette de Victor Hugo qui cherche le but de sa vie, l'amour etc... Une superbe prestation donc de Adjani et un Truffaut bon. Déçu tout de même de la fin. Je le recommande
    Pascal
    Pascal

    117 abonnés 1 393 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2022
    La ressortie en salles de sept opus de Francois Truffaut en copies rééditées permet de revoir certains de ses meilleurs films.

    Parmi ceux-ci figure " l'histoire d'Adèle H" qui nous conte une épisode de la vie de la fille cadette de Victor Hugo, alors que l'écrivain, figure majeure de la vie intellectuelle et littéraire française, connu dans le monde entier ( au Canada et à l'île de la Barbade on sait qui il est) vivait à Guernesey et correspondait avec elle.

    La puissance de conviction de cet écrivain majeur, dû s'avouer vaincue. Sa volonté d'ouvrir les yeux de la seule fille qui lui restait de l'impasse où elle se trouvait face à un homme qui ne voulait pas d'elle.

    Histoire d'amour fou, irraisonné qui tire même peut-être sur l'erotomanie, en tout cas qui fait perdre la raison, le film tire sa force de la comédienne Isabelle Adjani ( à mes yeux dans ce qui représente sa meilleure interprétation cinématographique) et de son sujet lui-même.


    Le réalisateur y reviendra plus tard dans " la femme d'a côte ", témoignage de l'intérêt de Truffaut pour un sujet qui vraisemblablement devait trouver une résonnance toute particulière chez lui ou dans une expérience personnelle.


    Sujet universel et intemporel, " Adele H" figure sans nul doute parmi les plus grandes réussites de son auteur, même si je place " jules et jim" au sommet de sa filmographie.
    Loïck G.
    Loïck G.

    282 abonnés 1 628 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 août 2022
    C’est quasiment un « seul en scène » qu’exécute brillamment Isabelle Adjani dans cette relation historique sur la passion amoureuse sans retour. La jeune comédienne d’alors est quasiment de tous les plans et Truffaut sublime son cadre chaque fois au plus près du sentiment du moment. La peur, la haine, la crainte, mais aussi l’amour dans tout ce qu’il a de plus absolu. Erotomane convulsive, la fille de Victor Hugo s’enfonce dans ses délires à en perdre la raison qui lui interdit de revenir en France comme son père l’implore à chacun de ses courriers. L’écriture est indissociable de la fièvre qui s’empare de l’héroïne, tout aussi présente dans la mise en scène de François Truffaut qui laisse sa caméra explorer les tréfonds de l’âme, sans lui donner un tournis romantique auquel le sujet pouvait le prédisposer. A 19 ans, Isabelle Adjani révèle son talent hors norme. Truffaut réalise alors une œuvre totalement aboutie.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    benoit_lb
    benoit_lb

    2 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2022
    Rien d’étonnant à ce que François Truffaut se soit intéressé à la vie d’Adèle Hugo et ait décidé de porter à l’écran son escapade en Nouvelle-Ecosse. Tous les ingrédients s’y trouvaient réunis pour lui permettre d’explorer à nouveau les liens entre l’amour et la mort : une jeune femme folle d’amour qui ment à sa famille pour suivre l’homme qu’elle aime de l’autre côté de l’Atlantique, le retrouve, se fait repousser à plusieurs reprises mais s’accroche à cette passion amoureuse non partagée jusqu’à en perdre la raison.
    Truffaut fait de l’amour passionnel le thème principal de « L’histoire d’Adèle H » comme il l’avait déjà fait pour « Jules et Jim », « La peau douce » ou « La mariée était en noir » et comme il le fera plus tard dans « La chambre verte » ou « La femme d’à côté ». Taraudé par le besoin de comprendre à quel point l’amour peut rendre aveugle, il construit son film de façon chronologique présentant au départ Adèle comme une jolie jeune femme confiante et déterminée avant d’évoquer son déclin progressif, déclin à la fois physique, psychologique et matériel. Adèle est obsédée par Albert, par son image d’homme de devoir, droit et dur, que lui vaut son rôle d’officier dans l’armée britannique ayant notamment fait ses armes lors de la guerre de Crimée. Elle est prête à tous les sacrifices, à toutes les humiliations pour être à ses côtés. L’amour vire à l’obsession et l’obsession au déshonneur. Adèle se comporte peu à peu comme une paria, comme une mendiante avant de n’être plus qu’une ombre fantomatique déambulant dans les rues poussiéreuses de la Barbade. Elle en oublie l’honneur, son honneur, l’honneur de sa famille et l’honneur de son père, dont la réputation n’est pourtant déjà plus à faire des deux côtés de l’Atlantique. Une réplique résume à elle seule l’ensemble de ses sentiments : « Ne vous est-il jamais arrivé d’être amoureuse de quelqu’un même si tout en lui est méprisable ? ».
    Pour Adèle, il n’y a pas d’autre amour que l’amour fusionnel tel que celui qu’entretenait sa sœur Léopoldine avec son mari Charles qui l’a rejoint dans la mort au moment de sa noyade. « Vous ne savez pas la chance que vous avez eu d’être enfant unique » répond Adèle à la tenancière qui l’héberge. Ressurgit régulièrement en elle le trauma créé par la disparition tragique de Léopoldine et que Truffaut retranscrit en surimpression à travers plusieurs scènes.
    « L’histoire d’Adèle H » est l’occasion pour Truffaut, le passionné de littérature, de rendre un hommage appuyé à Victor Hugo en faisant notamment un focus sur son courage politique qui l’a conduit à l’exil dans les iles anglo-normandes durant toute la période du Second Empire. Le personnage de Victor Hugo transparait tout au long du film, toutefois Truffaut évite habilement le piège qui aurait consisté à le porter physiquement à l’écran. La présence de l’écrivain ne se traduit qu’au travers d’une voix off qui retranscrit la correspondance épistolaire qu’il entretient avec sa fille mais qui a elle seule suffit à Truffaut pour réunir de nouveau ce nombre impair de personnages qui a toujours fait la marque de fabrique de ses films : Adèle, Albert et Victor Hugo. L’amour représenté par Albert et la raison qu’incarne son père deviennent ainsi la ligne de fracture autour de laquelle Adèle est amenée à trancher.
    Le film se découvre un peu comme un roman grâce au talent de narrateur qu’avait Truffaut. Il y restitue parfaitement le contexte géopolitique des années 1850 – 1860 à travers quelques séquences portées par des cartes et des photographies de l’époque et une voix-off, la sienne. Le sens du détail dont il fait preuve à travers sa mise en scène et le choix des décors nous permet d’apprécier la modernité de ce milieu du XIXe siècle où les transferts d’argent d’un pays à l’autre semblaient déjà monnaie courante, où le courrier traversait l’Atlantique dans des délais raisonnables et où les épiciers de l’époque organisaient leurs étals de fruits et légumes comme ceux d’aujourd’hui.
    Truffaut possédait également un talent indéniable pour diriger ses acteurs. Isabelle Adjani campe magnifiquement Adèle dans un de ses tout premiers rôles, rôle complexe qui plus est et qui la prédestinait déjà à la carrière qu’elle a eue par la suite. On aurait bien aimé la découvrir derrière la caméra de Truffaut dans un autre film. Le sort en a décidé autrement. Raison de plus pour revoir inlassablement « L’histoire d’Adèle H ».
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 006 abonnés 4 090 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 juillet 2021
    François Truffaut, ancien protégé du critique André Bazin, fut sous son égide l’un des membres influents des Cahiers du Cinéma avant de devenir l’un des fondateurs de la Nouvelle Vague Française. Pourfendeur des scénaristes (Aurenche et Bost) et réalisateurs (Autant-Lara) de l’Après-Guerre qu’il regroupe sous le terme péjoratif de « Qualité française » pour désigner leur cinéma jugé compassé et par trop éloigné de la réalité, il s’avère avec le recul un cinéaste de facture plutôt classique et romantique dans le sens le plus noble de ces deux termes. En 1975, à 43 ans et déjà quatorze longs métrages à son actif, il s’intéresse de très près au journal intime d’Adèle Hugo, la fille cadette du grand écrivain dont les deux premiers tomes ont été édités respectivement en 1968 et 1971 par Frances Vernor Guille, professeure de français aux Etats-Unis. Lui et Jean Gruault avaient adoré travailler sur « L’enfant sauvage » qui leur avait permis d’approcher au plus près la veine réaliste en s’emparant d’une histoire vraie pour la traiter dans un style mariant avec harmonie et rigueur, fiction et documentaire. Truffaut est fasciné par l’histoire de cette jeune femme tombée en pleine érotomanie alors qu’elle vivait recluse à Guernesey avec son père en exil pour l’aider à surmonter le chagrin causé par la mort de sa sœur Léopoldine, noyée dans la Seine à Villequier pendant que l’écrivain était en voyage en Espagne. C’est un lieutenant anglais qu’elle rencontre lors de séances où son père tente de faire tourner des tables pour rentrer en contact avec Léopoldine qui s’empare violemment de son cœur et de son âme. Déjà sujette à la dépression, la jeune femme s’enferme dans un amour irraisonné alors que le lieutenant en question ne répond pas à son empressement. Quand il part avec son régiment pour le Canada, Adèle décide de le rejoindre à Halifax en faisant croire à sa famille qu’elle se rend à Malte. C’est à ce moment que démarre le film. Le compte à rebours est commencé, Adèle s’étant déjà quasiment fermée au monde extérieur. Il s’agit pour Truffaut de trouver l’actrice la mieux à même d’incarner la quête doloriste d’Adèle Hugo qui occupera tout l’écran. Ayant tout d’abord pensé à Catherine Deneuve puis à Stacey Tendeter qu’il vient de diriger dans « Deux anglaises et le continent » (1971), il choisit Isabelle Adjani alors âgée de 19 ans qui l’a subjugué par l’intensité de son jeu dans « La gifle », film sans prétention de Claude Pinoteau. Choix parfaitement judicieux, la jeune actrice livrant ce qui reste encore aujourd’hui l’une des plus grandes prestations de la star évanescente qu’elle est devenue. Son imprégnation du rôle est digne de la fameuse méthode de l’Actor’s Studio mais dépouillée des afféteries qui souvent l’accompagne, brouillant le message et à l’extrême confinant au cabotinage. Aidé de son chef opérateur Nestor Almendros, Truffaut n’a alors plus qu’à suivre les déambulations tout d’abord exaltées puis rageuses et enfin fantomatiques d’une Adèle dont la pâleur et le regard fiévreux se perdent dans le visage impassible et ténébreux du beau lieutenant incarné par un Bruce Robinson parfait pour le rôle. Même s’il fait une très courte apparition dans le film à la manière du grand Hitchcock qu’il admirait, François Truffaut reste parfaitement concentré sur son sujet, ne laissant prendre aucun chemin de traverse à sa caméra qui se saisit de toute la gamme d’émotions que distille la jeune prodige qu’était encore Isabelle Adjani. C’était là sans doute la qualité essentielle de François Truffaut qui lui permettait de rendre au plus près les tourments de l’âme humaine qu’il voulait le plus souvent féminine.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    73 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2021
    S’inspirant d’un épisode réel de vie d’Adèle Hugo, fille de l’immense Victor qui passa la majeure partie de son existence en maison de santé, François Truffaut nous embarquait au cœur d’une obsession amoureuse évoluant dans la folie pure. Ce film à la lumière magnifique et aux décors et costumes d’époques somptueux – l’intrigue se déroule en 1863 à Halifax en Nouvelle Écosse (Canada) – est porté par une Isabelle Adjani magistrale. À tout juste 19 ans, elle interprétait l’un des rôles les plus importants de sa carrière. D’une intensité remarquable.
     Kurosawa
    Kurosawa

    512 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 janvier 2021
    Il faut quelques minutes avant de saisir le nom de famille d'Adèle et, à partir de cette révélation, on comprend la réflexion qui sera développée, déjà induite par le titre du film. Adèle pourrait être connue et jouer de son lien de parenté avec l'un des plus grands écrivains de l'époque ; au contraire, elle renie ce père qui se trouve de l'autre côté de l'Atlantique et vit son histoire d'amour non réciproque de manière obsessionnelle et se meut progressivement en fantôme au gré des multiples rejets humiliants. Adèle n'a pas de nom ou plutôt elle n'en veut pas, elle reste anonyme, dans l'ombre de Victor et de sa sœur Léopoldine, qui obtiendra à titre posthume une reconnaissance à travers le sublime poème "Demain, dès l'aube". Pour donner un sens à son existence, elle tente de séduire le lieutenant Pinson mais ce dernier restera pour toujours insensible à ces avances. Devant l'échec, Adèle est insaisissable et sombre dans la folie : ces états sont magnifiquement incarnés par Isabelle Adjani, qui change à chaque plan, que ce soit par une différence de coupe de cheveux, de teint, de vêtement ou d'expression. Elle donne à son personnage une puissance d'abstraction qui nuit d'ailleurs à un film à la facture classique – mais de la part de Truffaut, pouvait-on espérer autre chose ? –, et qui reste parfois un peu sage dans son exemplification redondante d'un personnage voulant seulement séduire un homme qui ne l'aime pas. Truffaut préfère la distance émotionnelle à un lyrisme qui n'apparaît que trop rarement – c'est néanmoins le cas lors des superbes scènes de correspondances –, ce qui donne le sentiment que le film s'exprime en deçà du potentiel de son matériau. Ce qui en résulte, c'est un beau film porté par l'interprétation de son actrice principale mais qui peine à mettre en valeur ses meilleurs atouts.
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 décembre 2020
    L’une des thématiques principales du cinéma de François Truffaut est l’amour. Il était donc inévitable que le cinéaste s’intéresse un jour à la folie d’amoureuse. Rien n’illustre mieux la passion rendant fou que la vie d’Adèle Hugo, la fille du grand écrivain qui s’obstina à croire en l’amour non partagé d’un soldat britannique au point de sombrer dans spoiler: la folie et de passer le restant de sa vie dans une maison de santé
    . Et qui d’autre que la jeune Isabelle Adjani (19 ans à l’époque du tournage) pouvait le mieux incarner ce destin tragique ? L’actrice et Truffaut se sont passionnés pour leur sujet et cela se ressent. La première semble s’être totalement investie dans son rôle (comme elle pourra le faire une dizaine d’années plus tard pour une autre femme dévorée par la passion et la folie : Camille Claudel) et le second trouve un angle passionnant pour illustrer de façon nouvelle un de ses sujets favoris. L’Histoire d’Adèle H. se révèle donc être une brillante réussite et un des sommets des filmographies de son auteur et de son actrice.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    913 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 décembre 2020
    Truffaut filme une jeune femme passionnée, tourmentée par l'amour fou. Elle désire en même temps s'affranchir de son père et vivre un amour qui saurait la mettre à son égal mais il y a cette maladie mentale qu'Adjani incarne avec brio.
    Un beau film un peu baroque dans le fond.
    fabrice d.
    fabrice d.

    22 abonnés 1 382 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 novembre 2020
    Ce film romantique nous offre de découvrir l'histoire d'Adèle H. fille de Victor Hugo et une de premiers grands rôles d'I. Adjani.
    Le film basé sur de nombreux décors avec ses plans serrés est un peu ennuyeux.
    Boby 53
    Boby 53

    10 abonnés 177 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2020
    Film un peu à part dans la cinématographie de Truffaut, comme "La chambre verte", même si le thème de l'amour fou est très truffaldien. L'histoire est somme toute assez simple, les délires d'une femme amoureuse, et il fallait tout le talent, la grâce et la conviction d'Isabelle Adjani pour emporter notre adhésion. Une autre Isabelle, Huppert, aurait pu également interpréter le rôle, mais a t elle finalement tourné avec Truffaut, je ne crois pas? Il est mort trop tôt, trop jeune, mais une telle rencontre aurait pu être passionante!
    Ducerceau
    Ducerceau

    9 abonnés 554 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 novembre 2020
    Chef d'œuvre comme beaucoup de Truffaut et d'Isabelle Adjani. C'est vraiment une tragédienne héritière des plus grandes du passé comme Sarah Bernard. On comprend combien Victor Hugo a du souffrir par ses deux filles. C'est avec sa souffrance qu'il a écrit les Misérables. Avec Fantine, il n'a pu sauver Léopoldine. Avec Cosette, il a rêvé qu'il sauvait Adèle. Ses deux Adèle...
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