Avis : Le Magicien d'Oz - Page 9

Le sépia couleur original pour film original. C'est la teinte qu'ils ont mise pour ne pas forcer sur le noir et blanc aux séquences de la réalité qui encadre le film. Comédie musical pour enfants qui a son petit effet par son passage en couleur lors du rêve du pays au-delà de l'arc-en-ciel. Des personnages bien marqué par leur caractère et des chansons qui vous reste en mémoire.

un classique c'est sur très bien fait pour l'époque mais un peu décu car je m'attendais peut-être à du moins enfantin, et puis ca a kan meme vieilli!

un chef d'oeuvre... film tourné en 39 ... des miyens à couoer le souffle. pas fan des comedies musicales d habitude. un conte pour petits et grands

Les beaux décors et les costumes originaux sont tout de même assez gâchés par cette histoire cul-cul à souhait avec en prime quelques chansons aux paroles incroyablement niaises. Un film qu'il faut sûrement avoir vu étant petit pour le trouver magnifique.

Vraiment une belle surprise et une petite merveille ce film. Pourtant je le découvre à vingt-cinq ans, j'aurais cru que la magie n'opérerais plus, mais le magicien d'Oz a toujours été une histoire que j'affectionne. Je ne suis pourtant pas fan des comédies musicales et pour autant j'ai eu le sentiment de retrouver la magie des comédies Disney (Marry Poppins, Peter et Elliot le dragon,...) et j'ai toujours beaucoup de respect pour les films avec un tel décors et un tel investissement. On suit donc Dorothy au sein du pays d'Oz accompagné par un épouvantail, un homme de fer blanc et un lion. La réalisation est superbe, les décors sont somptueux et magiques, les musiques entraînantes et drôles. Tout est réunit pour les petits et les grands enfants. On replonge dans un univers enfantin et familier. Personnellement je ne trouvais pas que le film avait mal vieilli, je trouve qu'il colle toujours et surtout qu'il dégage une âme très présente. Je suis très friande de ce genre de film où on a de l'admiration pour tout le travail qu'il a demandé. Tout bonnement culte et à voir au moins une fois.

Tout le fantastique du « Magicien d’Oz » repose sur cette possible chimère, qui transposerait la réalité et ses détails dans une féerie déformée mais connectée au monde. En somme, le classique de Fleming tient sur le principe même de la littérature et du cinéma : l’évasion. Et finalement, bien au-delà du conte magique, il livre une belle analyse en sous - texte de la rêverie, ou comment nos problèmes nous rattrapent dans notre sommeil et comment les réponses nous apparaissent. Bref, évadez-vous !

Depuis le temps que je voulais voir ce grand classique. Des décors somptueux, des effets spéciaux bien fait pour l'époque, de bon acteurs, Judy Garland est excellente. Des musiques entraînantes et bien interpréter, un très bon film musicale comme il se fait plus ...

Le Magicien d'Oz est un classique assez sympathique.
Par contre, le film a très mal vieilli. Le film date tout de même des années 30. Les costumes et les maquillages ne sont pas crédibles pour un sou (même si on imagine facilement qu'il y a beaucoup de travail derrière). Les effets spéciaux et les décors ne sont pas mieux. Malheureusement, tout cela est à imputer à l'époque de la sortie du film qui était loin des progrès technologiques d'aujourd'hui.
L'actrice principale ne m'a pas tant séduit que ça. J'ai surtout été perturbé par le fait qu'elle est clairement bien plus âgée que le film tente tant bien que mal de nous le faire croire.
Au-delà de ça, l'histoire est très sympathique. On peut s'y perdre et ne pas complètement comprendre la portée philosophique et métaphysique du rêve, mais il vaut mieux ne pas y attacher d'importance et apprécier le monde onirique qui y est dépeint.
Je n'ai pas beaucoup apprécier les chansons que j'ai trouvé un peu simpliste et adressées à un public plus jeune (même « Somewhere Over the Rainbow » ne m'a pas émoustillé, mais c'est sans doute dû au fait que j'ai dû entendre mille fois cette chanson ou une reprise de celle-ci).
Le personnage de la sorcière est assez terrifiant et son armée de singes volants l'est également (ou du moins, elle est perturbante).
Un classique très sympathique à regarder.

Un très beau conte jovial, primaire et manichéen certes, mais incontournable pour tout sensibles au septième art tout de même. La fin, bien que peu surprenante, laisse réfléchir par ses gentilles dénonciations...

Ah la la un monument du cinéma! Un film culte de la culture américaine! Le film est vraiment très cucu, c’était à l’époque un film pour les tous petits enfants, je pense qu’aujourd’hui le film est trop vieux pour plaire aux jeunes enfants et trop nunuche pour plaire aux grands. Néanmoins pour l’époque c’était du grand art! Des décors grandioses et de bon effets spéciaux. Néanmoins je ne conseille ce film qu’aux cinéphiles car il y a aujourd’hui un fossé bien trop grand entre ce film et le grand publique d’aujourd’hui

un film vraiment magnifique, vraiment charmant, l'histoire se déroule dans un univers merveilleux qui nous attire tellement ! et le passage du noir et blanc a un Technicolor magnifique est une idée franchement géniale ! les personnages haut en couleurs, nous font rire, nous touchent, et ion ne se lasse pas, un véritable classique de plus qu'il est plutôt rare qu'un film pour autant ne perde pas la moindre partie de son charme avec le temps, aujourd'hui il s'agit d'un grand chef d'œuvre du cinéma merveilleux, un film immortel a voir absolument.

Après toutes ces années passées, on pourrait croire que ce film est devenu désuet. En fait non. Visuellement splendide et enchanteur, le Magicien d'Oz conserve toute sa magie. Il fait partie de ces grands classiques du cinéma que toute personne, cinéphile ou non, se doit de regarder au moins une fois dans sa vie. Aujourd'hui encore, ce très grand film, cette merveille, continue d'enchanter petits et grands. Judy Garland est ravissante dans le rôle de Dorothée. Et la Méchante Sorcière de l'Ouest est une méchante inoubliable, une sorcière aussi mémorable que celle de Blanche Neige et les sept nains. Les maquillages sont remarquables pour l'époque tout comme les effets spéciaux et les décors. Même s'il est assez différent du roman de L.Frank Baum, il reste toujours la meilleure adaptation jamais faite à partir de ce livre.

Profitant d'un statut de film culte aux États-Unis, Le Magicien d'Oz est un film que n'importe quel enfant américain a vu. Son succès restera cantonné à ce pays, cette oeuvre étant beaucoup moins connue dans l'hexagone. C'est dommage au vu de sa qualité. L'histoire s'apparente beaucoup à Alice au Pays des Merveilles, on suit là aussi une jeune fille (Dorothy) propulsée dans un monde fantastique qui va faire plusieurs rencontres au fil de son voyage. Pourtant, l'univers arrive à se démarquer de son aîné. D'une part grâce aux décors (qui, malgré le plastique évident, arrivent à dégager quelque chose) mais aussi des nombreuses idées pour rendre l'ensemble riche de détails comme les arbres qui parlent, le cheval qui change de couleur, le chemin de briques jaunes qui traverse la jungle... De plus commencer le film en montrant le monde réel en sépia pour ensuite passer en couleur après la tornade est réellement une bonne idée. Oz n'est pas un monde aussi tordu que le Pays des Merveilles, on ne tombe pas dans une pâle copie. En revanche il est plus guimauve, donc passez votre chemin si vous avez du mal avec les histoires un peu niaises. Les chansons sont réussies mais nombreuses, la partie avec les Munchkins en compte deux et est un peu longue. Elles entrent assez facilement en tête, en particulier We're Off to See the Wizard qui est très rythmée. C'est un film agréable à voir avec un univers réussi et une Judy Garland rayonnante.

mon enfance et d'ailleurs fait partie des connaissances de base de tout bon amateur de sf

L'histoire d'une jeune écervelée qui crève comme une gourde lors d'un combat perdu d'avance avec un méchant n'ouragan, et qui confond les portes du paradis avec la grande parade de Mickey, mais que en fait non, parce que c'est qu'un conte pour n'enfants. Surtout qu'il date de 1939, ce joli conte musicalement moraliste. Une époque ou Bender n'était pas encore vulgaire. Une époque ou les théâtres n'étaient plus aussi grands que les studios de la Warner. Une époque où on avais peur de rien, où on osait tout même si ça ne ressemblait strictement à rien, contrairement à notre époque, où on peut absolument tout faire sans plus personne pour oser le faire. Foutu futur, dans lequel un gros hawaïen obèse avec un p'tit banjo se prend pour un compositeur de génie.