Un film sympa séparé en trois actes. Jonathan Cohen toujours aussi drôle malgré que le film soit trop long, surtout dans sa troisième et dernière partie.
Le film est fidèle à la bande annonce et l'on se retrouve dans l'envers du décor d'un tournage avec tout ce qui doit être géré en coulisses. Mention spéciale pour Denis Poladyles qui joue un rôle exigeant avec beaucoup d'émotions à interpréter et le fait très brillamment. Les autres acteurs sont également tous excellents. Peut-être ce film nous fait-il comprendre que derrière la caméra, le scénario, l'argent, les acteurs, se trouvent des êtres humains qui naviguent entre leur vie et leur passion pour le cinéma.
au départ, je pensais que c’était une comédie. sauf que non. c’est un film militant qui accumulé poncifs et clichés . en plus, une réalisation statique, lourde, ennuyeuse. bref, des le premier quart d'heure j’attendais la fin. Qui a mis du temps à arriver. sans rien démontrer
Le titre est explicite : il s'agit bien d'un film sur un film. Un exercice classique qui, dans ce film, est plaisant à voir car les séquences du film "originelles" (la lutte d'ouvriers occupant leur usine pour éviter le plan de licenciement) sont réalistes, pleines de vie et d'humour, avec une complicité entre les vrais acteurs et les ouvriers jouant leur propre rôle. Bien sûr, le monde du cinéma est présenté avec des caricatures pas très fines, mais le rythme est rapide, les passages entre le vrai film et son making of sont toujours bien cadencés et, surtout, ce film a une bonne dizaine de premiers rôles, faisant la part belle à Stefan Crepon (le bureau des légendes) et à plein d'autres jeunes acteurs. Belles prises de vues avec un virage très long en moto au milieu des barres de HLM, une vue panoramique sur l'usine dans un ciel de pluie (artificielle ...) et après presque 2 heures bien rythmées arrive les deux fins surprenante et rafraîchissante du vrai film, de son making of ...et d’un troisième film (les prémices d'un futur film issu du film making of !). Pas chiant, intéressant par la quantité des "vies" évoquées,: un film qui va bien vieillir !
Sans voix... le monde du cinéma parle au monde du cinéma. si vous faites parti de ce monde allez y, ça ne sera pas le film du siècle mais vous aurez des clins d'oeil. si vous n'êtes pas de ce monde, attention on ne rit pas, c'est sans intérêt, caricatural et long.
Une tragicomédie exceptionnelle avec des acteurs qui jouent juste pour parler du cinéma en le rapportant à la vraie vie par des mises en abîme très juste. Podalydes et Cohen sont épatants mais les seconds rôles sont excellents. Le scénario est bien ficelé. Du grand Khan. Pas du gengis mais du Axel.
Une belle comédie sur le cinéma, un film dans le film. L'envers du décor nous est montré, le bon comme le mauvais et de façon intelligente où l'on se surprend à rire plusieurs fois. Un bon moment de passé au cinéma sur un film lui rendant hommage.
Parallèle intéressant entre le combat des ouvriers et celui de l'équipe et réalisateur qui tournent le film. Instructif sur le "backstage" du cinéma qui bien sur n'échappe pas au diktat de la rentabilité...peut-être un peu long.
Film extremement ennuyeux qui n'intéressent que les critiques de cinema. Du coté du spectacteur, on attend en vain quelque chose mais rien ne se produit. J. Cohen fait son numéro favori.....qui à la longue devient très lourdingue Podalydès est là, mais bof.....rien..... Navrant et désolant.......Le cinéma américain a des bon jours devant lui face à des "films" français pareils.....
Drôle ? Sûrement, il y a eu des rires dans la salle. Moi j'étais parfois émue par le film dans le film mais jamais amusée. Je dois être hermétique à ce genre d'humour, je ne ris pas du malheur. Néanmoins, les acteurs sont bons, l'histoire pas désagréable (pas non plus renversante ni très originale). Un film social intéressant mais pas un chef-d'œuvre.
Intéressant de voir un réalisateur débattre dans ses problèmes qui semblent tous insurmontables tout en ayant une pensée pour le réalisateur qui doit jongler entre deux films mis en abîmes et des parcours de personnages qui font le lien entre les deux scénarios. La fin paradoxale n'est pas racontable ici mais c'est une jolie pirouette