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    9 semaines 1/2
    Note moyenne
    2,7
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    90 critiques spectateurs

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    Danny Wilde
    Danny Wilde

    92 abonnés 502 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2014
    Adrian Lyne révèle l'originalité de son talent avec cette romance psychologique et passionnée, qui déroute autant qu'elle fascine, et qui sera souvent plagiée par d'autres réalisateurs moins inspirés. On peut regretter le côté factice et artificiel de John et Elizabeth, leurs personnalités ne sont pas assez creusées, et le réalisateur pallie ce défaut en se reposant trop sur les scènes érotiques. Mais Mickey Rourke est beau comme un dieu, et Kim joue de son corps sans complexe. Raffinement des images, esthétisme de vidéo-clip (c'était la mode en 1986), complexité des relations entre les 2 personnages, atmosphère fiévreuse, envoûtement de la musique, séquences d'anthologie (le fameux strip sur le "You can leave your hat on" de Joe Cocker, la scène de la cuisine), érotisme troublant... sont de beaux arguments qui contribuent à faire de cette oeuvre séduisante un film culte.
    Lepouceducoin
    Lepouceducoin

    16 abonnés 924 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 mai 2013
    Tout ça pour ça...franchement, ce film ne mérite pas qu'on s'y attarde autant ou du moins qu'on en fasse un film érotique (à l'époque peut-être mais on a vu bien pire depuis)...Déjà, je ne le trouve donc pas si choquant que ça, avec la réputation qui le précédait, je m'attendais vraiment à des scènes torrides toutes les 5 minutes. Mais surtout, ce qui choque, c'est que l'histoire est réellement vide. Tout se passe autour d'une relation amoureuse plus qu'ambigüe entre Mickey Rourke, encore physiquement normal, et la très jolie Kim Basinger, rien d'autre. On s'ennuie ferme et on assiste à chacun des jeux pervers du assez flippant Rourke jusqu'à la fin sans trop savoir où ça va nous mener. Et justement, je cherche encore...ou c'est une invitation à vite passer à autre chose. Un point positif : l'excellente BO.
    TheBar
    TheBar

    4 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mai 2009
    Ce film est l'un des classiques des années '80 par son esthétique, son ambiance très particulière et les touches très marquées d'érotisme qui donnent une forme de suspense au récit. Dommage que Kim Basinger fasse si nunuche.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 janvier 2011
    Ok c'est ennuiyant à mourir, mais le jeux d'acteur est tellement sublimissime qu'on les pardonnes du grand art!
    FABULOEUF
    FABULOEUF

    12 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 décembre 2006
    Un beau film, très agréable pour les yeux. L'ambiance est sympathique. On aurait voulu que les capacités érotiques de Kim soient plus exploitées. Cette fille a une sensualité phénoménale, qui aurait méritée un développement plus conséquent. 9 semaines 1/2 est cependant un film érotique culte, un film sex symbolique des regrettées années 80. Si Mickey Rourke avait été remplacé par Billy Idol ou Iggy Pop dans le role du pervers, le film aurait pu etre du domaine du géni !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 juillet 2011
    Film d'un ennuie mortel, au scenario inexistant qui de plus à mal vieillit.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 mars 2009
    Superbe film. Il n'y a rien à dire de plus. Moi aussi je suis étonné qu'il n'y ai pas beaucoup de critique sur ce film.
    Zilog
    Zilog

    8 abonnés 161 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juillet 2008
    vu pour combler un manque..film culte certes.... cependant malgré un jeu d'acteurs impeccable et toute la sympathie qu'on peut avoir pour les années 80 et la fraicheur de ces jeunes (à l'époque) acteurs..eh bien...je me suis presque endormi... c'est assez injuste de découvrir ce film en 2008, je ne doute pas de la force de son impact à l'époque...mais vraiment ça a mal vieilli...côté kitsch de la musique très 80's "synthé pourritos de base" (hormis les classiques de la BO comme Joe Cocker etc)... rien a rajouter sur l'histoire (oie blanche soumise + pervers au sourire en coin), tout le monde connait le sujet qui est plutôt bien traité ici....
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 janvier 2009
    film culte!
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 006 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juillet 2016
    Comme ses collègues Hugh Hudson, Alan Parker, Tony et Ridley Scott, Adrian Lyne fait partie des réalisateurs de publicité anglais qui ont émigré avec succès vers la Cité des Anges pour y réaliser des films à l'esthétique ultra soignée qui influenceront fortement la production hollywoodienne des années 80. Une influence qui leur sera souvent reprochée par la critique comme étant un amplificateur de la toujours dommageable prédominance de la forme sur le fond. Tropisme déjà très présent dans l'esprit des producteurs toujours ravis de ne jamais donner trop à réfléchir aux spectateurs. Adrian Lyne avec ses choix scénaristiques souvent accessoires est sans aucun doute celui qui à concentré sur sa personne le plus d'injures et de sarcasmes. "Flashdance" sorti en 1983 présentait de manière complètement fantasmée et souvent mièvre l'ascension jusqu'à l'admission dans une célèbre troupe de danseurs, d'Alex (Jennifer Beals), une jeune soudeuse de Pittsburgh arrondissant ses fins de mois dans un cabaret enfumé. Le tout, rythmé par la musique enfiévrée de Georgio Moroder pape du disco et ex-mentor de Donna Summer, fit un triomphe au box-office malgré une critique déchaînée. Inutile de préciser qu'Adrian Lyne était attendu au tournant pour son film suivant. Il en rajoute une couche en allant encore un peu plus loin dans le superficiel. Cette fois-ci quasiment pas de scénario, juste la rencontre d'une jeune et très belle galeriste new yorkaise en mal d'amour mais aussi d'assouvissement corporel avec son pygmalion sexuel. Comme si la sublime Kim Basinger pouvait manquer de soupirants. C'est Mickey Rourke jeune yuppie un brin désabusé mais aussi un peu pervers qui va opportunément offrir à la belle frustrée neuf semaines et demi de plaisir intense dans un New York devenu terrain de jeu érotique pour John et Elizabeth qui s'abandonnent à leurs sens dans tous les endroits qui les inspirent, des plus bourgeois au plus sordides (pas trop quand même !). Le tout est bien sûr magnifiquement filmé par Adrian Lyne qui connait parfaitement la musique. Une musique qu'il puise chez tous les chanteurs à voix du moment. Joe Cocker et son "You can leave your hat on" pour un striptease chaud bouillant comme on dit aujourd'hui ou encore Brian Ferry et son très suave "Slave to love" pour exposer la dépendance sexuelle de la belle Kim à son beau Mickey. Nommé pour le prix du pire scénario et de la pire actrice aux Razzie Awards de 1987, "Neuf semaines et demi" réussira quasi simultanément la prouesse de devenir un film culte et un échec financier aux Etats-Unis. Conséquence logique de ce paradoxe, les carrières de Kim Basinger et de Mickey Rourke seront définitivement lancées alors qu'Adrian Lyne sera finalement abattu par la critique dès son premier échec après "Liaison fatale" qui l'a vu être définitivement relégué au rang de paria par l'intelligentsia. Il n'a plus tourné depuis 1997 et "Lolita" le remake du film de Stanley Kubrick (1962),? Crime de lèse-majesté ultime d'un réalisateur somme toute assez courageux refusant de plier face à une critique en train de ruiner sa carrière . Trente ans après, "9 semaines 1/2" demeure certes un long clip complètement irréaliste et chichiteux à l'extrême mais il faut tout de même reconnaitre que la mise en image est sublime et que Kim Basinger était d'une beauté foudroyante qui pouvait peut-être à elle seule justifier l'envie d'un réalisateur de lui dédier entièrement un film certes dispensable mais qui a au moins le mérite de ne pas tromper sur ses intentions.
    Fabien S.
    Fabien S.

    454 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2020
    Kim Basinger et Mickey Rourke forment un très beau couple dans ce film à la fois romantique, sensuel, et érotique.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    40 abonnés 914 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2020
    Voici un film ultra-célèbre dont la réputation sulfureuse a fini par le desservir tout en entretenant sa légende. C'est effectivement un superbe exemple de l'érotisme suranné des eighties, mais la sensualité affichée, loin d'être devenue désuète, s'impose toujours comme un modèle que, curieusement, le cinéma peine à surpasser! Les "50 nuances..." et consorts font bien pâle figure par leur pudibonderie trop bavarde et explicative et une esthétique érotique de pacotille aisément ringardisée par ce classique 30 ans plus vieux! Faut croire qu'il était en avance sur son temps, avec son sens de l'érotisme spectaculaire (le strip le plus célèbre de l'histoire du cinéma!), ses tendances sado-maso clipesques et taiseuses, son héroïne charnelle et pulpeuse (la scène du frigo...), véritable fantasme sur pattes, son héros ténébreux, torturé et charismatique (pauvre Jamie Dornan à côté...), enfant terrible et sacrifié d'Hollywood... Et puis un réalisateur maudit, car toujours sous-estimé et mal-aimé des critiques et de la profession alors que sa filmographie alterne gros succès et grands films! A réhabiliter un jour sans aucun doute! Et puis "9 semaines 1/2" est avant tout une putain d'excellente histoire d'amour! Et ça, tout le monde semble avoir fini par oublier!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 décembre 2006
    Il y a de grands mysteres dans ce monde et la reputation de ce film me semble en faire partie! Il est assez simple a resumer, une nunuche un peu naive tombe sous le charme d'un homme qui cache un veritable pervers sous ses sourires. L'homme offre un cadeau tres cher, il demande ensuite a sa nunuche de realiser des actes insenses et ridicules ce qui mene a une scene erotique (enfin si l'on considere que manger divers aliments les yeux bandes est erotique!!!) avec a la fin une belle engueulade et la fuite de la nunuche. La chose etrange est que cette sequence d'evenements se repete inlassablement sans aucune evolution et seulement agrementes de dialogue particulierement creux et l'observation d'oeuvres d'art(???).
    Estonius
    Estonius

    2 473 abonnés 5 225 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2016
    Curieux choix de titrer le film de telle façon qu'on sait quand tout cela va se terminer. Les surréalistes auraient sans doute aimé le film, car c'est bien d'amour fou qu'il s'agit, Kim étant complètement spoiler: dominée par Rourke : on reste à la limite de la contrainte, il ne l'oblige jamais vraiment, mais ne se dévoilera jamais complétement, ce qui fait qu'on se demande quelle sera la goutte d'eau qui provoquera la rupture
    . Mais ça se sera pour la fin, le film manque donc de tension mais offre quelques séquences d'une superbe beauté : spoiler: le jeu avec les aliments, le strip dans la cuisine, l'étreinte dans sous la pluie dans la ruelle glauque…
    . Tout cela avec une Kim Basinger qui crève l'écran. La réalisation est bonne, parfois maniérée, il y a une touche d'humour. Quant à la fin… on n'est jamais joyeux après une rupture quelles qu'en soient les conditions… mais on le savait depuis le titre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 mars 2009
    peu de parole mais une force de l'image. Un film aux atmosphères à la fois inquietantes, troublantes, sensuelles.
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