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    Le Fantôme de l'Opéra
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    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    917 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2015
    Ambiance, suspense et mystère pour ce classique de la littérature, si souvent traité au cinéma. Ici la version muette est très bien réalisée et reproduit fidèlement la peur et le fantastique avec des personnages fascinants. Le muet a cette force qui accentue l'expression des visages, c'est assez magique et horrifique. Le fantôme est affreux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 octobre 2013
    Produit en 1925 par le fondateur d'Universal, Carl Laemmle, cette première adaptation du roman de Gaston Leroux reste l'un des premiers films à connotation fantastique à être resté ancré dans l'Histoire du Cinéma. Réalisé par Rupert Julian, "Le Fantôme de l'Opéra" fit fureur à sa sortie en salle, notamment grâce à la qualité révolutionnaire des maquillages. Pour l'anecdote, des sels étaient même distribués aux spectateurs avant chaque représentation, au cas où la scène dans laquelle le personnage de Christine retire le masque du fantôme ne soit trop horrible (faut dire que le maquillage réalisé sur Lon Chaney fait, encore aujourd'hui, froid dans le dos). Malgré le fait qu'il soit muet et que quasiment un siècle se soit écoulé, "Le Fantôme de l'Opéra" reste un bon film fantastique, dans lequel on se projette aisément. Difficile de n'éprouver aucun suspense ou crainte devant la mise en scène visionnaire de Julian. Dommage que les dernière minutes aient l'air bâclées, ce qui gâche un peu le film, mais pour le reste, "Le Fantôme de l'Opéra" procure un véritable bonheur cinématographique (comme quoi, le cinéma est art intemporel). On accroche aisément aux personnages, de plus que le mélange entre mystères, amour et humour, qui sont les codes clés du divertissement hollywoodien de l'époque, sont très bien traités. Plus grand chose à dire de plus sur cette première adaptation cinématographique du Fantôme, si ce n'est que de faire l'éloge de la formidable scène du bal masqué, apogée du film dans lequel les enjeux dramatiques atteignent leur paroxysme. Un classique qui, malgré le temps, n'a pas pris une ride et qui anticipe sur les codes du genre horrifique/fantastique.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 087 abonnés 4 214 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 janvier 2017
    Pas mauvais, je ne peux pas dire cependant que ce métrage m’ait véritablement enthousiasmé à la hauteur de certains cinéphiles.
    Je reconnais l’effort formel, notamment sur certains décors, et je reconnais que la scène en couleurs, au centre du film, apporte une originalité bienvenue, et donne une certaine flamboyance à cette séquence de bal costumé. Le métrage est plutôt bien fait, et par bien des aspects semblent anticiper les métrages de la Hammer, avec une esthétique volontiers gothique, avec ces nombreux souterrains sombres. Le film est bien fait, sans non plus être tout à fait à la hauteur de ce que l’on pouvait espérer de l’adaptation du livre de Leroux. La mise en scène reste en effet trop démonstrative, avec beaucoup de plans fixes sur l’action, et malgré de beaux décors, on ne retrouve pas forcément l’ambiance inquiétante que l’on était en droit d’espérer. Le film n’a d’ailleurs de véritablement inquiétant que le masque de Lon Chaney, lequel est en effet très bien fait, et reste durablement dans les mémoires.
    Le casting est assez bon, avec une Mary Philbin convaincante, et quelques bons acteurs masculins qui tiennent des rôles peu dégrossis mais avec élégance et talent. Reste que l’attraction du film c’est évidemment le fameux fantôme, campé par un Lon Chaney dont on ne verra en vérité pas le visage. Inquiétant à souhait de par son masque, il faut reconnaitre cependant qu’il est assez cabotin, un peu trop. C’est dommage, car à surjoué il perd assez de son caractère épouvantable. Cependant, le personnage est bien rendu dans ses contradictions, dans son « humanité » autant que dans sa monstruosité, et en cela cette adaptation a saisi un des aspects qui fait la richesse du livre de Leroux. C’est ce que j’ai le plus apprécié dans le fond de cette histoire.
    Le film refuse le manichéisme, c’est une bonne chose, et si à mon sens il loupe relativement le côté « épouvante », il développe bien le romantisme noir de l’histoire. Le Fantôme de l’opéra version 1925 est un film assez agréable à suivre, mais dont la narration n’est pas parfaite, et se loupe même bien sur la dernière partie. C’est trop rapide, tout s’enchaine trop vite, alors qu’il y avait quelques longueurs dans la première partie. Ça se finit de façon un peu abrupte et soudaine. En somme on a le sentiment que le film s’arrête sur une note descendante plutôt que sur une note ascendante, c’est un peu frustrant. Mais enfin, le récit est divertissant, il y a de belles scènes, ce qui permet tout de même de passer un moment plaisant.
    Pour ma part, Le Fantôme de l’opéra est une adaptation honorable du récit de Leroux, mais qui n’est pas non plus un chef-d’œuvre du genre. Il y a pas mal de petites lacunes de ci de là, et puis des choses un peu plus gênante, comme cette fin bien moyenne et ce Chaney pas assez sobre et donc pas assez terrifiant malgré son masque. Je donne 3.
    Estonius
    Estonius

    2 480 abonnés 5 227 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 février 2015
    Voilà l'un des trésors du cinéma muet longtemps oublié des spécialistes "autorisés". Plus qu'un film de terreur, il s'agit d'un film d'ambiance et là on est gâté, des souterrains, des passages secrets, des repères cachés, des mécanismes infernaux… le travail sur la photographie est remarquable, les plans incluant des mouvements de foules (voir la fin) sont assez impressionnants. L'utilisation des décors naturels parisiens s'incorpore parfaitement dans le film. Côté acteurs, Lon Chaney cabotine mais ce n'est pas bien grave, quant à Mary Philibin, quelle jolie femme ! Réalisé seulement 15 ans après la sortie du roman de Gaston Leroux, le film reflète parfaitement l'esprit de son auteur (sinon la lettre).
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 178 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juillet 2012
    Première adaptation cinématographique du roman éponyme de Gaston Leroux (publié en 1910), réalisé par Rupert Julian. Les adaptations furent nombreuses au fil des ans (1943, 1962, 1983, 1989, 1990, 1998 & 2004) et n'ont cessés de se suivent avec une constante régularité. Dans cette adaptation, si le film a été réalisé en noir & blanc, le réalisateur a tout de même tourné certaines séquences en couleurs (en utilisant le procédé du "technicolor bichrome"), passant du jaune au bleu, du vert au rouge (daltonien s'abstenir !). Ce qui nous frappe en premier lieu se sont les magnifiques reconstitutions de l'Opéra Garnier à Paris, l'intérieur même de l'Opéra, de sa scène (avec l'impressionnante séquence du lustre qui tombe en pleine représentation) en passant par ses coulisses ou encore ses souterrains où le fantôme à ses habitudes. On retiendra aussi les nombreux jeux de lumières avec les ombres se reflétant sur les murs de l'enceinte de l'Opéra, sans oublier les acteurs et leur façon de s'exprimer (très théâtrale).
    cylon86
    cylon86

    2 256 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 novembre 2012
    Première version cinématographique du roman de Gaston Leroux, ce "Fantôme de l'Opéra" ne manque certainement pas de charme ni de style. Il doit beaucoup sa réussite à Lon Chaney, l'homme aux mille visages, acteur et maquilleur de talent, donnant au fantôme son visage inoubliable et ses grands gestes pleins d'amour et de haine. L'histoire est assez belle, quelques plans sont magnifiques (l'ombre du pendu projetée sur un mur) mais l'ensemble manque de rythme, le film étant gêné par ses intertitres et par la lenteur de son scénario. Quelques défauts certes mais s'il ne devait y avoir qu'un fantôme de l'opéra, ce serait bien celui-là, bénéficiant de superbes décors.
    Plume231
    Plume231

    3 477 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2010
    Une déception au vue de l'aura de chef d'oeuvre qui entoure ce film. Même si l'adaptation se montre globalement fidèle au chef d'oeuvre littéraire de Gaston Leroux, force est de constater que les rares infidélités au roman nuissent au film, en particulier lorsqu'on a le droit à un autre fin, qui en comparaison de celle magnifique du roman, est franchement grotesque. Mais là où le film souffre surtout dans ses infidélités c'est dans la description des relations entre les personnages, en particulier entre le "Fantôme" et Christine Daaé, traitées grossièrement sans la subtilité qu'il y avait dans le roman. Et à l'exception du "Fantôme", on ne ressent qu'une complète antipathie pour les personnages (ce qui n'était pas du tout le cas aussi dans l'oeuvre de Leroux). Mais en dépit des défauts précédemment cités ainsi que d'une mise en scène un peu trop statique, le film vaut le coup d'être vu pour ses décors incroyables qui impose une atmosphère délicieusement lourde et aussi pour quelques scènes mémorables (la première fois que l'on découvre le visage du "Monstre", la chute du lustre et puis surtout la fabuleuse séquence du bal masqué en technicolor bichrome) et bien sûr pour l'interprétation inoubliable du grand Lon Chaney dans le rôle-titre. Mais malgré ses dernières qualités, "Le Fantôme de l'Opéra" est pour moi un film considérablement surestimé.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 mars 2011
    Vraiment un bon film qui a bien vieillit malgré son âge (il est de 1925).
    Ryce753
    Ryce753

    15 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mai 2013
    Cette première version cinématographique du roman "Le Fantôme de l'Opéra" de Gaston Leroux n'est pas dénuée de qualité mais manque, par moment, d'un certain souffle pour en faire un film d'exception.
    C'est du cinéma muet assez daté et les décors, les coulisses de l'opéra de Paris ne sont pas toujours "compréhensible", confus et pauvre en détail. A part cela, les maquillages, l'ambiance lugubre et mystérieuse de ce "Fantôme de l'opéra" sont plutôt réussi. A voir au moins une fois pour s'en faire une idée.
    selenie
    selenie

    5 437 abonnés 6 016 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juillet 2023
    Au départ on constate un Noir et Blanc orangé façon sépia, mais c'est en fait un choix délibéré pour marquer l'Opéra, on constate ensuite qu'il y a un filtre bleuté pour les extérieurs et un filtre vert pour les souterrains du fantôme et ses quartiers sans compter la scène du bal où différentes couleurs se mêlent dont la magnifique cape rouge du Fantôme au bal masqué qui fait son effet. Le Fantôme de l'opéra masqué n'est pas très classe et ni très charismatique, plutôt une sorte de Fu Manchu en tenue occidentale alors que découvert, Erik est assez hideux pour exprimer le dégoût surtout à Christine au grand dam du seigneur de l'Opéra. Le physique de Erik, imaginé et créé par Lon Chaney lui-même était alors considéré comme si monstrueux que Universal prévoyait des sels au cas où les spectateurs s'évanouiraient ! On constate surtout que la Universal avait confiance en leur film puisque le studio n'a pas hésité à reconstituer l'Opéra Garnier en dur mais également de la façade de Notre-Dame de Paris. Le film allie une atmosphère malsaine à un Film Noir en costume et tout fonctionne parfaitement. Un film à voir.
    Site : Selenie.fr
    Redzing
    Redzing

    921 abonnés 4 296 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 février 2017
    "The Phantom of the Opera" est l'une des nombreuses adaptations du roman de Gaston Leroux, dont le succès à l'époque lança la vague de classiques de l'horreur produits par Universal Studios. Le défaut principal du film est son manque de rythme dans sa partie centrale, ce qui n'est pas aidé par le fait qu'il soit muet. Néanmoins, l'ensemble regorge de bonnes idées. On y apprécie la reconstitution de l'Opéra de Paris et de ses rouages, quelques scènes en couleur assez marquantes, et une mise en scène travaillée avec quelques séquences emblématiques : la chute du lustre, la traversée des sous-terrains de l'Opéra, et surtout la fameuse séquence où le Fantôme perd son masque, qui fit frémir les spectateurs de l'époque et fait toujours son petit effet aujourd'hui. Par ailleurs, Lon Chaney et son maquillage réussi se déchaînent dans le rôle titre, ce qui également permis au film de demeurer célèbre.
    Cinememories
    Cinememories

    439 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2021
    Quinze ans à peine après la parution du célèbre roman de Gaston Leroux, Carl Laemmle et Universal Pictures saisissent l’opportunité de consolider l’identité du studio, en surfant sur le succès du muet et notamment sur le « Nosferatu » de Murnau. L’adaptation de « Le Bossu de Notre-Dame » mettait déjà à l’honneur l’écrivain français Victor Hugo et son martyr Quasimodo, où Lon Chaney composait avec un maquillage bluffant. C’est donc à Rupert Julian de prolonger les hostilités, en mettant en place un jeu d’amour noir entre un fantôme du passé et sa muse. L’Opéra Garnier jouit d’une fougue et d’un prestige qui n’a rien à envier à la cathédrale. Et son approche du conte de la « Belle et la Bête » ponctue intensément cette influence tricolore, que l’on entend dans chaque note, en harmonie avec la malédiction de Faust.

    Un cadavre qui pend, une ombre qui s’efface. C’est un esprit malveillant et redoutable qui rode dans la profondeur d’un bâtiment, qui expose sans mal tout le luxe et la bourgeoisie qui y trouve refuge. Mais au milieu du spectacle, c’est une affaire d’attraction et de répulsion démoniaque, qui guette la talentueuse Christine Daeé (Mary Philbin), rapidement poussée sur la scène. Entre le succès qui lui est promis et une conquête idyllique auprès du vicomte Raoul de Chagny (Norman Kerry), elle deviendra l’instrument d’un désir, éprouvé par Erik, campé par un Chaney de nouveau métamorphosé et en démonstration. En évoluant dans un décor gothique et magnifiquement reconstitué, les ombres deviennent des parcelles ténébreuses, qui justifient la terreur d’un personnage mutilé et criminel en tout point. Et si l’on vient à étouffer les origines de ce dernier, cela n’est que plus pertinent dans le développement de sa relation envoûtante avec Christine.

    Il n’est pas nécessaire d’en rajouter davantage sur le fil d’un récit, déjà bien construit et enveloppé d’une mise en scène impeccable, pour ne pas dire audacieuse. Le contraste est fort entre les deux mondes qui se chevauchent, l’un sous les bougies, l’autre dans la solitude. Et pourtant, il existe un lien étroit et une fascination remarquable pour ces deux extrémités chez la cantatrice. L’amour et la pitié qu’elle entretient, avec la créature qui la retient, lui confèrent le même masque que nous portons, afin d’éviter que la laideur s’affirme. Elle peut s’inspirer des enfers, mais ce seront bien les émotions des personnages qui les terroriseront le plus, jusqu’à en mener la perte de certains. Nous gagnons donc à découvrir cette première incursion du « Fantôme de l’Opéra » au cinéma, en acceptant que la réalisation d’Ernst Matray soit perdue à jamais, sans doute dans les mêmes flammes qui embrasse les sentiments et un opéra, souillé par ses mœurs, souillé par son orgueil.
    Santu2b
    Santu2b

    214 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2014
    L'opéra Garnier de Paris et ses secrets, ses mystères enfouis sous ses innombrables dédales souterrains... En 1925, Rupert Julian réalise la toute première adaptation au cinéma du célèbre roman de Gaston Leroux. À ce titre, le cinéaste se sert parfaitement du sujet et du cadre offerts par l'oeuvre pour construire un long-métrage d'un lyrisme puissant, dont le tragique n'a d'égal que son intemporalité. Accumulant les belles pages et les jeux d'ombres, "Le Fantôme de l'Opéra" s'avère un ballet horrifique envoûtant, sorte de "Danse macabre" à la Saint-Saëns bien enveloppé par la musique de "Faust" et l'interprétation formidable du mythique Lord Chaney. La scène durant laquelle Christine retire pour la première fois le masque du fantôme garde encore toute sa force et il n'est pas surprenant qu'à l'époque, il était prévu d'administrer des sels aux personnes choquées dans la salle. Un classique du muet.
    Yohan Marques
    Yohan Marques

    21 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 décembre 2011
    Parmi les tres nombreuses versions du chef d'oeuvre littéraire de Gustave Leroux, La version de 1925 réalisée par Rupert Julian, dont ce fût d'ailleurs le seul fait de gloire, est probablement la plus fidèle et peut-être même la plus réussie. La reconstitution de l'Opera Garnier y est grandiose, la dramaturgie parfaitement dosée et maîtrisée. Par ailleurs, c'est véritablement la première fois que le cinéma americain va se nourrir des innovations artistiques en mouvement de l'autre côté de l'atlantique, un véritable travail de récupération et d'assimilation, par lequel on retrouve dans les fondamentaux esthétiques du film, tous les éléments visuels caractéristiques de l"expressionnisme allemand, du clair-obscur à l'outrance du jeu des acteurs en passant par la mise en valeur de décors à la géométrie marquée. D'élitistes, les codes esthétiques du mouvement deviennent populaires et universels, une fois passés au filtre de la vulgarisation à portée universaliste dans laquelle les studios excellent à ce moment de leur histoire. Cette adaptation de l'expressionnisme aux goûts du plus grand nombre sera à l'origine du succés et de la réussite des grands chefs d'oeuvre de la Universal durant toute la décennie des années 30, de "Dracula" à "la Momie" en passant par le fabuleux "Frankenstein" de James Whale.
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    138 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 octobre 2014
    Un chef d'oeuvre du cinéma muet et d'horreur. Un magnifique opéra classique qui inspira des décennies plus tard le cultisme opéra rock The Phantom of The Paradise de Brian de Palma. Un très beau film en noir et blanc avec une musique à la fois terrifiante et inoubliable.
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