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    Astérix & Obélix: Mission Cléopâtre - Le Comankonafé
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    3,0
    Publiée le 15 février 2023
    Pendant près de 2h, Alain Chabat, une grande partie du casting et de l’équipe technique reviennent pour nous sur les secrets de tournage de la meilleure adaptation "live" des aventures d’Astérix & Obélix.

    Des étapes préparatoires (story-board, répétitions ou encore essayages) jusqu’au premier jour de tournage, Le Comankonafé (2002) revient sur ce tournage hors norme (500 techniciens et jusqu’à 2000 figurants en simultané), le tout, budgété à plus de 50 millions €.

    Du premier jour de tournage au "Malta Film Studios" à Il-Kalkara sur l’île de Malte (le 23 août 2000) pour les plans d’eau avec les pirates (ou lorsqu’Obélix tracte les navires sur le Nil) jusqu’à Ouarzazate au Maroc à l’Oasis de Fint, ainsi qu’à "l’Atlas Studio" (le 10 septembre 2000) pour les premières prises de vues marocaines. Ce documentaire s’avère extrêmement passionnant. Pour avoir visité les studios marocains https://www.facebook.com/media/set/?set=a.3564477020257573 (en 2007 & 2016), pouvoir découvrir les coulisses du tournage s’avère particulièrement intéressant et riche en enseignement.

    Le film nous permet de découvrir (entre autres) la conception des bijoux, des costumes et de certains décors. Sans parler des impondérables liés à la météo (les tempêtes de sable qui balayent le plateau de tournage en plein désert). Régisseurs, producteurs, décorateurs, scripte, costumières, chef op’, réalisateur 2ème équipe, dresseurs animaliers, en passant par les VFX plateaux et SFX post-prod, on n’en perd pas une miette.

    Idem lors des nombreuses répétitions en amont du tournage et sur les plateaux, on se rend compte à quel point la part d’improvisation dans le film aura pris une place prépondérante. Sans parler des nombreux trucages que représentent les effets spéciaux numériques (confiées à la société Duboi) et mécaniques (confiés aux Versaillais). On y apprend même que Luc Besson (que l’on voit un court instant) y a tourné une séquence et que Pierre Morel (le réalisateur de Banlieue 13 - 2004) était opérateur steadicam lors du tournage.

    Ce film est une véritable mine d’or et se regarde avec le même plaisir que l’on a à voir (et revoir) le film de Chabat.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
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