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    Wall Street
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    236 critiques spectateurs

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    Eselce
    Eselce

    1 196 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 septembre 2015
    Bon film sur le pouvoir de l'argent à travers un trader qui grimpe les échelons de la bourse américaine. Jusqu'où poussera-t-il le vice ? A réserver aux amoureux de la finance. Sur la fin, on peut remarquer le port de la ceinture était facultatif ^^
    Sylvain P
    Sylvain P

    299 abonnés 1 328 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 septembre 2011
    Oliver Stone dénonce les méfaits du monde de la finance dès 1987, en suivant 2 requins, dont un naïf qui ne se rend pas vraiment compte du mal qu'il fait, aveuglé par l'appât du gain. Assez classique dans la forme, Wall Street vaut surtout pour ses superbes vues de New York.
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 novembre 2021
    L'agneau dans le monde des loups. La finance est par définition le monde de celui qui aura le plus d'audace. Cette frénétique montée d'adrénaline face aux gains, prémisse du capitalisme comme on le connaît de nos jours. Oliver Stone livre un film fait de chiffres et de pouvoir, sans que cela soit barbant. Son apollon Martin Sheen est en prise entre son père de sang qui lui a inculqué des valeurs, et son père des affaires qui lui a inculqué la cruauté de ce milieu. Le long-métrage rend bien ce côté intense et complètement déconnecté de la réalité que peut être une plateforme boursière. Créer de la valeur à partir de rien, mais dont les conséquences, positives comme négatives, seront payées très chers par les concitoyens. La volonté d'établir sa richesse grâce à la force du travail d'autrui, tout un programme.
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    75 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 août 2013
    Quelque chose qui ne m’arrive pas souvent : regarder la suite avant le premier opus ! Si cela n’a pas énormément avec les films d’horreur (comme avec Les Griffes de la Nuit, Vendredi 13 ou encore Scream), avec certaines sagas, c’est plutôt gênant. Et parfois, c’est incompréhensible quand la suite n’est pas appréciée par rapport au premier alors que vous-même, vous aimez cet énième opus. C’est ce qui s’est passé avec Wall Street – L’argent ne dort jamais, un drame hollywoodien (donc non sans défauts) qui se laissait regarder. Et du coup, je n’ai pas compris les critiques assassines envers ce film. Il est temps de percer à jour ce qui reste, personnellement, un mystère !

    Et dès le début de ce Wall Street number one, la réponse saute aussitôt aux yeux ! Car Wall Street, c’est Wall Street ! À savoir une entrée dans l’univers de la Bourse de New-York, avec ses traders et autres spéculateurs en tout genre. Mais le 2 ne traitait pas du même sujet ? Si, mais en y ajoutant une trame familiale et romantique assez inutile. Alors qu’ici, on commence par suivre un jeune débutant dans le milieu, et on ne quitte plus ce dernier. On reste en sa compagnie et à son ascension parmi les plus grands requins de la finance (orchestrée par Gordon Gekko, le meilleur en son genre, un modèle pour tous malgré ses actes qui sentent l’illégalité à plein nez). Mais attention ! Ce que le scénario nous montre de ce personnage n’est pas son histoire d’amour ou bien son propre passé. Ça, on s’en fiche un peu ! Non, Wall Street mérite bien son titre en nous dévoilant l’évolution de son personnage via l’argent qu’il gagne et met en jeu (oui, les traders jouent, c’est le mot qui convient !). Mieux, le film utilise le prétexte du « personnage principal d’une histoire » afin de nous faire découvrir l’envers du décor d’un milieu méconnu du grand public (c’est vrai : vous connaissez le nom comme Wall Street ou CAC 40, mais la plupart ignorent son fonctionnement ou même l’intérêt). Eh bien, Oliver Stone vous offre une sorte de docu-fonction superbement documenté (avec des termes financiers qui en perdront plus d’un) ou même la seul trame familiale (la relation père/fils) a été écrite pour mettre en valeur la situation de salarié d’une entreprise quand celle-ci se retrouve en Bourse. Un détail carrément oublié dans le second opus, noyé derrière un drame dispensable. Du coup, je comprends que cette suite ait été moins appréciée. Après, le problème avec Wall Street, c’est qu’il faut vraiment s’intéresse au monde de la finance. Et ça, ce n’est pas accessible à tous (moi le premier) ! Du coup, par moment, il est difficile d’accrocher, à l’histoire ou bien aux protagonistes, tant on peut se sentir perdu par moment.

    Heureusement, pour permettre d’intéresser le public, Oliver Stone s’est entouré d’acteurs épatants. À part peut-être Charlie Sheen, qui sort la même expression aussi bien quand il est énervé qu’abasourdi. Non, vaut mieux compter sur son père, Michael Sheen, vraiment attachants et qui rend vivant la relation plutôt tendue et complexe avec son fils (dans le film, pas dans la vie ^^). Et puis, s’il y a bien une attraction dans les Wall Street (dans le 1 mais également le 2), c’est un acteur de prestige appelé Michael Douglas (fils de Kirk, comme quoi, Wall Street est une affaire de famille !), révélé au grand public dans À la poursuite du diamant vert et producteur à ses heures (Vol au-dessus d’un nid de coucou). Et sans aucune difficulté, il se montre être le comédien qu’il fallait pour incarné Gordon Gekko. Ce financier mythique, qui sait être sympa avec les gens quand ça l’arrange. Un vrai requin, quoi ! Un rôle qui lui permet d’obtenir l’Oscar du meilleur acteur (et d’autres prix comme le Golden Globe). Une récompense amplement méritée tant l’on s’intéresse bien plus à Gekko qu’à Bud Fox (le personnage de Charlie Sheen), au point qu’on été pressé de le revoir dans la suite de 2010 (même si, en voyant le premier film, la qualité du 2nd laisse à désirer).

    Et voilà ! Comme le dit la logique, il faut se renseigner avant de comprendre quelque chose. Pour le cas de Wall Street – L’Argent ne dort jamais, il était impératif de voir le film de 1987 pour voir à quel point sa suite n’a aucun intérêt, sauf celui de revoir Gordon Gekko une nouvelle fois. Le premier opus préférant délaisser tout ce qui peut rendre guimauve un film et plutôt montrer voire dénoncer un univers, un concept de la société que bon nombre d’entre nous ne connait pas. Et ce même au risque d’en perdre quelques uns en route. Car avec Wall Street, il faut véritablement s’accrocher quand le domaine de la finance nous est étranger.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 décembre 2011
    Le réalisateur de l'Amérique était bien obligé de faire un jour un film sur le symbole du capitalisme que représente Wall Street et les Etats-Unis de manière générale. Il faut reconnaitre qu'avec l'évolution des technologies depuis 1987, le film fait un peu vieillot mais il est amusant de voir combien son propos est contemporain et révélateur des dérives que pointait Oliver Stone 20 ans plus tôt.
    Bon, son scénario n'est pas très profond, sans doute parce que Stone n'est pas un spécialiste des questions économiques et financières et qu'il a fait le choix de s'intéresser sur ses personnages Bud Fox et Gordon Gekko plutôt qu'à essayer de nous enfumer avec des histoires technico-financières un peu compliquées pour le grand public.
    Son choix s'avère payant, déjà prce qu'il a eu la chance de réunir un excellent casting : Charlie Sheen nous joue une fois encore le rôle du jeune premier aux dents (très) longues, Michael Douglas trouve un rôle fait pour lui et transcende son personnage comme nul autre ne l'aurait fait, quant à Martin Sheen qui joue en clin d'oeil le père de Charlie, il est tout à fait crédible en syndicaliste en fin de carrière.
    Oliver Stone continue donc de nous raconter l'Amérique en pointant les faiblesses de sa force.
    Candice L
    Candice L

    25 abonnés 827 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 mars 2014
    Un excellent film! Très prenant, très riche en évènements, avec des personnages bien plantés. Un classique qui a fait ses preuves et qui a été maintes fois imité.
    bobbyfun
    bobbyfun

    30 abonnés 1 216 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2020
    La caméra de Stone film avec panache l'univers carnassier et cupide du monde de la bourse. Un duo d'acteur épatant.
    vieux-murier
    vieux-murier

    2 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2009
    Un très bon film sur le milieu de la finance. Michael Douglas fait une performance remarquable.
    ferdinand75
    ferdinand75

    447 abonnés 3 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2014
    Un film qui a marqué son époque , mais qui a un peu vieillit. C'est le monde de la finance , des années 80, du cynisme, ou faire de l'argent est un must. Les acteurs sont très bons et la mise en scène est rude et efficace. Manque un peu de subtilité, comme souvent avec le cinéma de O. Stone.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 décembre 2007
    Malgré qu'il ne soit pas des plus facile à suivre et que certains termes restent compliqués à comprendre Wall Street est un film admirablement mis en scène et qui bénéficie d'un casting prestigieux. Michael Douglas est magnifique et a bien mérité son rôle quand à Charlie Sheen il est impeccable même si il n'a pas le charisme de Douglas. Un film intéressant et engagé sur le pouvoir de l'argent. Une indéniable réussite de la part d'un oliver Stone au top de sa forme. Une vraie réussite.
    dougray
    dougray

    207 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2012
    Le film culte de tous les traders est avant tout un des meilleurs films du réalisateur Oliver Stone (derrière JFK) et très certainement le rôle le plus marquant de Michael Douglas. L’acteur ne tient pourtant pas le 1er rôle du film, Charlie Sheen (parfait en golden boy dévoré d’ambition) étant le personnage principal de "Wall Street" et le référent du public qui découvre, en même temps que lui, les dessous de la Bourse américaine avec son stress, ses magouilles, ses trahisons, ses délits d’initiés... Son histoire reste cependant assez classique (des débuts modestes suivis d’une ascension fulgurante et s’achevant par une chute inexorable) même si elle est agrémentée de quelques sous-intrigues qui enrichisse le personnage (sa complicité avec son collègue, sa relation avec son père, sa love story...). C’est sans doute une des raisons qui ont amené le spectateur à se prendre de passion pour le personnage du "méchant" Gordon Gekko, magnat de la Bourse, cheveux gominés et costumes de marque, adepte de la petite phrase assassine ("Déjeuner, c’est pour les faignants", "C’est un tocard, s’il s’occupait de pompes funèbres, plus personne ne mourrait", "Si tu veux un ami, achète toi un chien"...) mais surtout parfaite représentation du capitalisme sauvage et des années fric. L’interprétation de Michael Douglas magnifie ce personnage dont on ressent, au détour de certaines scènes, les fêlures profondes et le besoin irrépressible d’impressionner son monde. Le personnage a des excuses mais ne sa cache pas derrière, ce qui fait toute sa complexité. Son charisme et son assurance ont finit d’en faire un personnage culte. Mais Wall Street ne se résume pas seulement à Gordon Gekko. En effet, Olivers Stone a réussi à rendre accessible à tous le système ô combien obscur des marchés boursiers et permet ainsi aux spectateurs de suivre l’intrigue sans problème, aidé en cela par une mise en scène rythmée et une BO typiquement 80’s. Le reste du casting est au niveau de l’évènement avec la starlette en vogue de l’époque Daryl Hannah en petite amie fantasme, le formidable Martin Sheen en père syndicaliste (une des nombreuses grandes idées du film cristallisée par la bouleversante scène de la chambre d’hôpital), Terence Stamp en classieux rival, John C. McGinley en amusant collègue, James Spader en avocat, Hal Holbrook en vieux briscard de la Bourse ou encore Sean Young en épouse entretenue. Bref, ce n’est pas par hasard que Wall Street est devenu un classique du genre et, en tout état de cause, une petite merveille sur l’ambition et ses excès.
    Maqroll
    Maqroll

    131 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 octobre 2010
    Film mythique sur les méfaits de la spéculation boursière, Wall Street est dans son premier tiers une aimable comédie agréable à regarder. Puis elle se délite malheureusement peu à peu - par la faute d’un scénario aux faiblesses criantes - jusqu’à une fin terriblement conventionnelle et sans imagination, à la morale plus que douteuse pour ne pas dire équivoque. Les personnages perdent dans le même temps leur épaisseur de départ, et deviennent au final des pantins sans désir, sans motivations et sans intérêt. Question interprétation, Michael Douglas est toujours aussi fade et ne parvient que par rares moments à trouver son personnage. Martin Sheen qui lui donne la réplique n’est guère convaincant lui non plus dans son rôle de jeune loup aux dents longues vit battu et vite repenti… Quant à la mise en scène d’Oliver Stone, en dehors de nous livrer quelques beaux plans de New York, elle est très conventionnelle elle aussi et ne tire pas l’ensemble vers le haut.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 30 septembre 2012
    Bon film qui a un peu vieilli avec un doublage bien pourri. C'était encore l'époque bisounours tout de même, ils veulent faire croire que la sec, la cob américaine, faisait son boulot, vaste rigolade.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 19 août 2019
    J’imagine que le film a eu sa raison d’être et sa force en plein règne des yuppies et 4 ans avant la déflagration American Psycho, mais en le découvrant aujourd’hui, je n’y ai vu qu’un récit à très grosses ficelles, qui cache péniblement ses invraisemblances derrière des dialogues saturés de jargon financier. La pire invraisemblance reste celle de la psychologie du héros, qui ressemble plus à un joujou de scénariste qu’à un vrai personnage. La première heure fonctionne assez bien grâce au rythme et à l’ambiance très 80’s, mais la suite est de plus en plus pénible et la visée moralisatrice s’accorde mal avec une esthétique qui épouse sans distance la fascination des personnages pour l’argent et la réussite.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 octobre 2013
    Un très bon film d'Oliver Stone qui nous plonge dans le monde de la finance, entre argent et manipulation. Michael Douglas (Oscar du Meilleur Acteur) est incroyable dans le rôle de l’impitoyable investisseur Gordon Gekko, Charlie Sheen joue bien le rôle du jeune et ambitieux courtier Bud Fox et Martin Sheen est excellent dans le rôle de son père, un syndicaliste honorable. On retrouve également au casting : Daryl Hannah, Hal Holbrook, Terence Stamp, James Spader, Sean Young et John C. McGinley.
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