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Lecter_H
157 abonnés
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3,0
Publiée le 23 janvier 2024
Le film nous décrit une société dans un futur technologique proche où la fracture sociale est devenue très importante. The kitchen est un immeuble désaffecté à Londres que les défavorisés déshumanisés de cette société se sont réapproprié pour s’y installer. Régulièrement, la police vient les déloger. Dans ce contexte chaotique, le film raconte l’histoire d’un jeune garçon qui vient de perdre sa mère. Il tente de reconquérir celui qu’il pense être son père. En résumé, il n’y a rien d’autre à dire à propos du contenu de ce film. Il n’y a pas vraiment d’action. Le film décrit le quotidien des gens d’une société déchirée en quête de survie au cœur d’un monde dystopique. J’ai trouvé un réel intérêt dans l’atmosphère créée dans cet univers particulier. La vie décrite dans la rue semble rationnelle et l’ambiance qui y règne est assez prenante. A ce titre, je recommande le film. Mais beaucoup de téléspectateurs risquent de trouver le film long et ennuyeux. Il est vrai que dans l’absolu, il ne s’y passe pas grand-chose à part un père et un fils qui se cherchent et une réflexion sur les inégalités d’accès au logement à la suite de dérives immobilières.
Est-ce que vous avez déjà été tenté d'arrêter un film après 20 minutes ? Si on ne le fait pas, c'est parce qu'on trouve quelques raisons d'être fan, non ? Et qu'on se dit qu'à la fin, on pensera que ça valait quand même le coup, non ? Est-ce que vous connaissez l'acteur Daniel Kaluuya ? Êtes-vous fan ? Ce film est de lui. Est-ce que vous connaissez le rappeur Kano (Kane Robinson) ? Êtes-vous fan ? Il joue le premier rôle dans ce film. Est-ce que vous connaissez Ian Wright, ancien football d’Arsenal ? Êtes-vous fan ? Il joue dans ce film. Est-ce que vous connaissez les films de sciences-fictions ? Êtes-vous fan ? Ce film en est presque un. Est-ce que vous connaissez les films qui présentent un futur dystopique ? Êtes-vous fans ? Ce film pourrait en être un. Est-ce que vous connaissez Londres ? Êtes-vous fan ? Ce film se passe à Londres. J'essaie de trouver des raisons pour que vous n'arrêtiez pas ce film avant la fin, moi, j'en ai cherché tout le long. J'en ai trouvé. Mais, je n'ai pas vraiment trouvé de raisons d'être fan à la fin. Il faut le regarder pour avoir un moment de cinéma qui montre une belle allégorie spoiler: entre un orphelin et un célibataire qui pourrait être le père. On ne saura d'ailleurs jamais vraiment s'il est le père ou pas, enfin sauf si j'ai manqué un truc. Sur ce point, par moments cela le fait, mais quand même pas totalement. On aurait pu croire, à voir la bande-annonce, qu'il faut le regarder pour avoir un moment de cinéma qui est une belle allégorie de l'affrontement entre les pauvres et la police. Sur ce point, ça ne marche pas trop. On a vu mieux dans le genre, bien mieux. Trois points qui ont sauvé ce film à mes yeux : 1/ les décors qui sont pas mal, 2/ le jeune garçon qui joue parfaitement, sûrement une révélation. 3/ la mise en scène du dilemme qu'affronte le personnage principal spoiler: en le mettant en face d'une machine à la voix électronique.
Donc, j'ai tenu, je suis allé à la fin, mais je n'ai pas vraiment trouvé de raison d'être fan, J’ai mis "pas terrible" au lieu de mettre "mauvais". Je ne le recommande pas vraiment.
Je ne dis pas que c'est mauvais, je dis juste pour ma part, je n'ai pas aimé et que j'ai mis un petit pouce vers le bas lorsque Netflix m'a demandé mon avis. Après avoir vu la Bande Annonce, je m'attendais à un film de SF avec un peu d'action, mais que nenni : La kitchen (pourquoi d'ailleurs ce nom, on ne l'explique pas ?) c'est un film d'anticipation sombre, pessimiste, glauque, avec une vision d'un Londres futuriste à la mode "Hunger Games" avec ses districts hermétiques, ses ghettos, ses injustices sociales, le tout gouverné par un régime à peine esquissé mais que l'on devine dictatorial et répressif. Bref, moult autres films d'anticipation ont déjà traité le sujet précédemment sous toutes les coutures avec plus de brio et moins d'ennui car lorsque le générique de fin apparaît enfin à l'écran on se dit que c'était long, trop, et que finalement non, pas pour moi, aussitôt oublié que visionné, à moins de vouloir faire de son week-end un moment dépressif à souhait !
"The Kitchen" prend place dans un futur proche, à Londres, où il ne reste plus qu'un "grand ensemble" appelé "The Kitchen". Il s'agit des derniers logements sociaux où sont entassés les travailleurs pauvres ou les chômeurs qui vivent sous la surveillance de la police. Izi, qui lui a un emploi stable dans les pompes funèbres du futur, vit aussi là-bas, mais rêve de quitter ce trou à rats comme il le qualifie. Un jour, dans le cadre de son travail, il fait la rencontre de Benji, un jeune garçon qu'il va essayer de prendre sous son aile pour lui éviter de mauvaises fréquentations. Malgré sa présentation en tant que thriller de science-fiction dystopique, "The Kitchen" est simplement un drame qui explore des thèmes tels que le deuil, les inégalités entre les classes sociales, les liens familiaux, les mauvaises fréquentations, la solidarité ou encore les violences policières. Pour sa première derrière la caméra, Daniel Kaluuya évoque plus qu'il ne raconte. J'ai trouvé son film terriblement plat et jamais engageant. Il ne se dégage aucune émotion, les personnages sont léthargiques et n'enchainent jamais plus de deux phrases et les enjeux sont inexistants. L'idée était peut-être de faire un film misérable et ennuyeux pour représenter le quotidien de ces gens, mais dans le cas contraire, c'est sans aucun intérêt.
Une dystopie dans un Londres où les inégalités se traduisent par des ghettoïsations de quartier dont The kitchen, sur ce fond une simpliste histoire d un père et son fils qui se retrouvent. D un rythme anémique cette critique sociale une fois le cadre pose perd sérieusement d intérêt, on ne peut pas dire que les interprétations relèvent sérieusement le niveau. Ennuyeux et très banal pour un film d anticipation.
Drame social assez décevant pour ma part. D'une extrême lenteur avec peu de contenus, tout se passe par des silences, des répétions et un final qui laisserait penser éventuellement à une suite (?). Pas top. 2/5 !
C'est long, c'est chiant, il n'y a aucune explication géo politique du contexte, pourquoi avoir réalisé un fiml de science fiction si c'est pour raconter une histoire plutôt bateau au final...
Fiction sociale décevante et redondante , entre le très réussi "Small Axe" et La série "Top Boy". Kano y trimballe sa grande carcasse de solitaire en souffrance, sans conviction, avec cette grosse impression de déjà vu .
Ce film n'a rien pour lui , le scénario est nul , il ne se passe absolument rien pendant 2h. Passez votre chemin , meme les plans , jeux d'acteur , tout est mauvais.
L'histoire est belle et le message aussi c'est pour ça que je mets 2. Mais finalement le film est beaucoup, beaucoup, beaucoup trop long et soporifique. Les échanges entre personnages sont d'une longueur énorme, à un moment je me suis amusé à compter les secondes entre un mot et un autre tellement j'en pouvais plus 🤣
Que c’était prometteur! Un acteur plutôt bon et apprécié qui s’essaie à réaliser son premier long-métrage, en l’occurrence ici Daniel Kaluyaa de « Get Out » ou encore « Judah and the Black Messiah », c’est courant. Qu’il s’associe à un architecte de formation pour l’aider l’est déjà moins. Qu’ils embauchent comme acteur principal un rappeur qui a fait ses armes d’acteur dans la série « Top boys » ajoute au côté intrigant du projet. Et lorsqu’on apprend que le sujet prend place au sein d’un univers futuriste presque dystopique, cela termine de nous mettre l’eau à la bouche. Malheureusement pour nous, ce film britannique produit par Netflix est un véritable purgatoire tant il rate le coche sur presque tout et nous ennuie durant près de deux heures. Honnêtement, c’est le somnifère parfait tant on ne rentre jamais dans l’histoire et que tout ce qui est entrepris ici n’est pas convaincant.
Au début – c’est-à-dire pendant dix à quinze minutes tout au plus – on laisse à « The Kitchen » le bénéfice du doute mais on sent vite que tous nos espoirs vont être (vraiment) mis à mal. On voit le design d’un Londres de 2040, enfin de ces banlieues défavorisées, plutôt probant et assez agréables à l’œil et on reconnaît là les affinités du coréalisateur Kibwe Tavares qui doit en être à l’origine de par sa formation. Puis on nous présente le personnage principal, mutique au possible, et son hypothétique fils qui vient de perdre sa mère et ne sait pas qui est son père. Et bien cette sorte d’apprivoisement entre un père et un fils est au cœur du sujet mais tout se traîne, tout est long, tout est lent, tout est décousu et on en vient à se demander quel était l’intérêt de ce contexte d’anticipation qui n’est jamais exploité. Quel était le but? Comme ces scènes de vol ou de braquage qui n’apportent rien à l’histoire et semblent sorties d’un autre film...
À côté de cela, l’esthétique générale est en plus très moyenne (hormis quelques idées de décors de ce Londres des bas-fonds faisant penser à Tokyo ou à « Blade Runner »). D’ailleurs si ce n’est les plans de coupe sur The Kitchen et quelques scènes au sein de cette entreprise de pompes funèbres high tech (honteusement mal utilisée également), on ne verra rien de ce Londres du futur hors si ce n’est cette banlieue défavorisée. Les quelques idées intéressantes (comme les casseroles pour prévenir l’arrivée de la police et le nouvel appartement design) sont sous-développées, jamais approfondies, tandis que quasiment toutes les séquences s’étirent plus que de raison et surtout pour rien. Comme si le duo de réalisateurs tentait de donner un aspect contemplatif au film pour lui donner une sorte de légitimité qu’on ne lui demande absolument pas. Enfin, l’acteur principal est aussi expressif qu’un poulpe et ne fait passer aucune émotion dans le drame filial qui est finalement le cœur (mort) du sujet. Bref, « The Kitchen » est un beau pétard mouillé et une proposition artistique mensongère et galvaudée.
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Sa aurait pu être un bon film la bande-annonce, donner envie ,un peu futuriste...mais au final c'est une mauvaise réalisation, un mauvais scénario et un très mauvais jeu d'acteurs... tout cela pourrait être négligé si le film final était engageant...
Franchement ridicule,y'a rien d'exaltant y'a rien de réaliste,il n'y a aucunes profondeur,le côté SF c'est des p'tits bouts de plans wish Nintendo 64 on dirait vraiment un film de Luc Besson mais en plus nul ,aucunes surprises,le démarrage n'a aucuns intérêt,ils filme des trucs qui n'ont aucuns intérêt,y'a pas d'ambiance les couleurs sont moches la musique n'est pas adapté, toujours les mêmes rengaine sociaux économiques déjà vue mille fois,bref c'est tout a fait le cinéma actuel,vide sans saveurs avec des acteurs qui on le talent d'un omard cuit
La vie dans une cité dystopique qui ressemble à "Kowloon City Wall", une cité construite de manière totalement anarchique mais où pourtant régnait une certaine cohérence et humanité.
Un quartier historique de Hong Kon entouré par des constructions modernes qui a résisté jusqu'en 1989 et où une communauté arrivait pourtant à survivre et à s'émanciper.
Le film est lent; très lent; mais qui finit par vous toucher. Il m'a touché, mais je comprends que ça ne plaise pas à tout le monde.