Avis : Arachnophobie - Page 2

Je me souviens avoir vu ce film deux fois.
Puisque maintenant, je ne pourrais plus le regarder, je pense que c'est à cause de lui que je suis devenue arachnophobe à l'excès !!!
Un très bon film, à coup sur, il vous fera découvrir des peurs que vous n'aviez pas avant !!

Horrible, tout simplement horrible. Je suis moi même arachnophobe, je vu ce film lors d'une soirée "film d'horreur" entre amis, je n'ai pas dormis. Ses sale bêtes, nous plonge dans près de deux heures d'angoisse. Ses horribles bestioles, avec leurs huit pattes velus nous dresser les poils de tout le corps tout au long que le film de déroule. Horriblement efficace pour toute les personne arachnophobes, leurs autres pourrons avoir quelques sursauts...

Deux arachnophobes devant ce film, on vous laisse imaginer le festival de la transpiration, des mains devant les yeux, et des "Elle est passée où ?!! Je regarde pas !"... Clairement, on est ressortis de Arachnophobia épuisés, mais très heureux de sa générosité à exploiter toutes les peurs liées aux araignées (le fait de les avoir dans les cheveux, dans le lit, qui descendent sur nous au bout de leur fil, les petits tapotements qu'elles produisent sur surface dure, les sauteuses...). On a même droit à une parodie de Psycho avec une araignée à la place de Norman Bates en ombre menaçante derrière le rideau de douche... Oui, on ne manquera pas d'humour, avec le personnage de Jeff Daniels qui a peur de ces bébêtes et devient souvent ridicule dès la présence d'un spécimen "moyen" de cinq centimètres (se colle aux murs, suffoque, fait les yeux ronds...), et on aime bien se moquer de son personnage car on sait pertinemment qu'à sa place on courrait partout les bras en l'air... Mention toutefois à l'utilisation de vraies araignées, d'une part une réussite puisqu'on évite les gros animatroniques ou effets spéciaux numériques qui font souvent faux, cela nous habitue peu à peu à leur image (on arrive à regarder, au bout d'un moment), mais qui a nécessité de leur faire du mal (certaines sont écrasées ou noyées), et cela fait vraiment peine à voir (là on aurait préféré des trucages, même moches). Le film reste dans son jus des années 90, avec les doublages qui vont bien, un Jeff Daniels et un John Goodman au top, de rares animatroniques (pour le final surtout) qui sont faits mains (et peu convaincants, on sait pourquoi la caméra fait en sorte de les montrer très rapidement), une bonne BO, et surtout une vraie envie de verser dans le film spectaculaire malgré la petitesse de ses monstres (compensant par leur nombre et leur agressivité). On a perdu dix litres de transpi devant Arachnophobia, mais on a vraiment apprécié la générosité des méthodes d'effroi avec les araignées (Jeff Daniels qui se baisse au fur et à mesure que les bestioles lui descendent dessus en rappel... On en a encore des frissons).

Ce film sans prétention co-produit par Spielberg sent bon les bonnes séries B des années 80 même si celui-ci date de 1990. Avec un Jef Daniels et un John Goodman sympas dans leurs rôles et malgré quelques "effets" un peu gros, on passe un agréable moment avec quelques passages savoureux mais au combien redoutable pour les "vrais" arachnophobe. A voir et à revoir.

Parce qu’il néglige la fonction pourtant essentielle de véhicule émotionnel qu’est l’acteur, Arachnophobie n’atteint jamais la puissance traumatique espérée. Ses araignées sont superbes, et le passage des spécimens authentiques aux animatroniques ne se remarque presque pas : nos monstres surprennent par la fluidité de leurs mouvements tout en alimentant un cauchemar qui va crescendo, jusqu’à l’affrontement final. En ce sens, le film reproduit le schéma instauré par Les Dents de la Mer : se saisir d’un personnage phobique – peur des araignées, peur de la mer – pour plonger le spectateur dans le chaos ambiant ainsi redoublé dans l’intériorité d’un être : la paranoïa qui saisit Martin Brody atteste la subjectivisation du point de vue dont les troubles génèrent une peur de chaque instant ainsi que des altérations de la perception. Chose curieuse, Frank Marshall n’exploite guère cette veine et préfère capter la phobie depuis l’extérieur. Ce faisant, il transforme le docteur Jennings en pantin comique assez dommageable, puisqu’il contraint le spectateur à voir et vivre la menace non par ses yeux, mais par l’omniscience de la mise en scène. Chez Steven Spielberg, le monstre surgissait de l’inconscient de Brody ou lors des confrontations directes avec lui. Ici, les araignées gagnent l’écran avant même que le héros ne soit introduit ; leur puissance mythique s’évapore aussitôt pour ne laisser, en lieu et place, qu’une terreur de la prolifération. Arachnophobie ne travaille donc pas tant la phobie que l’arachnide qu’il multiplie à l’infini pour en décupler force et impact. Voici une œuvre qui grouille, qui pique et mord, qui dessine des toiles géantes dans les greniers. Voici une œuvre qui aurait dû néanmoins prendre le risque de s’engouffrer dans l’inconscient de son personnage souffrant de phobie ; là se tenait le traumatisme véritable.

Une petite merveille ce film. Flippant, une bonne ambiance, une réalisation efficace, que demander de plus ? Le meilleur film sur les arraignés :)

Film Amblin, donc film pour enfants. Sa l'est. Pour nous adultes, on retiendra, les araignées, plus vrai que nature. J'ai stresser tout le long du film et l'Ost. Le rest e aurait dut-etre un pur film d'horreur.

Bon film rempli de suspens et d'une intrigue bien ficelée. Le scénario n'est pas exceptionnel mais reste efficace avec pour sujet l'arachnophobie maladive du personnage principal. Arachnophobes, s'abstenir!

Un médecin déménage avec sa famille dans une petite ville des USA. Mais il ignore qu’une terrible invasion invisible pour l’homme est en train de se perpétrer sous leurs yeux. Des araignées importées d’Amazonie s’échappent et colonisent la région, provoquant d’innombrables morts dû à leurs venins. Arachnophobie fait figure de grand classique à mes yeux. Je ne saurais dire exactement le nombre de fois que je l’ai visionné, mais je ne m’en lasse jamais. Ici, il n’y a aucun effets spéciaux, la plupart du temps se sont de réels araignées que l’on voit à l’écran. Un avantage indéniable qui renforce l’immersion et la crédibilité du film. Les acteurs sont très bon, de l’étonnant Jeff Daniels au très estimé John Goodman, sans oublier Julian Sands en tant que scientifique responsable de la « catastrophe », à aucun moment nous ne sommes déçus. L’histoire nous tient en haleine jusqu’à son final assez classique, mais tout de même plaisant. En conclusion, Arachnophobie est un film qui ne vieillit pas et mérite toute votre attention. Un classique indémodable.

Un mauvais film d'horreur où il faut attendre la fin pour avoir un minimum de suspens et d'action .Le reste du film est plat et sans interet .
Un film trop simpliste a éviter .

Etant moi-même arachnophobique, j'avoue avoir été dérangé lors de certaines scènes, d'autant plus que la plupart des araignées sont réelles. Cependant, ce film ne m'a pas énormément diverti, car le rythme est affreusement inégal: il commence en fanfare et puis il ne se passe presque rien d'intéressant jusqu'à la fin. Une fin complètement ratée d'ailleurs, pleine de scènes ridicules (le summum avec l'araignée en feu) et de surrenchère. Je trouve dommage qu'ils n'aient pas plus exploité le thème de la toile d'araignée, car à la base, l'arachnophobie se déclanche lorsque l'on voit une bonne grosse toile d'araignée immonde! Enfin bref, je regrette un scénario plus réaliste et plus oppressant, malgré certains bons passages.

Bon, Arachophobie ne devait déjà pas être incroyable à sa sortie, mais près de 30 ans plus tard, c'est vraiment devenu du vinaigre... L'image à vieilli, les effets spéciaux sont ridicules, le scénario prend les deux tiers du film pour se lancer, la mise en scène est pauvre, le jeu d'acteur est banal... Bref, aucun intérêt à l'heure actuelle.

Un bon petit film qui peut s'avérer très flippant quand on est arachnophobe (ce qui est mon cas). Par contre si vous avez pas du tout peur de ces petits monstres à 8 pattes, je vois pas trop l'intérêt de regarder ce film.

Arachnophobie fait donc partie de ces dizaines et dizaines productions Amblin des années 80/90, allant des chef d’œuvres intemporels (E.T.) aux production beaucoup moins bonnes (Arachnophobie justement). Sorte de sous-Jurassic Park avec des araignées, mais aussi plus tourné comédie, le tout est tourné de la même manière que le dit-film de Spielberg : même ambiance, même angle de caméra...mais niveau perf' d'acteurs, c'est pas le même niveau... Le film finit par s'écrouler sur lui même malgré un beau début passé la demi-heure, et j'étais obligé de faire autre chose à côté pour pas trop m'ennuyer. Enfin bref, c'est pas un navet absolu, mais c'est déjà un très mauvais film.

Sans doute, le meilleur film du genre, au scénario réaliste, qui suscite véritablement l'effroi d'abord par petites touches. Pas vraiment surprenant, Monsieur S. Spielberg faisant parti des producteurs... Arachnophobe s'abstenir, à moins de se lancer dans une thérapie.