Vu en dvd, tres difficile a trouver, pour Sophie Marceau. Elle est fraiche, belle, juvenile mais helas le film est ininteressant au possible, sans rythme, sans liant, sans veritable histoire non plus sauf celle d'une jeune francaise trouvant un travail de serveuse aux Etats Unis. Le role de Sophie Marceau est mal dirige, avec moues et caprices a repetition. Peut etre un des pires films de la filmo de Sophie Marceau mais est elle responsable de l'absence de veritable realisateur et de veritable histoire. Son seul tort, ou celui de son agent, est d'avoir accepte ce role insipide.
Une catastrophe chronique,qui s'autorise les pires stéréotypes et inexactitudes entre Français et Américains pour nous conter l'histoire d'une serveuse égarée à Los Angeles.Conter est un bien grand mot."Pacific Palisades"(1989)est juste un très long-clip,visuellement atroce,qui se contente de surfer sur le charme encore juvénile de Sophie Marceau,qui est loin d'avoir le chic pour choisir les bons rôles...
Pas d'étoile, et pourtant, j'ai tenu jusqu'au bout... On a l'impression de revoir Vic dans le jeu de Sophie Marceau. Elle joue le rôle d'une capricieuse, qui du jour au lendemain décide de partir aux USA, mais qui réalise que tout seul, on s'ennuie... Et c'est notre cas aussi devant ce film. On éspère que quelque chose arrive, mais rien ne se passe. Les autres acteurs ne rattrapent rien et le scénario achève d'enfoncer tout ça. Bref, à éviter si vous voulez passer un bon moment.
Bernadette en Amérique....affublée d'un prénom très franças pas très glamour notre belle Sophie part sur un coup de tête aux USA pour travailler et y rencontrer l'amour. Le film passe évidemment par tous les gros clichés. On dirait un Bagdad Café du pauvre (mais alors du très pauvre, loin de moi de vouloir faire offence à ce chef d'oeuvre). Bref, à voir pour rigoler...mais involontairement.
J'ai dû voir ce film il y a environ 16 ans, et je me'en souviens comme si c'était hier pour deux raisons. 1. La nullité effrayante de ce film qui n'a d'égal que l'ennui suscité chez le spectateur. On se demande sans cesse quand ça va enfin s'arrêter. 2. Sophie Marceau dans son plus simple appareil, une scène de quelques secondes qui constitue le seul intérêt du film (pour le public masculin, cela va sans dire).