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    Cuisine et dépendances
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    3,6
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    116 critiques spectateurs

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    Caroline M
    Caroline M

    26 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 février 2024
    Culte. Une sature sociale absolument délicieuse dans les moindres détails. 1993 ? Il n’a pas pris une ride.
    Scène d’anthologie jouée par jpBacri
    halou
    halou

    105 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2012
    Difficile de retransmettre une pièce de théâtre, sa nature, son intensité. L'écriture est très appliquée, tout comme les acteurs mais la réalisation reste limitée et perd de son intensité.
    Damien
    Damien

    147 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2021
    Revu avec beaucoup de plaisir le premier Bacri/Jaoui au cinéma (scénario et jeu), un classique toujours aussi génial avec des dialogues et une interprétation formidables (extraordinaire Jean-Pierre Darroussin), seul le personnage de Zabou Breitman est trop chargé.
    basbi
    basbi

    31 abonnés 1 201 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2009
    Une comédie très divertissante. Chaque comédien joue très bien son rôle.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 519 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 juin 2021
    Faire un film est un bon moyen de promouvoir une pièce de théâtre mais ce n'est pas suffisant il faut aussi le rendre intéressant. Ici nous avons des gens qui vont et viennent dans la cuisine comme Bacri qui est le personnage principal car c'est lui qui reste le plus longtemps. Mais hélas il est misanthrope déprimant et asocial et le film n'a pas de rythme. Les dynamiques Sam et Martine ne font que des apparitions et les merveilleux Darroussin et Agnès Jaoui ont un rôle secondaire. J'ai trouvé le film amusant une fois à cause de Darroussin et Bacri mais je me suis ennuyé très vite dans cette histoire. Darroussin et Bacri sont tous les deux bien meilleurs dans d'autres comédies française...
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 169 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 août 2014
    Pfouillouillouille… Théâtre filmé sans génie. Pièce reprenant tous les clichés et les préoccupations du petit bourgeois. Toutes les lignes de construction de l’intrigue sont visibles dès le premier quart d’heure. Quelle accumulation de poncifs ! J’ai trouvé ça prévisible, irritant et – le comble – je n’ai même pas trouvé ça bien joué. Bacri sauve les meubles tandis que Daroussin m’a assez surpris par son manque incroyable de conviction, d’imagination et de crédibilité. Et pour dire à quel point on sent que dès le départ le projet est inspiré et porté par la création, il y a en guise de musique une sorte de flamenco composé par… Vladimir Cosma ? Pourquoi du flamenco ? Cosma a dû se dire : « Eh bah pourquoi pas ? C’est du théâtre filmé votre machin ! Qu’est-ce que tu veux que je fasse de la musique là-dessus ! » En toute honnêteté, il aurait fait une bande originale à base de vieux synthés des années 70 ou de chœurs de l’armée rouge, c’était pareil pour moi. Au final, je suis ressorti de ce film comme si je ressortais d’une expérience scientifique visant à tester la résistance des sujets à l’accumulation de caricatures du cinéma bobo parisien. Des fois, ça m’arrive d’apprécier l’écriture du tandem Jaoui/Bacri, mais des trucs comme ça : pitié, plus jamais !
    Critique Facile
    Critique Facile

    84 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 avril 2023
    https://leschroniquesdecliffhanger.com/2023/04/07/cuisine-et-dependances-critique/

    Le cynisme est déjà bien présent après trois minutes, ne serait-ce que dans le non verbal des hôtes et de leurs invité-e-s. Les diners entre amis sont en effet propices au pire des huis clos horrifique en termes d’exacerbation des ressentis… 4 minutes, et Bacri râle déjà !! Au menu du diner, hypocrisie et faux-semblants sous fond d’importance des hiérarchies sociales…

    C’est la guerre de tranchée dans la bourgeoisie parisienne, c’est l’apocalypse urbaine, le paroxysme des mesquineries citadines. Souvent des soixante-huitards qui se sont installés, faisant vivre la citation acerbe prêtée à Aristide Briand : » Quand on a 20 ans, et qu’on n’est pas de gauche, c’est qu’on n’a pas de cœur, mais quand on a 40 ans et qu’on n’est pas de droite, c’est qu’on n’a pas de tête « . La passion, l’amour, l’éternelle adolescence qui s’étouffent sous les affres ménagers capitalistiques, c’est la perte des illusions, la mort des rêves. Alors, on se venge, on se déchaîne pas mal sur les autres, mais surtout sur soi. On se connaît tellement qu’on ne peut plus que se détester. Aigreur et gloires, miroir de l’autre. Cette anthropologie sociétale était totalement en phase avec l’époque des années 90, et portée comme elle l’est par la troupe Bacri/Jaoui, se retrouve magnifiée dans cette apologie guerrière contemporaine terrifiante.

    C’est la folie moderne, ou ce qu’on possède finit par nous posséder, ou ce qu’on a, définit ce qu’on est. Ce qu’ils ne supportent pas, c’est ce qu’ils sont devenus. Du coup, Cuisine et dépendances se mue en psychothérapie de groupe, mais sans le psy !! Le pugilat est total, sans qu’un coup ou qu’une insulte ne soit partagés. L’influence théâtrale est totale et son adaptation sur grand écran confine à de la haute voltige. C’est aussi affaire de mise en scène, avec ce grand écrivain que l’on ne voit jamais comme ce fut le cas dans la pièce, et où tout se joue dans la cuisine, avec les comptes rendus de chaque personnage, qui nous donne à voir les coulisses du repas où c’est évidemment le plus important qui se trame. Pour autant, rien n’est figé, la caméra bouge avec les personnages, et le sentiment de mouvement est permanent alors que précisément, le lieu est unique.

    C’est aussi la puissance de l’écriture, avec ce style névrotique et cynique. La cuisine est au-delà d’une coulisse, elle est l’arrière-plan des refoulements psychiatriques les plus vils. Ce quintette d'acteurs est une véritable chorale impressionnante de maîtrise de son art, les mêmes qui avaient joué dans la pièce originelle, et participe au plaisir de redécouvrir une œuvre qui n’a jamais vieilli tant elle discourt avec acidité et causticité de la haine de l’autre, donc de soi, et tant l’intemporel Cuisine et dépendances parle si bien en mal de nous…
    RED JOHN
    RED JOHN

    13 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 octobre 2021
    Du théâtre filmé où se donnent libre cours la médiocrité et l'ultra conformisme intellectuels de la bourgeoisie parisienne. Politically correct. Film médiocre mais toutefois moins indigeste que les productions plus récentes du couple Jaoui-Bacri...Le cinéma français n'en finit plus d'agoniser.
    kray
    kray

    46 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2010
    Dans la même veine que un air de famille . Que l'on ne s'y trompe pas , muyl n'y est pour rien , le mérite appartient au duo jaoui/bacri inspiré comme rarement. Du grand cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 août 2009
    Je me suis décidé a regarder ce film après avoir vu le nombre considérable de bonnes critiques qu'il à reçu, et je suis très déçu qu'un film aussi médiocre à mon gout ai reçu autant d'éloges! c'est un film vide, ennuyeux, et sans aucun intérêt!! une vraie perte de temps! une étoile pour les acteurs qui sont bons mise a part Zabou Breitman (Martine, la maîtresse de maison) qui est vraiment nulle.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    15 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2024
    Ce dîner entre amis, où l'on a invité un vieux camarade devenu une célèbrité de la télévision, tourne au règlement de comptes. Les frustrations se dévoilent, et les rancoeurs ou ressentiments, entre frère, soeur, beau-frère, deviennent au fil de la soirée de plus en plus explicites.
    On n'est pas loin de l'esprit de Bronzés par la nature de français moyens des personnages, par l'acuité, entre ironie et causticité, dont les auteurs Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui font preuve, et par la qualité cinglante des dialogues.
    La cuisine, spoiler: lieu unique
    , théatre d'un pugilat verbal, convoque à tour de rôle les protagonistes fuyant le dîner pour rendre compte, exaspérés, de la tournure des évènements.
    A l'origine, le film est donc une pièce de théatre. Philippe Muyl en a gardé la structure et sa mise en scène respecte l'unité de lieu, ne dénature pa le principe de la comédie. Laquelle est brillante, sans temps mort et fort bien interprétée. Bacri, cynique et jaloux, Zabou, maitresse de maison bourgeoise et enervée, et Jean-Pierre Darroussin, en baba cool souffre douleur, font un joli numéro.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 mars 2008
    Petit film sympa, ça s'regarde.Quelques dialogues amusants, ça joue pas mal. N'a pas dû coûter bien cher..
    Caine78
    Caine78

    6 088 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 septembre 2020
    Sorte d' « Un air de famille: les origines », « Cuisine et dépendances » ne cherche pas à nous la faire à l'envers : le film misera tout sur son texte et ses comédiens, ce qui, au vu du projet, est assez logique. Adaptation de la pièce de théâtre éponyme écrite par Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui, on sent presque d'emblée leur patte à travers ce ton très mordant, ces répliques au cordeau aussi bien pensées pour créer des situations fortes que pour faire avancer l'intrigue, n'épargnant personne dans un portrait au vitriol où les non-dits, les aigreurs, les ressentiments, le mal-être de chacun sont exposés avec intelligence, en disant parfois long sur les relations humaines, l'amitié, le couple... Pas mal de pessimisme, donc, mais un minimum d'humanité, aussi, non sans quelques idées, dont celles de ne jamais voir le « fameux » invité ou encore la compagne d'un des personnages, brillant plus par ses talents physiques que son intelligence. Dommage que le poids scénique reste écrasant de bout en bout, donnant constamment à l’œuvre des allures de théâtre filmé, y compris dans les dialogues, certes forts bien écrits, mais aussi un peu trop, donnant l'impression d'un léger manque de naturel pouvant, parfois, nuire à la crédibilité d'ensemble. Enfin, l'interprétation s'avère inégale : Zabou en fait souvent trop et Jean-Pierre Darroussin a du mal à convaincre en « loser » se voulant magnifique, au contraire de Bacri, Jaoui et Sam Karmann, tous trois excellents. Au final, la comédie (dramatique) a du sens, mais est aussi un peu vaine, pas grand-monde n'évoluant après cette soirée, ce qui est à la fois pertinent et un peu triste, donnant l'impression d'un film plus prompt à critiquer qu'à proposer des solutions. Mais bon, au vu de ce que nous pouvons voir au quotidien, et sans doute encore plus qu'à l'époque de sa sortie, peut-être « Cuisine et dépendances » a t-il raison dans son analyse, quitte à la trouver figée, voire un peu négative. Efficace.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    939 abonnés 4 859 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 janvier 2023
    Une sorte de répétition d'un air de famille.
    On peut lui reprocher les mêmes airs, les mêmes problèmes, les mêmes personnages.
    Il y a juste la situation qui change.
    Pas drôle mais plutôt froid et tendu dans les rapports humains.
    Pas reposant du tout mais psychologiquement tourmenté.
    Santu2b
    Santu2b

    219 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 mars 2022
    Jouée en 1991, "Cuisine et dépendances" marque la première collaboration théâtrale entre Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri. L'adaptation cinématographique est quant à elle confiée à Philippe Muyl. L'argument consiste en un dîner où se retrouvent des personnes de différents tempéraments. Le pari de la pièce est respecté, à savoir ne jamais montrer le dîner en lui même. Le film se déroule en effet dans les coulisses, où s'expriment les frustrations et les rancoeurs. Jean-Pierre Bacri excelle déjà dans son personnage d'éternel râleur. Malgré un bon texte, la mise en scène reste banale et comporte même quelque chose d'inabouti. On peut considérer qu'il s'agit d'un échauffement voué à exploser véritablement avec "Un air de famille" en 1996.
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