Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) Pierre Le Bret s'appuie de manière optimale sur son expérience de documentariste, en laissant respirer les scènes, en sachant les faire durer, en prenant le contre-pied absolu des diktats épileptiques du polar à l'américaine.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Aden
par Philippe Piazzo
Tout le film est comme le compte à rebours d'une mort annoncée, et la caméra semble tenir en joue ces "Bonnie and Clyde" en herbe. (...) Malheureusement, le film est trop tiède pour convaincre, comme s'il ne savait choisir entre la chronique d'un fait divers et sa dénonciation.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Catherine Deydier
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
Florence Loiret donne à Hélène une épaisseur et une fragilité presque sans commune mesure avec le film qui entoure son personnage. Et l'émotion naît plus de cet effort courageux et disproportionné que du destin scellé d'avance que le film prête aux deux Bandits d'amour.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Michel Cieutat
Bandits d'amour est un galop d'essai banal (de par son scénario), référentiel et efficace (de par sa mise en scène très Nouvelle Vague), souvent touchant (de par la prestation pasionnée de son interprète féminine, Florence Loiret).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Jacques Morice
Un peu datée années 70, cette aventure moins rageuse qu'énergique contre l'ordre établi a du mal à tenir ses promesses, malgré le charisme des deux acteurs, et le refus de tout lyrisme tragique au profit d'un regard dépouillé sur deux jeunes hors-la-loi ordinaires.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Cadre vide, geste sans mobile sinon un vague sentiment de néant, symptômes de tout ce que le film représente idéologiquement : le devenir morbide d'un certain vérisme de terroir "in the French style", sans lieu, sans temporalité, sans autre espace que celui de sa propre impudeur.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Un laisser-aller formel -une image digne des pubs pour la brasserie ou l'opticien du quartier diffusées en début de séance- cantonne le film dans une esthétique craignos, qui n'a même pas l'alibi du réalisme. Une B.O. atroce achève de ringardiser l'odyssée de ces deux amants (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro Magazine
par L.H.
On est touché par la justesse de l'interprétation (...) mais l'ensemble reste bien trop conventionnel pour nous laisser à bout de souffle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Certes, l'ensemble est correct et bien joué (...), mais on est plus dans le domaine d'une dramatique télé que d'un film de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par Philippe Azoury
(...) rares sont les films qui atteignent un tel degré de désastre. Bandits d'amour est un concentré de mollesse répandu sur le cadavre du naturalisme étroit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Sylvie Lachat
(...) si l'on ressent une pointe de compassion désabusée pour ces deux tourtereaux en vadrouille, le film dans son ensemble ne laissera pas un souvenir impérissable...
Première
par n.c.
Cette équipée anarchique pourrait illustrer « l'incommunicabilité dans le couple », façon Théma sur Arte. Ni thriller psycho ni conte social, le film manque d'identité. Ces deux losers-nés ne sont pas pour autant des bandits.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Entre cinéma et fait divers, Bandits d'amour n'entretient qu'un dialogue de sourds et ne bascule jamais dans l'un ou dans l'autre.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
L'Humanité
(...) Pierre Le Bret s'appuie de manière optimale sur son expérience de documentariste, en laissant respirer les scènes, en sachant les faire durer, en prenant le contre-pied absolu des diktats épileptiques du polar à l'américaine.
Aden
Tout le film est comme le compte à rebours d'une mort annoncée, et la caméra semble tenir en joue ces "Bonnie and Clyde" en herbe. (...) Malheureusement, le film est trop tiède pour convaincre, comme s'il ne savait choisir entre la chronique d'un fait divers et sa dénonciation.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Florence Loiret donne à Hélène une épaisseur et une fragilité presque sans commune mesure avec le film qui entoure son personnage. Et l'émotion naît plus de cet effort courageux et disproportionné que du destin scellé d'avance que le film prête aux deux Bandits d'amour.
Positif
Bandits d'amour est un galop d'essai banal (de par son scénario), référentiel et efficace (de par sa mise en scène très Nouvelle Vague), souvent touchant (de par la prestation pasionnée de son interprète féminine, Florence Loiret).
Télérama
Un peu datée années 70, cette aventure moins rageuse qu'énergique contre l'ordre établi a du mal à tenir ses promesses, malgré le charisme des deux acteurs, et le refus de tout lyrisme tragique au profit d'un regard dépouillé sur deux jeunes hors-la-loi ordinaires.
Cahiers du Cinéma
Cadre vide, geste sans mobile sinon un vague sentiment de néant, symptômes de tout ce que le film représente idéologiquement : le devenir morbide d'un certain vérisme de terroir "in the French style", sans lieu, sans temporalité, sans autre espace que celui de sa propre impudeur.
Chronic'art.com
Un laisser-aller formel -une image digne des pubs pour la brasserie ou l'opticien du quartier diffusées en début de séance- cantonne le film dans une esthétique craignos, qui n'a même pas l'alibi du réalisme. Une B.O. atroce achève de ringardiser l'odyssée de ces deux amants (...)
Le Figaro Magazine
On est touché par la justesse de l'interprétation (...) mais l'ensemble reste bien trop conventionnel pour nous laisser à bout de souffle.
Le Figaroscope
Certes, l'ensemble est correct et bien joué (...), mais on est plus dans le domaine d'une dramatique télé que d'un film de cinéma.
Libération
(...) rares sont les films qui atteignent un tel degré de désastre. Bandits d'amour est un concentré de mollesse répandu sur le cadavre du naturalisme étroit.
MCinéma.com
(...) si l'on ressent une pointe de compassion désabusée pour ces deux tourtereaux en vadrouille, le film dans son ensemble ne laissera pas un souvenir impérissable...
Première
Cette équipée anarchique pourrait illustrer « l'incommunicabilité dans le couple », façon Théma sur Arte. Ni thriller psycho ni conte social, le film manque d'identité. Ces deux losers-nés ne sont pas pour autant des bandits.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
Entre cinéma et fait divers, Bandits d'amour n'entretient qu'un dialogue de sourds et ne bascule jamais dans l'un ou dans l'autre.