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    Havana
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    cylon86
    cylon86

    2 252 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juillet 2011
    Sydney Pollack mêle la grande histoire à la petite dans ce film romantique qui retranscrit à merveille l'ambiance de La Havane, l'histoire d'amour n'est pas trop mièvre et est même plutôt réussie et l'intrigue est très prenante. On a connu le cinéaste en meilleure forme mais il s'en sort à merveille. Et Robert Redford est très fringuant.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 janvier 2017
    Le cinéma bavard pontifiant de Sydney Pollack nous sort sa nostalgie de Cuba, lieu de villégiature des Américains volé par un vilain coquin de communiste à casquette. Sa réalisation à deux de tension, son film qui se traîne comme une tortue enlisée sur la plage n'ont d'égaux que l'affreux non-jeu de Redford, ici plus mauvais que jamais -pour autant qu'il ait jamais été "bon" dans toute sa carrière de bellâtre superfétatoire.

    Très long et abrutissant, Havana s'abîme aussi dans sa propre prétention, sa naïveté crasse pour en fin de compte bêtement brasser du vide et nous endormir sans coup férir par la même occasion. A jeter aux oubliettes comme l'ensemble de la filmographie de Pollack, indéfectible tocard diplômé et cave accompli.
    Julien D
    Julien D

    1 101 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juin 2013
    La reconstitution que nous offre Sidney Pollack de la révolution cubaine à travers le regard d’un américain spécialiste des jeux de cartes et très cynique est moins l’occasion pour le réalisateur de revenir sur un événement historique crucial dans la guerre froide que celle de réaliser un drame intimiste. En effet l’évolution de la situation politico-économique de La Havane va servir de pilier à la prise de conscience de ce héros interprété par un Robert Redford plein de charisme. L’image pleine d’exotisme donnée à l’île de Cuba est teintée d’une certaine nostalgie tandis que la photographie très contrastée semble, elle-aussi, soulignée les doutes de ce playboy face à une situation qui le dépasse et à son amour naissant pour une jeune révolutionnaire. Bien construite, l’intrigue n’est pas sans rappeler celle de Casablanca, est en effet un beau moment de romantisme mêlé ainsi qu’un petit thriller plein de suspense.
    willycopresto
    willycopresto

    116 abonnés 1 349 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2016
    "Havana" (1990) Arte le 18.09.2016

    Avec d'excellents films français sortis cette année-là, la concurrence a été dure pour les longs métrages étrangers comme cette oeuvre qui n'a pourtant pas attiré le million de spectateurs en salles, et qui ne s'est pas classé dans les 30 premières places du box office !...
    Certes, ce n'est pas du "grand Sydney Pollack" qui depuis longtemps avait en gestation ce film, mais quel souci du travail bien fait ! On ne cherchera pas trop de références historiques à la révolution cubaine : ce n'est pas vraiment le principal, et le scénario, comme tout le film, tournera essentiellement autour du personnage de Robert Redford, joueur professionnel invétéré plus vrai que nature. Pas très surprenant, le réalisateur et lui se connaissent bien puisque ils ont déjà travaillé sept fois ensemble (ce sera la dernière...) Même Léona Olin semble un peu faire tapisserie...
    A défaut d'être historique, le film est particulièrement vivant, soigné, et satisfait aux habitudes US de vendre la pellicule au kilo comme ici avec 140 mn de projections.
    Mais on se s'ennuie pas et on appréciera la mise en scène et le montage soignés, les décors impeccables, et même la musique qui vaut mieux que vos microscopiques haut-parleurs plats de TV à écran tout aussi plat ! Les seuls reproches viendraient du doublage !
    J'ai passé un bon moment en revoyant ce film peut-être sans prétentions, mais bien construit et agréable à voir ou revoir. Faîtes vos jeux ! Et si vous gagnez, achetez-vous un plateau sonore Bose ou des enceintes acoustiques additionnelles ! A quoi bon une image HD assortie d'un son des années 1940 ? (Ne pas confondre avec un home cinéma)
    willycopresto
    ygor parizel
    ygor parizel

    200 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2012
    Bon drame qui mêle habillement des petites histoires à la grande un joueur de poker qui tombe amoureux d'une rebelle pendant la Révolution cubaine (à plusieurs reprises on pense au film Casablanca car il y a certaines similitudes entre les deux scénario). Photographie qui alterne entre lumineux et ombres et l'ennui n'arrive jamais.
    horasOscar
    horasOscar

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 septembre 2016
    Un pathétique navet, plein de longueurs et exclusivement composé de clichés
    Cuba sert de faire-valoir a une romance inconsistante et mièvre.
    Rien n'est crédible, ni les situations, ni les personnages.
    À éviter.
    reymi586
    reymi586

    401 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 août 2010
    Une bonne histoire sur Cuba, pas un chef d'oeuvre mais à voir
    Fabien S.
    Fabien S.

    454 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2021
    Un très bon film américain de Sydney Pollack avec Robert Redford et Alan Arkin sur la Havane et la révolution cubaine.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    88 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 avril 2020
    Il y a eu deux films sur Cuba en 1990 : Havana & Adieu Cuba. Si ce dernier, réalisé par le Cubain Andy García, n’est sorti qu’en 2005, sa genèse remonte en effet aussi loin que celle du film de Pollack & ils sont frères siamois de traitement : La Havane chaleureuse, facile à détourer, dont on tire l’exotisme génétiquement proche de celui de Floride, La Havane où les Américains viennent car c’est littéralement le paradis acheté par le capitalisme (ah, il y a des communistes ? Zut alors), La Havane surtout dont le rôle est tenu par Saint-Domingue car les Cubains boudaient encore leurs voisins & leur refusaient les droits de séjour & de tournage. Understandable, have a good day.

    Deux longs films comparables aussi par le scénario insinué dans seulement quelques jours de transition politique, une révolution que, pour le coup, Pollack feuillette rapidement – pour Redford, la balle dans le pire-brise était juste un gros insecte & il se remettra des tirs de mitrailleuse avec une cigarette. Okay ?

    Admettons qu’il fallait bâcler au moins un truc puisque le défi était de s’attaquer à un pays en effervescence, un pays tout en musique arraché soudain à son statut de paradis par des révolutionnaires prônant l’Autre Système™ – ce tiraillement b(r)ouillonnant, lié à des cohabitations aussi explosives que diverses (luxe & pauvreté, Américains à la recherche de frisson & répression politique, casinos & torture), c’est ce que Pollack traite de mieux quoique sans aucune vulgarisation. Il se complaît vraiment dans son film de gangsters ensoleillé avec de gros décors, beaucoup de costumes & un petit fond historique – il mérite en ça d’avoir doublé Garcia pour titrer son film au plus évident (The Lost City, c’est lourdement périphrastique, hein Andy ?).

    Avec des cadrages obsessionnellement propres & quelques entrelacs scénaristiques à peine noueux, Havana est une production presque trop digne mais immersive & vigoureuse. Finalement, c’est Redford lui-même qui est déplacé dans La Havane – ce semi-James Bond se pavane avec son sourire charmeur & il joue aux cartes. Personnage choisi comme par hasard, il incarne le péon dans une machine historico-politique énorme & cela aurait eu beaucoup de sens si on ne lui avait pas donné un rôle à jouer sous prétexte que son génie au poker lui achète des faveurs auprès des puissants. Il s’en sert pour poursuivre une idylle dont il nous convainc assez peu de l’importance.

    Redford aurait pu être n’importe qui, mais Pollack a préféré en faire un gros grain de sable à qui tout le monde semble être juste assez gentil pour donner la réplique. Bizarrement, on peut presque l’ignorer en tant que personnage principal, ce qui fait que ce n’est pas si grave s’il est un peu raté. Il n’est que les yeux par lesquels on voit la ville, & sa résilience déplacée devient un simple show comme La Havane en offre tant aux Américains. On peut le regarder s’effacer pendant deux heures & demi devant les rues de la ville & profiter de tout ce qui le fait s’agiter. C’est un procédé comme un autre, mais c’est peut-être bien sa faute si l’œuvre cède à Adieu Cuba la meilleure place critique.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    cinono1
    cinono1

    253 abonnés 1 984 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 novembre 2020
    Une autre œuvre romanesque de Sidney Pollack et Robert Redford. Si le terreau scenaristique est epais, Havana est loin de donner entière satisfaction. Entre un rythme mollasson et une image qui transpire le carton pâte, difficile d'être vraiment emporté à la façon de ces grands films romanesques. Que cela n'empêche pas cependant d'apprécier ce scénario qui mêle la petite et la grande histoire, le charme intact de Robby, et ce questionnement que pose le film sur le choix de vie, l'engagement ou le diletantisme. C'est la avec le personnage de Redford à la croisée des chemins que le film trouve son intérêt et son identité
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    152 abonnés 2 752 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2022
    Un polack romanesque sur un récit de pirate, ou je m'explique, de chasse au trésor qui dérive en histoire de cœur. Un joueur de poker en quête d'un trésor se rend sur une île - Cuba. Il y fait la connaissance de pirates, et bien évidemment allusion faite, on parle bien de Américains, non pas des Cubains, qui luttent légalement pour leur indépendance. De là, le flibustier va hésiter entre trésor ou amour. Rien de bien existant là dedans sachant que les faits historiques sont survolés et qu'on reste dans le mievre. Surprenant de la part du réalisateur.
    Béatrice G.
    Béatrice G.

    63 abonnés 458 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mars 2014
    Jolie histoire d'amour sur fond de révolution cubaine. La partie romance évite de tomber dans la mièvrerie et ne prend pas trop le pas sur le drame historique, qui bénéficie d'une reconstitution solide; l'atmosphère surtout qui se dégage est particulièrement réussie: nostalgique, cynique, étouffante et crispante. Je trouve également intéressante l'opposition entre le personnage désabusé de Robert Redford et celui passionné et engagé de Lena Olin, qui est plutôt convaincante. Peut être pas le film le plus prestigieux sur la filmographie de Sidney Pollack, mais tout de même une réussite.
    caro18
    caro18

    137 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 janvier 2014
    Pas convaincant du tout, l'ensemble est laborieux...
    Redzing
    Redzing

    918 abonnés 4 294 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 août 2022
    Jack est un joueur professionnel, qui débarque à La Havane à Noël 1958 pour participer à une partie de poker avec l’élite locale. Il se moque pas mal des troubles cubains, qui dans quelques jours renverseront le pouvoir de Batista. Jusqu’à ce qu’il rencontre une jolie femme, mariée à une figure de la révolution. Ca vous dit quelques chose ? Et oui, ils ont eu le culot de nous pondre un scénario calqué sur celui de « Casablanca » ! Sauf que c’est beaucoup, beaucoup moins bien. Alors il faut saluer l’énorme effort de reconstitution (décors, voitures…). D’autant plus qu’embargo oblige, le film a été tourné non pas à Cuba mais en République Dominicaine. Le message politique se veut également nuancé. Là où beaucoup d’Américains sont nostalgiques du régime de Batista et hostiles au communisme de Castro, « Havana » présente un pouvoir de Batista très dur, sans non plus idéaliser les révolutionnaires rouges. Mais pour le reste… L’intrigue est profondément plate. Malgré une durée importante (près de 2h30 !), le film ne parvient pas à rendre intéressants ses personnages ou péripéties. Notre héros est censé participer à un tournoi de cartes dont tout le monde semble se moquer, lui y compris. Que les amateurs de poker soient prévenus, le jeu est d’ailleurs à peine présent à l’écran. Quant à l’histoire d’amour, elle est artificielle et débarque trop brutalement pour être crédible. Si bien que le film tourne à vide. Et s’il on excepte une poignée de scènes, même la réalisation est assez fade, avec pourtant Sidney Pollack derrière la caméra. Il faut bien dire que le bonhomme a commencé à tourner des films moins inspirés dans les années 90… Heureusement, le réalisateur retrouve son acteur fétiche, Robert Redford, qui donne du charisme à un héros mal écrit. A noter également, la présence de Raul Julia, toujours appréciable, dans le rôle du mari révolutionnaire. Pour l’anecdote, l’acteur a refusé d’être crédité au générique, au prétexte que les producteurs ont refusé de hisser son nom en haut de l’affiche.
    rocky6
    rocky6

    26 abonnés 1 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 novembre 2023
    Sidney Pollack retrouve Redford pour ce grand film dramatique et romanesque. Sur fond de révolution cubaine, le film prend pour décor la Havane. Un jouer de poker, flambeur et dragueur, Jack Weill (Robert Redford bourré de charme) s'éprend d'une très jolie femme (Lena Olin) épouse d'un révolutionnaire. L'homme arpente les casinos et cercles de jeu pour tenter de décrocher une très grosse partie de poker. Mais la révolution arrive et tout le beau petit monde de la Havane vole en éclat. Jack se trouve pris dans la tourmente et son amour pour la belle révolutionnaire l'oblige à s'impliquer. C'est un très beau film, élégant et glamour, qui offre un reconstitution soignée de la Havane de la fin des années 50. Le couple vedette est parfait. On notera aussi l'excellente interprétation de Alan Arkin qui joue un patron de casino, et Raoul Julia qui campe un révolutionnaire. Un vrai film d'ambiance à voir.
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