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    L'Echine du diable
    Note moyenne
    3,4
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    177 critiques spectateurs

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    Ewen Blake
    Ewen Blake

    133 abonnés 1 164 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 mars 2014
    Très décevant. Non seulement il n'y a absolument rien d'effrayant dans ce drame fantastique vendu frauduleusement comme une film d'épouvante mais en plus on s'ennuie rapidement dans une histoire longuette à la fin totalement manquée.
    Ashitaka3
    Ashitaka3

    93 abonnés 1 187 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 janvier 2012
    Une ambiance étrange traine tout le long du film, l'histoire est quant à elle malsaine et souvent violente. On ne sait que dire devant tant de mystère. Mais on retrouve le style épuré et soigné de Del toro.
    BeatJunky
    BeatJunky

    121 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mai 2012
    drôlement déçu par ce soi disant classique.... sûr, les acteurs sont très bons mais ce n'est pas très profond, pas très effrayant, pas marrant.... bref, pas vraiment réussi à cerner où on veut en venir....
    Shephard69
    Shephard69

    279 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 novembre 2013
    Un drame psychologique teinté de fantastique qui manque d'envergure et de force narrative pour laisser une trace dans les mémoires. Vaguement plaisant.
    darthbebel
    darthbebel

    22 abonnés 636 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mars 2010
    Une atmosphère réussie. Le côté fantastique pur est moins bien intégré.
    Aurelien F
    Aurelien F

    7 abonnés 172 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 août 2009
    une bonne histoire, de tres bon acteur, vraiment un excellent film
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    908 abonnés 4 830 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 novembre 2019
    Un enfant mort, une bombe et la guerre d’Espagne. Il y a quelque chose en trop ...
    On comprend bien qu’il y a une guerre aussi dans les sous sol mais j’ai du mal à être captivé et le fantôme qui n’apparaît que sporadiquement ne fait pas tellement avancer l’action.
    Déçu.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 031 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2019
    Troisième Guillermo Del Toro, L'Echine du diable est le premier à nous montrer ce dont le réalisateur est vraiment capable, signant là le premier grand film de sa carrière. Sorti de l'absence de budget de Cronos et du manque de contrôle sur son oeuvre de Mimic, il peut enfin s'exprimer et s'épanouir sur sa première histoire véritablement personnelle, porteuse de ses thématiques habituelles qu'il développe librement au sein de sa culture natale.

    Et si Mimic avait été réajusté par le succès de Blade 2, c'est Le Labyrinthe de Pan qui fait écho à L'Echine du Diable dans la carrière de l'auteur, qui n'a eu de cesse depuis d'exceller dans ces fameuses thématiques touchant au fantastique, aux contes, à l'enfance face au danger, ici la guerre, et qui se sauvera par son imagination débordante et son innocence propice au pardon (pas sûr que le pardon s'applique à cette fin brutale), quitte à rester bloquer à vie dans ses rêves (Pan, bonjour).

    Et si l'on pouvait croire que la menace viendrait des fantômes, il semblait évident, au commencement du film, que c'était une diversion pour cacher le véritable antagoniste de l'oeuvre : il ne peut y avoir d'enfant mauvais comme méchant d'un film de Del Toro, c'est physiquement impossible. Aussi vrai qu'un Tarantino ne peut se produire sans avoir gaspillé des litres de faux-sang, l'enfant selon Del Toro est sauveur (la bande d'orphelins de ce film) ou sauvé (Mako Mori dans Pacific Rim), héros ou victime. Il ne peut être le véritable méchant de l'intrigue, et sera toujours l'objet d'une dissimulation du véritable antagoniste, adulte monstrueux ou simplement en lien avec la guerre (mercenaire, soldat, prince), qui l'a perverti.

    Leur portrait est d'ailleurs très souvent manichéen, stéréotypé (voir le beau-père du Labyrinthe de Pan), là où L'Echine du diable parvenait à nous dépeindre une vision très nuancée du personnage d'Edurado Noriega, certes pervers et manipulateur mais suffisamment humain (dans toute la faiblesse que cela sous-entend) pour commettre des erreurs qui le rendront justement le bad guy de l'histoire, violent et injuste, objet de la haine du spectateur et de sa surprise lorsqu'il comprendra que la figure du beau-gosse hispanique sera finalement l'interprète de la pourriture de l'histoire, si laid intérieurement qu'il serait capable de tuer des gosses pour des lingots d'or brûlés.

    Une profondeur de personnalité qu'on retrouve dans quasiment tous les personnages présents à l'écran (et qui ont un rôle décent dans l'intrigue); entre la pauvre veuve en quête de tendresse et cette figure paternelle frustrée par son impuissance sexuelle, deux meneurs d'intrigue desquels découlent toute une ribambelle de personnalités juvéniles de moins en moins caricaturales à mesure qu'avance le film, l'on sera forcé de reconnaître un gouffre entre cette oeuvre et ses deux films précédents.

    Que s'est-il passé pour que Del Toro maîtrise à ce point son écriture, lui qui ne brillait auparavant que par son style visuel (encore que Cronos viendrait presque me faire dire le contraire)? Parce qu'en plus d'une écriture très convenable (bien que le scénario sera finalement trop simple, il est vrai), L'Echine du diable brille aussi et surtout par sa magnifique photographie, alternance sublime de couleurs chaudes et de moments de sueurs froides, représentation désespérée des répercussions causées par la guerre sur le paysage, les hommes, les âmes.

    On se surprendra à frissonner quelques fois, à tomber complètement dans l'oeuvre, à se voir happer par elle; ne vous attendez pas, comme pour Crimson Peak, à un film d'horreur. L'Echine du diable n'a de sens qu'en le prenant en tant qu'expérience visuelle dramatique teintée d'horreur et de fantastique, dont le but n'est pas le sursaut absolu mais plus l'attachement à ses personnages, à son intrigue, au passé de chacun, à cette volonté de déceler tous les éléments de l'énigme pour enfin comprendre les enjeux qui se déroulent dans cet orphelinat si particulier, miroir brisé de ce que pouvaient être ces braves gens avant la venue de la guerre.

    Il n'y a pas de mauvaise personne dans L'Echine du diable, juste de mauvaises réactions conduisant à des comportements affreux. La fin, émouvante, conclura avec virtuosité la beauté du spectacle, peut-être un poil trop simpliste dans son déroulé et son intrigue pour atteindre la note supérieure. Un grand film cependant, qui donne de grands espoirs pour les films suivants de l'artiste. Et c'est en les connaissant qu'on se réjouit d'avoir vécu à l'époque de réalisateurs tels que Guillermo Del Toro.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    472 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2020
    On le connait moins que son petit frère Le Labyrinthe de Pan, pourtant L'Échine du Diable pose les jalons que ne manquera pas de suivre le classique de Guillermo Del Toro. L'Histoire de l'Espagne comme incubateur d'une fable fantastico-gothique, doublée d'une parabole édifiante sur la fin de l'enfance. Le cinéaste mexicain frappe fort parce qu'il tient une ligne liant le réel au féérique et il le fait sans jamais céder aux travers à base de jump scares faciles et de manichéisme pompier. Ne comptez pas sur le film pour ménager ses personnages, surtout les plus jeunes. Ils sont les premières victimes de la Guerre Civile et du cloaque Franquiste, dont les ombres planent sur tout le film (remarquable métaphore de l'obus, menace frontale, sourde et constante).
    Les stigmates du déchirement social est transposé dans l'univers lugubre mais empreint d'une certaine magie que Del Toro développe pendant 1h50. L'Échine du Diable rappelle auxquels on tient le plus sont généralement ceux qui nous sont les plus familiers : spectre du conflit, présence fantasmatique des morts, cruauté humaine planquée au fond des eaux ou derrière les regards avides ou phallocrates. Jouant avec les idées reçues, le film n'est jamais plus effrayant qu'en plein jour, quand les masques tombent sous le soleil écrasant. Soyez rassurés, vous aurez également peur la nuit, lorsque les traumas et secrets remontent à la surface. Les morts ne sont terrifiants qu'au regard des crimes auxquels ils sont liés. Ce sont bien les actes auxquels se livrent les vivants qui hantent les esprits.
    Dans la carrière de Del Toro, ce troisième long-métrage est d'importance comparable à ces opus les plus célébrés, puisqu'il est peut-être le premier à avoir su condenser toutes ses forces en tant que (grand) conteur. Le style véloce mais précis, le récit métaphorique, le mélange de fiction teinté de réalisme, d'effets pratiques et de d'images de synthèse, de tendresse et de dureté, d'ombre et la lumière. Tout était là, en germe.
    legend13
    legend13

    215 abonnés 1 021 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 février 2022
    y a un peu moins de 20 ans lorsque j'ai découvert ce film il m'avait littéralement terrifié. J'étais un gamin qui n'était pas du tout friand du genre horrifique. À vrai dire j'en était même très craintif. Mais de l'eau a coulée sous les ponts depuis et le temps de la terreur des films d'épouvantes est largement révolu pour moi. Désormais j'aime vraiment me faire peur. Que vaut donc "L'échine Du Diable" 3eme film de son réalisateur ? Film qui lui a certainement ouvert les portes d'Hollywood..... Et on comprends aisément pourquoi.
    L'œuvre nous plonge dans l'atmosphère étrange d'un orphelinat reculé dans la campagne espagnole durant la triste guerre civile de ce pays. Et Del Toro se sert de cette période noire pour endurcir sont récit. Une histoire de fantômes vraiment bien ficelée certes, mais qui est au service d'un drame humain qui se déroule entre ces murs. Je ne vais pas spoiler pour ceux qui n'ont pas encore eu la chance de voir le film mais l'exercice de Del Toro est largement réussi. De plus on y découvre un peu le goût pour la violence (dans ces films)du réalisateur mexicain dans son très bon climax. Bref un film plus que recommandable.
    Julien D
    Julien D

    1 099 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 mai 2013
    On devine, dans le talent de plasticien de l’image dont Guillermo Del Toro nous fait profiter dans ce magnifique huis-clôt, un véritable coup d’accélérateur pour le cinéma de genre espagnol qui en reprendra régulièrement les codes esthétiques. Cependant, le réalisateur mexicain, pour ses premiers pas dans le fantastique grand public, est loin de signer une œuvre à la mesure du génie créatif dont il fera preuve dans la suite de sa filmographie. Malgré le lyrisme donné à cette histoire de fantômes, le scénario reste difficile à se mettre en place et va même continuer à patiner du début à la fin faute de rebonds narratifs efficaces. Le thème de la guerre civile n’est en définitive qu’une lointaine toile de fond qui, heureusement, sera réutilisé de manière bien plus approfondie dans l’inoubliable Labyrinthe de Pan cinq ans plus tard. On peut résumer le film à une superbe ambiance macabre dans laquelle il ne passe finalement pas grand-chose de passionnant.
    Xavier D
    Xavier D

    47 abonnés 1 045 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2020
    Un petit drame fantastique d'épouvante sous le soleil espagnol de Guillermo Del Toro. Un orphelinat catholique troublé par un passé douteux hanté et par la guerre civile d'Espagne où sont réfugier des enfants, une prof, un médecin et un couple où Eduardo Nogeria, parfait, un ancien petit orphelinat, alors victime de son passer cherche à se venger ou à se repentir, ou chercher l'or. Toujours entre poésie et horreur, le cinéaste s'affairait déjà à son idéal du cinéma. Triste, étrange, frissonnant, sanglant, poétique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 décembre 2011
    film pas mal,meme s'il met un peu le cafard,il fait flipper quand meme.les espagnols sont doué pour les films d'horreur...quand les us leur volent pas d'idees!
    Ezhirel
    Ezhirel

    46 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 août 2016
    De belles images, une jolie bande-son et des acteurs corrects. Le film souffre cependant, d'un cruel manque d'aboutissement en ce qui concerne le scénario. L’échine du diable est un peu le brouillon qui a servi de base à la réalisation du Labyrinthe de Pan : même contexte (celui de la guerre) et même registre (celui du fantastique). Seulement voilà, à contrario de son cadet, L’échine du diable ne parvient pas à convaincre, là où le Labyrinthe de Pan excelle. La réalisation est plus simpliste, l'univers moins travaillé et puis surtout, ici le contexte n'a que peu d’intérêt, contrairement au Labyrinthe de Pan où ce dernier joue un rôle essentiel dans la bonne compréhension de l'oeuvre. Conclusion, si vous cherchez un bon film fantastique à vous mettre sous la dent, tournez vous plutôt vers le Labyrinthe de Pan qui est bien plus intéressant à tous les niveaux.
    Carne
    Carne

    71 abonnés 1 116 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 janvier 2007
    Mélangeant habilement l’horreur et le drame, L’Echine Du Diable est un film visuellement magnifique et particulièrement prenant grâce à son scénario accrocheur, à la qualité des comédiens et au talent de Guillermo Del Toro pour distiller l’angoisse.
    Plus touchant que d’autres films de la sorte, L’Echine Du Diable s’impose comme une œuvre majeure dans la carrière de Del Toro.
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