Avis : L'Auberge Espagnole - Page 8

Une bien sympathique comédie suivant les aventures d'un français qui va, par le biais d'Erasmus, vivre la collocation à l'européenne, à Barcelone. Le tout est illustré avec beaucoup d'humour et des situations comiques ubuesques, accompagnés de bon effets visuels, certains dans la lignée d' Amélie Poulain et d'autres plus personnels (la séquence de la soirée en boîte et le retour difficile qui suit). La mise en scène est donc riche, bien illustré musicalement et interprété par une belle brochette d'acteurs européens (le générique de début est à ce titre une jolie trouvaille). Reste que le personnage principal est à mon goût limite moralement et je n'ai pas accroché à sa personnalité. Le rythme est suffisamment enlevé pour que les 2 heures du film défilent sans que l'on voit le temps passé. D'autres critiques sur

Du très bon Klapisch. L'ensemble est drole, enlevé, avec beaucoup d'humour mais aussi de l'émotion. Le scénario est intelligent, original, et les personnages particulièrement attachants. On passe vraiment un très bon moment, avec des acteurs de qualité. Une réussite!

Sept ans après le succés du "Péril Jeune", Cédric Klapisch et Romains Duris sont font un retour remarqué sur le grand écran avec "L'Auberge Espagnole, en gardant toujours comme thème la jeunesse et ce qui l'entoure. Et c'est avec une énorme surprise que l'on est pris dès les premières minutes par une réalisation inventive et stylé, toujours en lien avec un esprit décalé, novateur et frais. Cedric Klapish se sert d'une narration dynamique et accrochante pour s'attaquer au différente chose de la vie qui font notre quotidien, en y mélant une dose d'humour qui ne tombe jamais dans l'excés ni dans la caricature abusive. Il parvient égalemment à reporter à l'écran cet aventure particulière et inoubliable, qui arrive principalement lors des années de Fac, et où tous les événement s'entrechoc dans une vie d'étudiant déja très instable. Ici, c'est le sujet de la vie en communauté que Klapsich privilégie, en faisant co-habiter plusieurs "pré-adulte" de tous pays, mais liés au même inquiétudes et apprentissages, comme le sexe, l'éxpérience culturelle ou le premier chagrin d'amour où ces derniers vont parfois se retrouver paumés ou déboussollés, quelque soit leur langue. Une oeuvre brillante et passionnante, avec une belle morale et une scène final d'une force incontestable et d'une émotion sans excés.

Comment ne pas rire ? Une comédie charmante et pleine d'entrain porté par ces acteurs aux diapasons. Ce film est un régal !

Un film agaçant. La réalisation donne le tournis et l'on préfère s'endormir plutôt que vomir.
Beaucoup de gens aiment ce film, une énigme pour moi. Duris joue certes pas trop mal mais il n'est en rien excellent. Certes, le contexte est amusant mais est trop surfait pour être crédible... Bref, une bouse appréciée.
A voir, pour vous faire votre avis.

Bonne comédie avec de bons acteurs et de bons dialogues. Duris toujours (ou plutôt déjà) si talentueux et respectueux du jeu et du cinéma. Les images sont captivantes, le scénario se suit avec intérêt et on s'identifie à beaucoup de personnages dans le film. Pas mal de figures de styles sont utilisées ce qui nous fait penser que Bezançon ne s'inspire pas que de Kubrick ;-) !
En revanche, même en sachant où le film veut en venir, on ne retrouve pas les axes narratifs voulant mener à cette "morale" qu'on devine rapidement. On nous balance ça au début et à la fin ; et entre deux un film qui certes est bon, mais n'a aucun rapport avec ce message qu'on tente de nous transmettre. Dommage, L'Auberge espagnole reste néanmoins un bon film !

Quand je lis que certains disent que ce film est le film de toute une génération ça me fout mal à l'aise. Surtout que j'ai a peu près l'age des héros de ce navet ! Comme l'a dit quelqu'un dans un autre critique spectateur (mais je ne sais plus qui, désolé !) ce film est juste destiné aux petits bourgeois en manque de sensations fortes ! Mais aussi, je pense, aux gamins entre 12 et 16 ans pressés d'en avoir 20 pour partir loin de leurs cons de parents faire le tour du monde, trop cool !! Moi j'ai trouvé le scénario trop prévisible, pas de rebondissements délirants, pas de répliques cultes, jeu d'acteurs trop cul-cul, réalisation hyper-simple et sans aucun effort à la française. Et puis Romain Duris il me saoûle grave ! Il a maintenant plus de 30 ans et il continue a jouer l'étudiant pour les étudiants, faut arrêter quand même (le péril jeune, l'auberge espagnole, les poupées russes) !! Ouais voila, je pense que c'est vraiment ZE film pour étudiants qui vont à la fac pour faire style, fument 2 paquets par jour pour faire cool, s'habillent branchés, ont déjà voyagé pour faire style aventurier et regardent des films de merde comme celui-ci pour faire style je connais le cinéma ! Je me suis déjà farci le premier volet, et je vois que la suite (les poupées russes) vient de sortir. Ce sera sans moi !

le film qui montre que les jeunes ont un coté fou-fou et clairevoyant que les vieux cons n'ont pas."Les filles", "la biere", "le boulot c'est de la merde", voila le programme.Hormis ce voyage initiatique ininteressant, la fin est une d'une morale nauseabonde.Une grosse caricature.A la scene de fin, le héros commençant son job dans une boîte, se rendant compte apres toutes ses experiences extraordinaires en Espagne que travailler avec des ringards qui font des blagues pas drole, c'est pas son truc.Alors, au bout de cinq minutes d'enfer Romain Duris s'envole vers d'autres horizons plus glorieux pour ecrire des romans sur ses expriences philosophiques de la vie et qui sait peut-être un jour devenir celebre et avoir plein d'argent.Vulgaire.Est-ce du second degré?Je voudrais bien savoir ce que voulait faire reelement passer Cedric Klapish dans ce film.0 car ce film a eu un reel impact, c'est qu'il y a une raison.C'est plus vicieux qu'un episode de Dawson car l'ensemble du film insuffle ce petit je-ne-sais-quoi de tendance.

Une comédie sympathique avec une bande de comédiens hauts en couleurs.

J'ai complètement adoré ce film, les acteurs sont bons, on ne s'ennuie pas et l'histoire est sympa, même si ce n'est pas le meilleur scénario, ça se regarder sans aucun problème. A voir donc et à revoir !

Que ce film niais, racoleur et branchouille ait connu un tel succès auprès des djeuns d'aujourd'hui en dit long sur leur inculture, leur superficialité et leur manque flagrant de personnalité.
Romain Duris balbutie son talent en campant un personnage des plus creux, au prise à des questions existentielles "je choisi la blonde que je kiffe ou la brune que je kiffe, trop dur tu vois ce que je veux dire?" qui fume du shit parce que c'est baba, de l'herbe parce que c'est bobo; qui voyage pour faire style "aventurier" ce qui revient en fait pour lui à tester de nouvelles discothèque, qui dit écrire par ce que c'est bien vu d'être artiste ou poète, qui écoute Manu Chao par ce que la société est en crise.
Bref, ce film est un vomitif ou un laxatif, c'est selon.
C'est fashion de jouer au pauvre quand on est un bourgeois.
S'il avait été trourné aujourd'hui, le héros aurait eu une crête et du gel plein les cheveux.

Maniant les clichés à tous les étages étages, ce film est d'un parti-pris agaçant et surtout n'apporte ni humour, ni adrénaline, ni sensations : tout y est plat et sans intérêt.

Très mauvais film, on en sort démoralisé et déçu tant j'avais entendu du bien de ce film. L'histoire est lente, peu passionante, triste et de plus Romain Duris ne sauve pas du tout ce film.

Un superbe voyage "initiatique" et une véritable ode à l'ouverture sur le monde et sur les autres cultures (difficile donc d'échapper à quelques caricatures...). Tous les jeunes ayant effectué un séjour linguistique ou ayant passé une année sabbatique dans un autre pays se reconnaîtreront dans le personnage incarné par Romain Duris. N'ayons pas peur des mots : "L'auberge espagnole" est le meilleur film de Cédric Klapisch. Original, réaliste, drôle, enjoué, coloré, intelligent, frais, vivifiant,... Les qualificatifs positifs ne manquent en tout cas pas pour décrire ce long-métrage, subtilement mis en scène et réalisé, déjà à ranger au rang de culte... Génial...

J'ai detesté : aucun interet et long.