le seul grand film ou sont réunis ces 2 gros montres du cinéma hollywoodien de ses annéees 1970 un pur film catastrophe!! paul NEWMAN l'architecte de ce grand building et le merveilleux STEVE MC QUEEN le pompier qui aura le role du sauveur...
Je me faisais une joie de revoir ce film que je n'avais pas vu depuis très longtemps et ... j'ai vite déchanté. La VF sur le DVD que j'ai acheté n'est pas l'originale et c'est apparemment aussi le cas sur l'édition blu-ray. La voix de Steve Mc Queen ne passe pas du tout et c'est limite pour Newman et Holden. Il semblerait que ce film, ainsi que d'autres "classiques", aient été re-doublés pour avoir une bande son au (mauvais) goût du jour. La Warner se fout vraiment du public et des comédiens qui ont fait les doublages originaux.
La tour infernale impose les règles du film catastrophes. Scénario en quatre parties, la présentation des personnages, la catastrophe, la lutte pour la survie, et la fin heureuse. Des personnages stéréotypés. Un héros... Subjectivement mauvais.
Longtemps considéré comme LE film catastrophe de référence, "La Tour infernale" a particulièrement vieilli. Certes, on retrouve avec une certaine nostalgie cette Amérique des années 70 où l'on craignait davantage les promoteurs véreux que les terroristes. Et force est d'admettre que le film devait être particulièrement impressionnant lors de sa sortie en salles notamment en raison des moyens pyrotechniques mis en oeuvre et du casting de stars déployées. Une vitrine clinquante qui a visiblement servi de prétexte aux producteurs pour ne jamais développer leurs personnages. On a ainsi droit à une galerie monochromatique avec l'éternel héros, aussi innocent que naïf, qui prévient tout le monde de l'imminence de la catastrophe sans jamais être entendu (Paul Newman), au promoteur qui met tout le monde en danger pour des raisons bassement financière (Willem Holden), à la femme pot de fleur (Faye Dunaway), au gendre cupide et veule (Richard Chamberlain), au vieil escroc qui tombe amoureux (Fred Astaire) ou encore à des 2nds rôles sans intérêt avec OJ Simpson en chef de la sécurité, Robert Vaughn en sénateur ou Robert Wagner en séducteur. Seul Steve McQueen apporte de l'épaisseur à son personnage de pompier râleur et déterminé. Question scénario, rien de bien original puisqu'on a droit aux fameux avertissements dans le vide suivis par la catastrophe et sa succession de morts (en général assez peu traumatisantes) et de sauvetages (dont celui des enfants et du chat bien sûr !) pour s'achever par un happy end et une morale à peine démago. Un modèle peu glorieux (et une absence de suspens) qui est pourtant suivi, aujourd'hui encore, par de nombreuses productions similaires. Idem pour la mise en scène qui ne brille par son originalité et encore moins par son rythme. Reste un classique du cinéma hollywoodien que j'aurais sans doute jugé différemment au moment de sa sortie.
Lorsqu'on est trop souvent déçu par les productions actuelles, rien de mieux que de se réfugier dans la valeur sûre des bons vieux classiques. Certes, La Tour Infernale a pris un coup de vieux, mais les grands classiques du cinéma y survivent en prenant du cachet. Un classique du film catastrophe. Un savoir-faire de la grande époque, un casting solide, un duo mythique, une réalisation classique soignée, propre et professionnelle. Ici les caméras ne virevoltent pas dans tous les sens pour suggérer ou simuler le film. Ici on pose la caméra, on cadre, on construit l'image, on sait ce que l'on veut filmer et comment, il y a un objectif filmique et pas une addition de facilités en remplacement du savoir-faire, on montre la scène et on prend le temps de le faire. Aventure, rebondissement, action, tension, spectacle, un film généreux, embarquez vous pour un grand spectacle de presque 3 heure. Si seulement on pouvait associer les moyens financiers et techniquesd'aujourd'hui avec l’exigence d'un savoir-faire professionnel des grands classiques, nous aurions des monuments du cinéma à nous mettre plus souvent sous la dent. Les grands classiques sont formateurs.
Précurseur du film-catastrophe avec "L'aventure du Poséidon","La Tour infernale" impressionne encore 35 ans après.1974.San Francisco.Une tour de 138 étages.300 convives.Un court-circuit qui se transforme en incendie incontrôlable.Tous piégés.L'architecte concepteur du bâtiment(Paul Newman,tout en self-control)s'allie au brigadier-chef des pompiers(Steve Mc Queen,royalement laconique)pour sauver ces vies humaines.Un scénario imparable pour créer de la tension,du suspense et une pyrotechnie spectaculaire.On est même étonné que les effets(genre maquette et figurines)fassent encore illusion.C'est dire la qualité du film.Une catastrophe qui n'est pas d'origine naturelle,mais bien une résultante de la rapacité humaine.Sous couvert d'empocher un copieux pot de vin,le promoteur(William Holden,en pleine incrédulité)et son gendre(Richard Chamberlain,en parfait salaud)n'ont pas jugés utile d'ignifuger les câbles ou d'installer des portes coupe-feu...Se greffe par dessus des histoires secondaires comme celle du gentleman-mythomane(Fred Astaire,aérien comme de coutume)ou de la maîtresse courageuse de Newman(Faye Dunaway,l'élégance 70's personnifiée).On n'oubliera pas de sitôt la descente des escaliers en rappel ou l'inondation torrentielle finale.En dépit de longueurs logiques et d'un montage pas toujours heureux,"La Tour infernale"remplit son devoir de spectacle éducatif.
L'un des premiers films catastrophes à gros budget et au casting énorme. Un beau duo McQueen/Newman, de beaux effets spéciaux et une belle B.O. malgré une histoire assez simple. A voir en VO ou dans son premier doublage.
Un classique du film catastrophe. Même si il faut avouer que l'on pouvait s'attendre a encore mieux, c'est tout de même un grand spectacle, avec une mise en scène très efficace et d'excellents effets spéciaux. De plus, ce film contient une galerie d'acteurs impressionnante (MCqueen, Newman, Holden...) Un vrai bon film tout de même.
Le film a parfaitement vieilli; dommage pour les murs en carton, les fenêtres en plastique et les médiocres figurants et seconds rôles, le film reste parfaitement exécuté, toujours impressionnant avec un duo Newman / McQueen très charismatique. Exposition néanmoins un peu longue, et manque de musique.
Surement l'un des films catastrophe les plus célèbre, celui qui aura définitivement popularisé le genre, "La tour infernale" s'avère bien réussi, et au XXIème siècle toujours impressionnant malgré l'avènement du numérique. Le début met un peu de temps à démarrer, mais dès que "l'intrigue" se met en place, il remplit son rôle, il divertit, nous offrant des scènes époustouflante et particulièrement réussi. "La Tour Infernale" se détache des autres productions du genre, grâce à une mise en scène particulièrement réussi, un scénario plutôt bien construit, des dialogues bien écrit et surtout d'excellent acteurs. En effet Paul Newman et Steve McQueen ont un charisme fou sans oublier des seconds rôles tels que Fred Astaire, William Holden ou Faye Dunaway. L'ensemble reste captivent de bout en bout, malgré les 2h40 de film. Il y a aussi cette bonne bande original signé John Williams. Un des premiers films du genre, mais aussi l'un des meilleurs et qui a bien vieilli, les effets spéciaux sont toujours impressionnant.
5 étoiles avec les voix françaises originales... 0.5 avec le nouveau doublage, ça tient à quoi un film !! Jacques Thébault pour Steve Mc Queen bordel !!!!!
Surement la référence des films catastrophes... Un grand spectacle, du suspens, une terrible intensité dramatique et un duo Paul Newman et Steve McQueen légendaire...
C’est grâce à l’improbable union qu’ont fait la 20th Century Fox et la Warner Bros. pour produire un film catastrophe de grande ampleur (un sous-genre dont le succès de L’aventure du Poséidon venait de prouver la rentabilité) que La tour infernale est devenue la référence absolue, le maitre-étalon, l’exemple à suivre du genre. Deux heures quarante de pur spectacle, sans temps mort et servi par une brochette de super stars, la recette est devenue classique, mais jamais, depuis 1977, elle n’aura été appliquée avec une telle efficacité. Les effets pyrotechniques, à l’époque révolutionnaires, mêlés à des schémas scénaristiques et des personnages (qui, à force d’être copiés, sont depuis devenus des clichés) brillamment interprétés par Paul Newman et Steve McQueen, eux-mêmes entourés de personnages secondaires incarnés par des acteurs tout aussi talentueux (Faye Dunaway, William Holden et Fred Astaire pour ne citer qu’eux) rendent la tension dramatique réellement intense et permettent de multiplier les intrigues pour assurer une source d'émotions captivante mais surtout de rendre certaines scènes d'incendie à tel point spectaculaires qu’elles sont restées inoubliables. Une chose est sûre, c'est que, du haut de ses 130 étages, cette Tour infernale reste indétrônable.