Mon compte
    Embrassez qui vous voudrez
    Note moyenne
    4,0
    23 titres de presse
    • Aden
    • Le Figaroscope
    • Le Parisien
    • Les Echos
    • Libération
    • MCinéma.com
    • Ouirock.com
    • Cine Libre
    • Ciné Live
    • L'Express
    • L'Humanité
    • Le Point
    • Les Inrockuptibles
    • Novaplanet.com
    • Première
    • Studio Magazine
    • TéléCinéObs
    • Zurban
    • Chronic'art.com
    • Cinopsis.com
    • Le Figaro
    • Cahiers du Cinéma
    • Le Monde

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    23 critiques presse

    Aden

    par Philippe Piazzo

    Ils ont besoin d'amour. Ils sont tendres. Mais peu importe avec qui. Ce film­ là - pure spéculation, mais pas si dingue -, Billy Wilder aurait pu le signer.

    Le Figaroscope

    par Emmanuèle Frois

    Du bon "Blanc" à savourer illico.

    Le Parisien

    par Alain Grasset

    Si le chocolat amer avait toujours une telle saveur, on ne mangerait que ça.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Les Echos

    par Annie Coppermann

    Blanc joue sur du velours. Mais un velours qui râpe, car, plus doux-amer que vraiment drôle, ce faux vaudeville en forme de grand charivari sentimental laisse un goût d'amertume...

    La critique complète est disponible sur le site Les Echos

    Libération

    par Didier Péron

    Embrassez qui vous voudrez, librement adapté de Vacances anglaises, un roman de Joseph Connolly, fournit une preuve éclatante du savoir-faire de Blanc dans un registre de comédie qui, en fait, n'a pas grand-chose à voir avec ce qui se pratique en France dans le genre.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    MCinéma.com

    par Jean-Luc Brunet

    Alors, embrassez qui vous voudrez, et, dans la foulée, courez voir ce film qui met du baume au coeur.

    Ouirock.com

    par Anne Le Tiec

    Michel Blanc a réussi le pari de ne pas tomber dans le film d'acteurs où l'histoire n'est qu'un prétexte à la réunion du cinéma français. Ici, le chassé-croisé de la dizaine de personnages permet à l'histoire de prendre corps en même temps on savoure cet éventail d'acteurs.

    Cine Libre

    par Sébastien Lecordier

    Les comédiens sont animés d'une foi suffisamment convaincante pour emporter le morceau et le dosage entre caricature et humanité est savamment distillé pour se laisser abuser.

    Ciné Live

    par Philippe Paumier

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    L'Express

    par Christophe Carrière

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    La critique complète est disponible sur le site L'Express

    L'Humanité

    par Michaël Melinard

    Certes, Embrassez qui vous voudrez n'a peut-être pas l'originalité de Grosse Fatigue. Mais cette oeuvre apparaît beaucoup plus aboutie. La satire a laissé la place à une comédie de moeurs légère, formidablement bien écrite d'un artiste multicarte qui, trois ans après Mauvaise Passe, semble avoir trouvé la maturité.

    Le Point

    par Olivier De Bruyn

    Voir la critique sur www.lepoint.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Les Inrockuptibles

    par Serge Kaganski

    Une sorte de Bronzés adulte, où brillent particulièrement Rampling et Dutronc.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Novaplanet.com

    par Alex Masson

    Embrassez qui vous voudrez fait tourner cette ronde en bourrique jusqu'à déboussoler les archétypes pour en faire des beaux personnages au bord de l'asphyxie dans leurs marasmes existentiels, carburant d'une comédie aussi noire et survoltée qu'un ciel d'orage sur une plage du Nord.

    La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com

    Première

    par Christophe Narbonne

    Simple exercice de style ou féroce étude de moeurs, peu importe. La singularité de Blanc vaut le déplacement.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Studio Magazine

    par Thierry Chèze

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    TéléCinéObs

    par Jean-Philippe Guerand

    Un film miroir dont le reflet nous aveugle de réalisme.

    La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs

    Zurban

    par Eric Quéméré

    L'auteur s'est réservé un rôle de choix, celui du mari trop jaloux d'une femme trop belle. Il y a même quelques notations de satire sociale bienvenue, dans l'opposition entre le couple qui réussit et celui qui "rame" ; mais c'est le désenchantement des rapports hommes-femmes qui donne au film sa force et sa consistance, au-delà du plaisir qu'il procure.

    La critique complète est disponible sur le site Zurban

    Chronic'art.com

    par Vincent Malausa

    (...) on rit parfois beaucoup à sa vision, mais on ne le prend absolument pas au sérieux. Or Michel Blanc se veut un cinéaste sérieux , c'est une certitude : l'étiquette Woody Allen français collée sur son front, il double son burlesque crispé de velléités artistiques assez pompières (...), plombant toute légèreté au profit de la posture et du geste.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    Cinopsis.com

    par Sylvie Jacquy

    Du coup ce qui aurait pu ressembler à une joyeuse peinture au vitriol grinçante et immorale, a parfois des allures de gentil fourre-tout où malheureusement les nombreuses situations ne débouchent sur rien. Malgré ces quelques fausses notes, il faut bien avouer qu'on se laisse facilement entraîner dans la danse et que la ronde d'acteurs épatants qui la mène ne se refuse pas.

    La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com

    Le Figaro

    par Dominique Borde

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Cahiers du Cinéma

    par Jean-Marc Lalanne

    (...) malgré l'injonction échangiste du titre, le film est terriblement coincé, vissé à l'intérieur.

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    Le drame de Michel Blanc est que le public a dépassé aujourd'hui en matière de cynisme l'esprit frondeur du café-théâtre sous les auspices duquel il a inauguré sa carrière. Du coup, l'esprit de bagatelle vire au jeu de massacre, et la plaisante grimace de son personnage de souffre-douleur se fige en un rictus hideux.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top