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    Fais gaffe à la gaffe!
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    Jahro
    Jahro

    43 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 avril 2018
    Les bidasses, les sous-doués, les charlots ou encore mon curé, la France des années 70 a conquis une réputation Nationale, avec un grand N, et sans doute aussi une grande haine pour les membres du CNC, en matière d’indigences non-drôles à la beaufitude assumée. J’avertis le nostalgique : malgré son pitch alléchant, Fais gaffe à la gaffe ! est inscrit à ce registre. Mais laissez-moi donc vous conter comment on en est arrivé là. A l’orée de la vingtaine, le cadet Boujenah tente de se faire un prénom en allant proposer l’impensable au mythique Franquin : adapter son Gaston en salles. Un peu trop magnanime, le bon André lui accorde le droit de reprendre ses gags, mais demande prudemment qu’on renomme les protagonistes. Exit donc De Mesmaeker, Prunelle, Mademoiselle Jeanne ; place à Mercantilos, Prunus et la belle Pénélope. Même Lagaffe répond dorénavant au sobriquet concis de « G ». Au passage, il devient bourreau des cœurs, musicien génial, inventeur astucieux et fils spirituel du boss, le paternaliste Dupuis, pardon, monsieur Dumoulin. Pendant que Prevost cabotine à ne plus savoir où donner de la tête, la jeune Chazel semble s’interroger sur sa présence ici – et bien-sûr, on la comprend. Mais c’est surtout Roger Miremont, auteur d’une performance remarquablement nulle, qui aimantera les regards des plus atterrés. Entre échanges verbaux de bar PMU et comique troupier des soirées sur TF1, on ne rit jamais, on sourit à peine, et encore, toujours au vingt-huitième degré. Heureusement le naufrage est bref. De nos jours, plus personne ne se rappelle le frère de l’humoriste pied-noir en chef dans la bande à Drucker. Tu m’étonnes.
    ER  9395
    ER 9395

    72 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 janvier 2013
    Un film qui se veut proche de la bd de Franquin , quelle tristesse comment peut-on produire et tourné un tel navet ?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 août 2010
    Quelle nullité ce scénario et quelle honte pour cette illustre BD. Film affligeant qui ne recrée pas du tout l'esprit de Gaston. Et puis depuis quand il se balade avec une valise tout le temps?

    Nul
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 février 2007
    non non et non, ils ont osé de faire un film de Gaston lagaffe de Monsieur Franquin, et ils ont changé ... tous lezs noms !! quel hnte de fairece genre de film ! en lus Franquin a lui-meme refusé qu'ils fassent ce film... quel décpetions pour les fans de Gaston Lagaffe (que je suis un Fan...)
    dougray
    dougray

    207 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 décembre 2010
    J’ai beau être un fan absolu de la BD Gaston Lagaffe, j’ignorais que l’éternel gaffeur créé par Franquin avait eu droit aux honneurs d’une adaptation ciné. Enfin les honneurs, euh... Disons plutôt au discrédit d’un nanar typique des années 70-80 comme savait en faire Philippe Clair et Max Pécas. Il faut dire que le film partait déjà avec un énorme handicap, Franquin ayant refusé que les noms de ses personnages soient utilisés ! Point de Gaston Lagaffe donc mais un certain G (mention spéciale au petit génie qui a soumis l’idée de ce subterfuge...) campé par un Hervé Mirmont pour le moins approximatif dans son interprétation (les "M’enfin" sont à se taper la tête contre le mur) et donc le look fera frémir les puristes (pas de pullover vert et d’espadrilles bleues mais un pull incolore tagué d’un énorme G). Pas non plus de chat ou de mouette rieuse mais une énorme valise que G trimballe partout et qui n’apparait jamais dans la BD. Mais surtout, l’interprétation de Mirmont est une trahison de la personnalité si attachante du héros qui se résume ici à un grand neuneu volontaire (alors que Gaston fuyait le travail dans la BD) et surtout pas drôle (on ne rit jamais). Les autres personnages ne sont pas mieux lotis : le colérique Prunelle devient Monsieur Prunus (Daniel Prévost cabotin), un arriviste cherchant à se débarrasser de G, Monsieur Dupuis est rebaptisé Dumoulin (empathique François Maistre) et apparait à tout bout de champ alors qu’on ne voyait jamais le visage du personnage dans la BD, le brigadier Longtarin est ridiculisé par l’interprétation cartoonesque et muette de Francis Lax qui n’a jamais l’occasion de faire entendre sa voix si reconnaissable, l’irascible Monsieur de Mesmaeker devient le beaucoup trop conciliant Mercantilos (improbable Marco Perrin)... Seule la secrétaire Pénélope (Mademoiselle Jeanne dans la BD), campée par la pétillante Marie-Anne Chazel, correspond à peu près à son modèle papier. Par contre, point de Spirou, de Fantasio ni même de Lebrac ou de Jules de chez Smith en face ! On pourra toujours s’amuser à reconnaitre les gags directement tirés de la BD et qui ont bercé notre enfance (le running gag de la signature avortée des contrats, le système de rangement des documents, la réplique en latex accrochée à la façade...) ou admettre le talent de reconstitution de certains éléments indissociables de l’univers de Lagaffe (sa voiture, son gaffophone...), cela n’empêche ce film au titre ridicule d’être un incontestable navet à la réalisation vieillotte et à la BO infâme qui se permet en plus une fin en parfaite contradiction avec la BD dont l’un des ressorts comiques était l’inexplicable longévité du gaffeur au sein des bureaux de Spirou Magazine. Une bonne nouvelle néanmoins : il reste un grand film à faire sur Gaston Lagaffe !
    karpathakis y
    karpathakis y

    20 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 décembre 2019
    Premier constat une bande originale vraiment débile est un Gaston vraiment antipathique. Tiens la none folle du
    Gendarme de Saint-Tropez interprète une autre folle. Seul Marie-Anne Chazel pourrait être crédible en Mademoiselle
    Jeanne mais elle est "sabordée" par le reste du casting. On assiste à des gags foireux à répétition n'ayant rien de commun avec les albums de Gaston. Dialogues affligeants, ce film encore plus mauvais que le Gaston Lagaffe de 2018 est à des années-lumière de l'esprit Franquin dont je suis fan depuis mon enfance. Même pas un nanar mais un Navet avec un N majuscule !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 juin 2009
    ce film est une honte
    daniel prevost n'est pas credible une seconde dans le role de prunnelle (prunus dans le film) roger mirmont dans le role de gaston est ecsecrable quant a Mr demesmaeker (mercantilos) son role dans le film n'a rien a voir avec celui de la BD a part le fait qu'il vient signer des contrats...
    la musique qui se repete tout au long du film est indigeste et a aucun moment on ne retrouve l'ambiance de la BD le seul point positif est d'avoir pris marie anne chazel pour jouer le role de mademoiselle jeanne car il y a une certaine ressemblance physique a mon gout mais hormis cette ressemblance elle est aussi mauvaise que le reste des acteurs

    bref un enorme navet qui ne m'aura pas fait rire une seul fois meme pas decrocher un sourire...
    honte a paul boujenah le realisateur de cette infamie
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    21 abonnés 1 292 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 octobre 2023
    Même en étant objectif, je suis forcé de constater que je n'avais jamais vu un film français aussi raté. "Fais gaffe à la gaffe!" est une atroce adaptation de la licence "Gaston Lagaffe", qui n'est même pas complète en plus de cela. Si l'autorisation de reprendre les situations de celle-ci a été accepter, les noms des personnages ont dû être changés. Et clairement, même si je ne suis pas un fin connaisseur de cette bande dessinée, je dois dire que le résultat est affligeant de nullité. Dès le début du film, nous serons plongés au sein d'un long-métrage qui n'a rien pour être sauvé. Si vous regardez ce projet pour rire, vous ne serez jamais servis, aucune situation ne réussit à fonctionner. On le sait, la France n'a que trop peu réussi à adapter ces bandes dessinées au cinéma, la faute à un problème dans le ton qui leur est donné. Ce n'est pas parce que c'est cartoonesque qu'il faut faire n'importe quoi, et ce long-métrage ne l'a clairement pas compris, comme beaucoup d'autres. On enchaîne juste les situations ridicules à la chaine, durant lesquels nos acteurs vont enchaîner le sur-jeu d'une manière bien insupportable. Mais en soi, ce n'est même pas vraiment le problème, car du ridicule peut parfois faire rire s'il est bien emballé. Mais ce film a surtout un très gros problème au niveau de sa réalisation, c'est incroyable comment ce projet peut sembler si amateur à certains instants ! Que ce soit dans le montage mal découpé, avec des séquences de dialogues qui s'enchaînent mal. Que ce soit dans le montage sonore, avec une musique qui change de volumes de manière très brusque à certains moments. Ou que ce soit dans le choix assez discutable de certains plans. Le film est clairement immonde, donc même si les acteurs et l'humour avaient été bien réfléchis, il n'aurait jamais pu réussir à être cohérent. Ce long-métrage est un échec total, de A à Z. Pour conclure, une immonde catastrophe.
    manu_le_malinho
    manu_le_malinho

    2 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 décembre 2010
    Un navet infâme qui ne fait pas même esquisser un sourire... A voir par curiosité si l'on est un fan de Gaston mais la déception sera au rendez vous.... Franquin a bien fait de refuser les droits....
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 juillet 2015
    Navrant. Même la Fiat 509 joue mal... Il n'y a rien à sauver dans ce film malgré la présence de Daniel Prévost, de Marco Perrin, de Francis Lax (aux dialogues) et la musique affreuse de Claude Bolling...
    Un gâchis sans nom.
    Kokkor_Hekkus
    Kokkor_Hekkus

    40 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 février 2017
    Film difficile à trouver et c'est tant mieux. Une honte cinématographique et une honte par rapport à la BD. Gaston n'a même plus de nom et se fait appeler "G", il a l'air d'un débile profond qui traine une malle en permanence (?) et au final n'a rien d'attachant. Daniel Prévost campe un Prunelle rebaptisé Prunus absolument idiot et insupportable. Bref, rien à garder de cette chose en forme de film et à fuir absolument. Seule Marie-Anne Chazel est mignonne avec ses lunettes rondes et sa queue de cheval façon Moiselle Jeanne.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 janvier 2008
    De tout les films français, celui-ci atteind un somment : celui du plus nul. Passons sur le jeu absent des acteurs ( bien que quelque-uns est bien réussi) le scénario à été ecrit en 1/2 heure avec une bd de franquin comme base (le temps de lecture de l'album est inclus dans la 1/2h)... Bref, passons notre chemin, il y a temps et temps de chose bien à voir, même pour les fans de Gaston, ce navet digne des plus mauvais Peca, ne vaut pas le cout de supporter pendant 1h et demie ce débit de niaiserie ou les plans sont mauvais (on voit d'ailleur plusieur fois la caméra...) et les décors -passons- . Quelques gags pour celui qui ne connait pas Lagaf, et pour voir les débuts de Prévot (mais qu'est ce qui vient f... ici ????), michel Boujenah,Marie-Anne Chazel... Il n'est pas sortie en dvd? je me demande pourquoi ...
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