Avis sur Les Petits champions 3

Les ducks champion de leur catégorie au lycée , arrivent en université et vont devoir se faire accepter ou pas . On est dans la lignée des deux premiers épisodes . Un film familial Disney sans trop de scénario et avec des acteurs peu inspirés ou surjouant. C'est clairement le moins bon des trois, le filon est cassé Monsieur Disney.
ça se regarde sans trop d'ennui et ça s'oublie assez vite.

Rien de bien neuf dans ce troisième volet des « petits champions » si ce n'est qu'on ne voit presque plus Emilio Estevez! Comme toujours, le hockey sur glace de haut niveau demande un boulot ènorme et tout commence èvidemment par une bonne dèfense! Deux manières de jouer donc : l'attaque et la dèfense! Avec aussi beaucoup de volontè pour pouvoir jouer comme des professionnels! En attaquant forte-tête portant le dossard N°96, le jeune Joshua Jackson doit faire ses preuves dans l'èquipe des « Ducks » , il est le coeur d'une èquipe de hockeyeurs en herbe qui intègre une ècole de sport prestigieuse mais qui perd au même moment son entraîneur! Le scènario est sans grand intèrêt, le poussant vers les lisières du premier et deuxième volet! Pourtant entre deux matchs (les patins à roulettes en marche arrière, l'hommage à « Lone Ranger ») où la dèfaite vous apprend plus que la victoire, on ne s'ennuie pas même si ce genre de suite commence à devenir rèpètitive! A noter la belle scène sur patinoire entre un entraîneur et sa fille en fauteuil-roulant...

Le troisième et dernier opus de la trilogie est hélas le moins bon, l'esprit et l'efficacité des premiers films ayant quelque peu disparu pour laisser place à une certaine conventionnalité purement Disney. Très peu d'Emilio Estevez, l'acteur principal de la saga n'apparaissant cette fois-ci à l'écran que de manière sporadique, devenant presque un cameo bienveillant pour nos jeunes héros qui vont devoir faire leurs preuves dans leur nouvelle école dirigée d'une main de fer par des professeurs stricts et des élèves arrogants. Pire encore, leur nouveau coach est d'une sévérité extrême, peu compréhensif à l'esprit des Ducks et pas très bavard en dehors des entrainements. Oubliés donc les tournois internationaux, place à la montée de l'adolescence chez nos jeunes hockeyeurs qui vont devoir s'accoutumer à un nouvel entrainement, un nouveau climat et peut-être de nouveaux amis, ce qui ne les empêcheront toutefois pas de continuer à faire leurs quatre cent coups, notamment contre une méchante bande rivale, l'occasion pour Charlie et ses amis de faire une petite guéguerre de campus comme on en a vu des centaines dans ce type de productions. Rien de bien neuf donc si ce n'est un humour burlesque beaucoup plus présent, un scénario moins axé sport et plus dramatique et de nouveaux personnages pour le moins sympathiques. La réalisation très "télévisuelle" du nouveau venu derrière la caméra Robert Lieberman s'avère parfois décevante comparée aux précédentes mises en scène, notamment lors des matchs de hockeys finalement éclipsés et surtout très bateaux. Dommage pour ce point-là. En revanche, la psychologie des personnages et la bonne dose d'humour accordé au long-métrage nous gratifient d'un bon moment non négligeable. À voir quand même pour conclure la trilogie.

On reprend les ingrédients des deux premiers films et l'on conclut la trilogie. Rien de neuf. A voir si vous avez apprécié les autres sinon passez votre chemin.

Un film quelconque qui n'apporte rien de nouveau !

Après avoir regardé la série récente et les deux premiers films, j'enchaine avec le dernier film. En vrai, il est pas mal mais c’est sans doute la suite de trop. Le scénario tourne un peu en rond et se répète face à une mise en scène identique à celle des précédents films mais sans renouvellement notable.

Je trouve que le récit a de bonnes idées ; c’est très malin de voir les enfants grandir et faire face à des dilemmes sur leur avenir. Mais dans son ensemble, le scénario est terriblement prévisible et suit le même schéma narratif que les précédents films. Et malheureusement, les autres intrigues ne sont pas assez exploitées et restent un peu en suspens inutilement. Narrativement, le scénario est bon mais se répète constamment dans ses idées, ça en devient lassant.

Quant à la réalisation, c’est pareil, quoique l’aspect comique prend une plus grande place, ce qui est assez lourd. Effectivement, nous avons le droit à des séquences inutiles avec une musique qui nourrit l’humour de manière forcée. Sinon, l’aspect sportif est crédible et on s’y croirait ; globalement, la mise en scène est immersive mais la musique est beaucoup plus dispensable que dans les précédents films.

Ce n’est pas parce que ça se répète que c’est un mauvais film ; au contraire, je le recommande car je le trouve plutôt pas mal.

Le scénario est une catastrophe, c'est tellement vide à regarder pour l'attachement qu'on a des personnages mais à part çà, c'est plat, l'histoire n'est pas du tout intéressant, à retenir uniquement le premier volet.

Plus familial que les autres épisodes, le film lorgne plus vers la comédie et laisse de côté le sport. Cela permet de donner un second souffle à la saga, mais ce n'est pas assez, car on s'ennuie parfois un peu trop face à certaines scènes un peu trop "guimauve" à mon goût. Dommage.

Le moins bien de tous mais l'ambiance reste la même. Même si on regrette que Gordon Bombay soit beaucoup moins présent. Les ducks ont encore frappés et sont toujours aussi sales gosses.

Ce troisième volet des « Petits Champions » n'apporte pas grand-chose de nouveau et se repose un peu trop sur les acquis des films précédents. Bien que certains nouveaux personnages apportent une fraîcheur bienvenue, le manque d'originalité du scénario et le jeu parfois surjoué des acteurs rendent l'expérience moins enthousiasmante. Emilio Estevez, moins présent, laisse un vide que le film peine à combler. Malgré tout, la formule familiale Disney fonctionne toujours à un certain niveau, et le film se regarde sans ennui majeur. Cependant, il est clair que la franchise commence à montrer des signes d'essoufflement avec ce troisième opus, qui manque du charme et de l'énergie des premiers films. Bien qu'il puisse offrir un moment de détente, « Les Petits Champions 3 »s'oublie assez rapidement et marque une fin moins mémorable pour la série. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).

Une des rare trilogie excelente du debut a la fin

Une énième suite de l'excellent (les petits champions). Un deuxième film d'un contexte ridicule et ce troisième complètement a la ramasse et sans intérêt ! De plus, l'entraîneur mythique est sur le banc de touche ... une bagarre entre collégiens dans le même collège .. bref une grosse déception ! Le meilleur restera et l unique numéro 1

Après avoir "voué un culte" aux deux premiers volets, j'ai découvert cet opus des nombreuses années plus tard, j'avais grandi et les personnages du film aussi...l'esprit n'est plus exactement le même (Emilio Estevez restera pour moi LE coach des ducks^^) mais il fonctionne plutôt bien. Les histoires sont peut-être destinées à un public plus mature (adolescent) que les deux premiers films (destinés aux enfants) mais le hockey est toujours présent. Bon film, à découvrir après avoir vu les deux précédent pour l'apprécier pleinement.