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    Kaïro
    Bande-annonce Kaïro
    23 mai 2001 en salle | 1h 57min | Fantastique, Epouvante-horreur, Thriller
    De Kiyoshi Kurosawa
    |
    Par Kiyoshi Kurosawa
    Avec Haruhiko Kato, Kumiko Aso, Koyuki
    Titre original Kairo
    Presse
    3,5 19 critiques
    Spectateurs
    3,4 570 notes, 85 critiques
    noter :
    0.5
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    4
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    Envie de voir

    Synopsis

    Taguchi, un jeune informaticien, est retrouvé pendu dans son appartement. Sous le choc, ses collègues cherchent à en savoir plus sur ce suicide inexplicable.

    La victime a laissé un mystérieux message contenu dans une simple disquette. De toute évidence, celle-ci recèle un virus qui contamine ses utilisateurs et a de graves répercussions sur leur comportement.

    A Tokyo, l'inquiétude grandit au fur et à mesure que le virus se propage à travers les réseaux informatiques. Des petits groupes de jeunes gens tentent de résister, tandis que les disparitions se multiplient.

    Bande-annonce

    Kaïro Teaser VO 0:48
    Kaïro Teaser VO
    13 688 vues

    Interview, making-of et extrait

    KIYOSHI KUROSAWA - Maître du mélodrame 3:09
    KIYOSHI KUROSAWA - Maître du mélodrame
    18 070 vues

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    mercredi 21 août 2002

    Acteurs et actrices

    Haruhiko Kato
    Rôle : Ryosuke Kawashima
    Kumiko Aso
    Rôle : Michi Kudo
    Koyuki
    Rôle : Harue Karasawa
    Kurume Arisaka
    Rôle : Junko

    Critiques Presse

    • Libération
    • Aden
    • Fluctuat.net
    • L'Humanité
    • Le Figaroscope
    • Le Monde
    • Le Parisien
    • Studio Magazine
    • Urbuz
    • Chronic'art.com
    • Ciné Live
    • L'Express
    • Le Figaro Magazine
    • Le Point
    • MCinéma.com
    • Positif
    • Première
    • Repérages
    • Télérama

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    Critiques Spectateurs : ils ont aimé

    Meilleures critiques les plus utiles
    Acidus
    Acidus

    611 abonnés 3 644 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 septembre 2011
    J’annonce tout de suite la couleur : « Kairo » est pour moi un purchef d’œuvre. C’est glauque, noir, malsain, dépressif mais terriblement bon. Une très bonne réalisation permet au spectateur de sentir toute l’angoisse de l’intrigue. Un des meilleurs films de l’excellentissime Kiysoshi Kurosawa.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    220 abonnés 1 596 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2013
    L'argument de base, qui rappelle celui de Ring (des adolescents mouraient après avoir regardé une cassette maléfique), s'inscrit dans une grande tradition fantastico-horrifique japonaise. Mais, tout en avançant à la frontière entre le monde des vivants et celui des morts, tout en développant une esthétique parfois bien flippante, le réalisateur Kiyoshi Kurosawa (auteur de l'excellent Cure en 1997) dépasse le simple film de genre, ...
    Lire plus
    Terreurvision
    Terreurvision

    185 abonnés 505 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 septembre 2012
    Entre l'ambiance fantomatique et froide ultra flippante à la Ring, et un montage épileptique digne de La secte sans nom, Kairo emporte le spectateur dans un tourbillon d'angoisse diffuse. Lire notre critique complète sur le site terreurvision !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 août 2008
    Un peu à la manière de Romero et ses zombies, Kiyoshi Kurosawa utilise les fantômes pour disséquer certains travers de notre société: ici la solitude et l'incommunicabilité des vivants face aux nouvelles technologies (Internet) puis la solitude et l'incommunicabilité des morts face aux vivants. Le parallèle entre Romero et Kurosawa s'arrêtera là tant les univers des deux cinéastes sont éloignés. Dans Kaïro, tout est plus glaçant ...
    Lire plus

    Photos

    Secrets de tournage

    Des conditions de tournage très particulières…

    Pour obtenir des images de ville déserte, le film a été tourné à Tokyo, très tôt les matins de jours fériés. Quelques moyens numériques ont été utilisés (en faible quantité) pour parfaire le résultat. Ainsi, si quelques feux de circulation ont été effacé, aucun passant ou véhicule ne l'ont été.

    Tradition nippone

    Kaïro fait référence à une tradition et à un genre, connus sous le nom de « yurei eiga » ou « bake-mono eiga », particulièrement à l'honneur au Japon dans les films des années 56-60.Les histoires racontées s'inspiraient de contes fantastiques chinois, connus au Japon sous le nom de « Kwaidan ». Masaki Kobayashi réalisa d'ailleurs en 1964, Kwaidan, un film articulé autour de quatre contes fantastiques.Ring de Hideo Nakata, appartient également à Lire plus

    Kaïro en festivals

    Kaïro a été découvert en Europe au Festival de Locarno (Suisse, août 2000), puis au Festival de Rotterdam (janvier 2001)

    Infos techniques

    Nationalité Japon
    Distributeur Euripide Distribution
    Récompense 1 nomination
    Année de production 2001
    Date de sortie DVD -
    Date de sortie Blu-ray -
    Date de sortie VOD -
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage 7 anecdotes
    Budget 25 000 000 USD
    Langues Japonais
    Format production -
    Couleur Couleur
    Format audio -
    Format de projection -
    N° de Visa 102423

    Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ...

    Pour découvrir d'autres films : Meilleurs films de l'année 2001, Meilleurs films Fantastique, Meilleurs films Fantastique en 2001.

    Commentaires

    • ZybaX
      Non. C'est un chef d'oeuvre. :)
    • Henri Mesquida
      Kaïro souffre d'autant de défauts qu'il possède de qualités. Si la thématique du paradoxe de l'isolement de l'individu face au développement d'outils de communication ouvrant tout un chacun au monde semble aujourd'hui éculé, il ne faut pas oublier que l'internet et les réseaux sociaux que nous connaissons n'occupait pas un telle place à l'époque où le film fut produit (2001).De même, si celui-ci semble traiter de problématiques a priori symptomatiques de la société japonaise (suicide, isolement, déshumanisation, solitude, oubli), il ne faut pas chercher longtemps avant de se rendre compte, avec un peu d'honnêteté, que le monde occidental à lui aussi le cul merdeux quant à la place qu'il donne à l'individu, noyé dans l'image et le son, tout en lui vendant un monde dont il est le centre.Ceci étant dit, il faut aussi juger le film pour ce qu'il est ; un film. Non exempt de qualités, comme je l'ai déjà dit, Kaïro peut cependant dérouter, ennuyer, ou perdre le spectateur. Le rythme lent qui est j'allais dire une marque de fabrique de Kurosawa s'est avéré être plus efficace sur d'autres réalisations, et peut ici semer en chemin ceux qui ne sont pas habitués à être menés doucement vers la fin d'un film. Malgré tout, pour instaurer une ambiance, il faut prendre son temps. Et quelle ambiance ! J'avais vu Cure avant Kaïro, j'ai donc reconnu là et me suis replongé avec plaisir dans cette atmosphère pesante, glauque, mélancolique si particulière qui fait la force principale du film.La réussite du travail d'ambiance se manifeste dans cette impression d'être témoin des derniers agissements inconsciemment désespérés des derniers êtres vivants dans un monde mort. Ils bougent, luttent, s'accrochent, parlent, se questionnent, crient, fuient dans l'abysse.Pour appuyer ce rendu, Kurosawa use d'effets aujourd'hui classiques, notamment au niveau du cadrages et des placements de caméra, mais dont certains vous arracheront quelques frissons, emplis de ce petit quelque chose de malsain, primaire et viscéral qui caractérise les peurs indicibles. L'habillage sonore y contribuera quelques fois, et quelques fois pas. Relativement original , des thèmes et questionnements abordés pour un film de fantômes, et si on peut reconnaitre à Kurosawa la volonté d'aller jusqu'au bout de son propos, je pense qu'on peut tout de même regretter un aspect de la trame et un découpage narratif parfois un peu trop décousu, ainsi qu'une conclusion que j'ai jugé pour ma part décevante.
    • lastachille
      Pire avec les smarts et les tabs, dans un groupe côte à côte, ne se parle qu'avec SMS, réseaux, applications... interposés !!! C'est hallucinant ! Même pas un mot ni même un rire... Les smiley le font !Et puis n'en parlons pas au sein d'une famille ou même le repas du soir semple être une tradition ancestrale qu'on retrouve dans les livres d'histoire ! Changer de partenaire comme des chaussettes... L'autre fois j'ai entendu une jeune femme insulter une pauvre caissière de bon matin juste parce qu'elle faisait son boulot (de passer son pack de bière au laser...) La caissière craque (surement rajouter à plein d'autres soucis... Du coup la jeune femme lui dit que ce n'était pas contre elle... Et se barre... la caissière était d'un certain age... Et sur la visage de la jeune dame une incompréhension totale de la cette réaction ! C'est dire l'absence totale d'empathie... Ce que l'on voit plus trop sur la toile....
    • Oeil_De_Nuit
      Chef d'oeuvre, à voir absolument.
    • Bub.... Allo, tante Alice ...
      Comparer "Kairo", "Le cercle" et "Ju Rey" à leurs médiocres reprises américaines c'est comparer du Saint-émillion 1976 avec du "Kroutcheff" maison de chez Bruno, le patron du "Tord Boyeau". En plus, prétendre que le Saint-émilion 1976 c'est de la daube, là on donne dans l'hérésie, faut laisser tomber le cinéma d'épouvante et retourner voir les aventures des "4 fantastiques chez les zombies". "Kairo" glace le sang non seulement par ses scènes étrangement stupéfiantes, voir absurdes dans l'horreur, mais aussi parce qu'elles lancent le signal de la chute verticale d'une société enfermée derrière ses écrans de mobiles, de portables et d'ordinateurs. Quand on sait qu'à l'époque l'internet débutait à peine et qu'on peut constater aujourd'hui les ravages des réseaux sociaux sur le libre arbitre ... On ne peut que crier au chef-d’œuvre visionnaire, même si cela reste symbolique. La parabole des Fantômes qui envahissent Internet pour reprendre contact avec les vivants car l'au-delà est vide et froid, est une trouvaille sans précédent dans les thème de l'horreur. Comme le disait Francis Blanche : "Moi, je préfère le vin d'ici à l'eau de là !"
    • AttackTheGasStation1
      Chef d'oeuvre du cinéma japonais, Kairo est une expérience inoubliable.
    • Toutou to you
      Le Japon se meurt et Kiyoshi Kurosawa se fait le témoin de sa décrépitude. En cette année 2001, internet commence à prendre de l'ampleur et d'intensifier encore plus la profonde solitude des japonais. La 'mode' du otaku se faisant vive, elle laisse la communication des hommes dans le désarroi. Kaïro tient autant du film fantastique (de fantômes) que du drame social traité en filigrane. Kurosawa est de ces metteurs en scène, trop peu reconnus, qui cultivent l'art de mélanger les genres pour en sortir une oeuvre profonde. Michi se rend dans l'appartement de Taguchi, lequel ne donne plus aucun signe de vie depuis une semaine. Elle doit récupérer une disquette. Un peu partout, des disparitions et autres morts violentes assaillent la nation. Que se passe-t-il ? et que sont ces étranges apparitions qu'un certain nombre d'individus croit voir ?... J'avais été troublé par son Retribution. Kurosawa, avec Kaïro, s'essaie au film de fantômes avec tout ce que cela induit (apparitions, jumps scares ou jeu sur l'ambiance) mais en y apposant son originalité propre. C'est que Kaïro, bien que ressemblant dans ses scènes à d'autres films, les mène différemment. Si certains plans appuient sur les contrastes, Kurosawa réussi, avec un art convaincant, à intensifier leur portée. Ainsi, le propos du film s'en trouve enrichi. Sa bobine, lente et maîtrisée, est bien montée, l'image glaciale très soignée et la direction d'acteurs, probante. Reste que le film s'étire sur 1h50, qu'il faut de la patience et qu'aimer ce genre de cinéma est une condition sine qua non. 4/5
    • zvock083
      je précise bien par moment c'est trop inconstant et quand je m'ennuie devant un film impossible de mettre la moyenne.
    • thyrannique
      tu trouves l ambiance excellente et flippante et tu lui mets meme pas la moyenne t as de drole de maniere de noter
    • zvock083
      Le film est pas mauvais l'ambiance est vraiment excellente et flippante par moment mais le manque de rythme m'a fait décrocher petit à petit. 1,5/5
    • Terreurvision
      Entre l'ambiance fantomatique et froide ultra flippante à la Ring, et un montage épileptique digne de La secte sans nom, Kairo emporte le spectateur dans un tourbillon d'angoisse diffuse. Lire notre critique complète sur le site terreurvision !
    • ZybaX
      Un authentique chef d'oeuvre !!!
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