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    L'Homme qui n'a pas d'étoile
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    mazou31
    mazou31

    82 abonnés 1 267 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 janvier 2017
    Grand western classique où l’on retrouve quelques grands thèmes du western : les temps qui changent, la formation du néophyte, l’individualisme sauvage, les femmes présentes pour la déco. Donc une histoire de barbelés pas vraiment palpitante mais un rythme d’enfer, des rebondissements, de la légèreté et beaucoup d’humour frisant l’ironie. Le savoir-faire lyrique de King Vidor, une belle photographie et une musique sympa. Et un Kirk Douglas époustouflant qui donne tout le style à l’ensemble. Tout pour que ce western ne vieillisse pas vraiment et qu’on ait plaisir de le voir ou revoir à tout âge.
    brianpatrick
    brianpatrick

    72 abonnés 1 548 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 décembre 2020
    L’homme qui n’a pas d’étoile. L’étoile en tout cas, c’est celle de Kirk Douglas, en tout cas lui ; il la mérite celle qu’il possède à Hollywood Boulevard. Après, c’est un film tourné en 1955. C’est l’histoire de deux cowboys baroudeurs à la recherche de travail. Ce qui est normal en soit. Après, ils trouvent du travail dans un domaine où la nouvelle patronne reste particulièrement manipulatrice. C’est un film sacrément féministe en définitif pour l’époque. Après, la bagarre entre mâle alpha semble tout à fait cohérente pour l’époque. L’ambiance violente du far West reste tout à fait logique. C’est un très bon film avec d’excellents acteurs et actrices. Il reste d’époque.
    Charlotte28
    Charlotte28

    98 abonnés 1 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 août 2021
    L'intrigue ainsi que les enjeux du scénario ne s'expriment réellement que dans la dernière demi-heure faisant du prélude une (très) longue séquence d'ambiance qui permet de s'immerger dans le quotidien d'un ranch et d'un anti-héros empli d'allant, incarné avec une sautillante conviction par Kirk Douglas. Reprenant les principes du genre, de l'humour viril aux séduisantes femmes de pouvoir en passant par les intrigues amoureuses aux sous-entendus fortement érotiques et la relation entre le vieux briscard et le fougueux néophyte, ce western assume de s'attacher davantage à son atmosphère et à son symbolisme, notamment par les scènes de saloon ou les vastes décors (barbelés), qu'à la force de son récit. Des partis-pris pertinents.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    48 abonnés 745 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2020
    rien que du classique western bien fait. le cowboy solitaire épris de liberté, la lutte pour ou contre les barbelés, un photo en couleur éclatante, un kirk douglas virevoltant, frondeur et bagarreur, des femmes en robe longue jamais fripées.. 90 mn de détente pour les amateurs. Il y a des images d'épinal qui ont de la gueule. TV vo - décembre 2020
    this is my movies
    this is my movies

    639 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 janvier 2017
    Un western plutôt sympathique qui pâtit tout de même de la prestation ouvertement cabotine de K. Douglas. Reste quand même des séquences assez jouissives, la scène du bain avec J. Crain, des moments psychologiques assez graves et bien négociées mais en soi, un western assez classique.
    bobmorane63
    bobmorane63

    159 abonnés 1 905 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2015
    Très bon Western des années 50 réalisé par le talentueux King Vidor !! Pourtant, dés le début, ce film me faisait un peu peur avec le personnage de Kirk Douglas qui était fier, souriant et dégourdit enseignant un jeune voyageur qui rèvait d'aventure rencontré dans un train au maniement des tirs au pistolet, à se battre et autre choses, je pensais tomber dans du cinéma classique et gentillet mais plus ça avance, plus c'est une histoire qui devient plutôt interressante. Les deux cowboys sont embauchés dans une ferme comme éleveurs de bétails et l'expérimenté tombe sous le charme de la propriétaire, une querelle entre deux clans de paysans vont se faire la guerre et l'histoire sur les barbelées et la vérité sur les hommes vont ressurgir. C'est le premier long métrage de King Vidor que je découvre et il a du talent le gaillard, une belle mise en scène captivante accompagné d'une musique d'introduction et final bien rythmée. Il offre un role en or à Kirk Douglas qui saisit l'opportunité d'ètre excellent. A ses cotés, il y a de bons comédiens comme William Campbell, Jeanne Crain, Claire Trevor ou Richard Boone. Un bon moment de cinéma a découvrir.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    96 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2021
    Un western un peu curieux, à la fois dans le ton et dans l'histoire. Dans le ton, c'est à la fois grave et en même temps certains personnages ont presque l'air de faire les rigolos, dont Kirk Douglas. Pour l'histoire, deux clans s'opposent pour exploiter les herbages publics spoiler: : une propriétaire sans scrupules qui n'hésite pas à provoquer les autres propriétaires, et une assemblée de petits propriétaires de bétails qui décident de privatiser certains endroits en posant illégalement des barbelés. Donc, en fait, tout le monde est en tort !
    Et Kirk Douglas se retrouve au milieu. Sinon je ne comprends pas le rapport entre le titre et le film, si ce n'est que la chanson de générique de fin 'The Man Without A Star'.
    soulman
    soulman

    70 abonnés 1 161 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2020
    Un beau western lyrique de King Vidor, magnifiquement photographié, dans lequel Kirk Douglas impose son étonnant magnétisme. On peut regretter que les personnages féminins fassent un peu tapisserie, y compris celui de la propriétaire du ranch dominant, incarné par la rousse Jeanne Crain, que l'on aimerait voir davantage. Cela reste un des grands rôles de l'acteur à la fossette, mais on peut lui préférer le couple inoubliable qu'il forme avec Elizabeth Threatt dans "The big sky".
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 août 2017
    Après James Stewart, Kirk Douglas pour un western certes endiablé mais dont la surprise ne tient pas sur la durée. Dommage !
    « L’homme qui n’a pas d’étoile », c’est l’histoire de Dempsey qui traverse les contrées de l’Ouest tel un cowboy solitaire. Sur sa route, il va prendre un jeune sous son aile.
    Aidés par les trois cadors que sont Borden Chase (auteur unanimement reconnu par la profession pour avoir concocté des classiques tels « La rivière rouge » et « Vera cruz », il ira jusqu’à soutenir le scénario du remake de ce film : « Un colt nommé Gannon »), Kirk Douglas (alors dans sa période faste : « 20 000 lieues sous les mers », « Les sentiers de la gloire »…) et King Vidor (démontrant son savoir-faire dans l’utilisation de sa mise en scène, le réalisateur pionnier de « La grande parade » -par son réalisme et son sens du documentarisme- est obligé de partir sur le continent européen pour commencer la fresque « Guerre et paix »), le film bénéficie d’un thème maintes fois repris dans le western, les petits contre gros propriétaires. M’ayant fait pensé à « L’homme des vallées perdues » (de Georges Stevens !) dans son traitement (l’avancement de l’intrigue est similaire, ainsi que les motivations des deux personnages principaux –Dempsey pour ce métrage et Shane pour le film évoqué ci-dessus– : le refus du progrès), « L’homme qui n’a pas d’étoile » se démarque par la vision d’une liberté que chaque protagoniste essaye d’apporter. L’un veut des barbelés pour protéger son bétail, l’autre n’en a que faire au vue du nombre de tête de son cheptel, tandis que Dempsey (magnifique Kirk Douglas !) essaye de se faufiler et combiner avec toutes les parties pour sauver son honneur de vadrouilleur. Un comble lorsqu’on connaît toutes les aventures dans lesquelles Kirk s’embarqué !: on se souviendra des films « Ulysse », « La vie passionnée de Vincent Van Gogh », « Spartacus »… et tant d’autres !!
    L’on est ainsi transporté par la mise en abîme des personnages et des sujets annonciateurs de la fin de l’Ouest sauvage par la chanson de générique, interprétée par Frankie Laine (qui retrouvera notre grand ami Kirk pour « Règlements de compte à OK Corral »), énergique et collant à merveille à l’univers décrit. Magnifique !, Frankie : ta pétoire fait de la belle musique. Merci !
    Au casting, on appréciera les fortes présences féminines de Claire Trevor (amie de John Wayne, elle aura tournée pour Ford, Mann, Walsh, Wise et tant d’autres !!) et de Jeanne Crain la danseuse (révélée par Cukor en 1944 par « Winged victory »), sans oublier le méchant de service, l’impeccable Richard Boone (second couteau efficace des 50’s-60’s : « Man on a tightrope » d’Elia Kazan, « Alamo », « Hombre » de Martin Ritt, …) face à un Kirk Douglas excellent, totalement impérial, charismatique et totalement cabotin. Etoilement vôtre, Monsieur Douglas.
    A ce western concocté par l’un des maîtres des fresques du vingtième siècle, le metteur en scène apporte toutes les figures du genre (chevauchées, corps-à-corps, ‘duels au soleil’, paysages désertiques de l’Amérique, shérifs et cowboys déloyaux) tout en restant dans le sens classique du genre.
    Au final, « The man without a star » (1955), petit classique du western, se doit d’être regardé pour tous fans du héros des « Sentiers de la gloire ».
    Spectateurs en manque de liberté, choisissez vous une étoile !
    A noter : la présence de deux grands acteurs westerniens non crédités au générique, à savoir Jack Elam (« Le train sifflera trois fois », « Je suis un aventurier », « Rio lobo »…) et Lee Van Cleef (« La loi de la prairie », « L’homme qui tua Liberty Valance », « Sabata »…).
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 mai 2015
    A la fin du 19ème siècle, l'invention du fil de fer barbelé en 1873, modifia la conception de la protection du bétail. Toutefois, cela déclencha une guerre dans l'ouest américain entre les partisans de "l'open range" (la libre pâture) et ceux désireux de protéger leurs terres. Ce qui déclencha la guerre des coupeurs de clôtures pour laisser passer les troupeaux lors des convoyages. Ces conflits de voisinage entrainèrent de nombreux morts, la justice fut donc amener à légiférer. King Vidor s'est emparé d'un thème maintes fois utilisé dans le genre : la guerre entre éleveurs. Le tout est servi par de bons acteurs, Kirk Douglas en tête, associé à Jeanne Crain et Claire Trevor, avec en prime le jeune (à l'époque !) William Campbell, voilà de quoi passer une agréable soirée… Un bon vieux western dirigé par l'excellent King Vidor.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    601 abonnés 2 788 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 décembre 2020
    The Man without a star est un petit western sympathique qui apporte un regard digne d’intérêt sur ce moment de transition entre deux savoir-faire relatifs à la gestion du bétail et, plus largement, à la vie économique. Les deux personnages principaux sont projetés dans un univers rugueux et violent qu’ils révèlent par leur regard naïf et leur humour à toute épreuve. C’est ce caractère blagueur qui agace rapidement puisqu’il conduit les acteurs à cabotiner du début à la fin, en roue libre. Ce jeu problématique se double d’un rythme assez mollasson, en dents de scie, qui articule mal ses quelques moments de bravoure avec la banalité d’une amitié à laquelle nous ne nous attachons guère. Nous pourrons pourtant nous délecter des paysages magnifiques que rehausse le Technicolor, ainsi que des séquences représentant le cheptel gigantesque qui, s’ils ne sauraient rivaliser avec le Red River que signe Howard Hawks en 1948, impressionnent tout de même. Le long métrage de King Vidor présente ainsi deux vachers au carrefour de deux rapports à la terre et à l’élevage, le premier utilisant la violence pour régner en maître, le second axé sur la famille et le respect des valeurs, pour une œuvre intelligence mais peu crédible et qui peine à intriguer.
    CH1218
    CH1218

    164 abonnés 2 779 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mai 2015
    Bon western des années 50 réalisé par King Vidor. Le scénario, avec l’installation de clôtures de barbelés pour délimiter un ranch comme élément central, est on ne peut plus simple et pourvu d’une bonne touche d’humour. « L’homme qui n’a pas d’étoile » vaut surtout pour l’interprétation du fougueux Kirk Douglas. Sympa.
    Pierre C.
    Pierre C.

    12 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 janvier 2021
    Encore un western ou il y a tout ce qu'il faut. Le jeu est partout exagéré mais l'ambiance y est. Le bétail, les chevaux, le saloon, le maniement de révolver, les duels, un peu d'amour, le pantalon seulement pour monter à cheval. Le rythme est aussi bon que le film est court.
    Wagnar
    Wagnar

    67 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Dans l'ensemble, c'est un petit western relativement sympathique, mais dans le genre western avec Kirk Douglas, j'ai vu bien mieux : El Perdido, la Rivière de nos Amours ou encore le Dernier Train de Gun Hill.
    chrisbal
    chrisbal

    12 abonnés 628 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 septembre 2023
    Un très bon western de King Vidor, presqu'un peu trop court, avec un Kirk Douglas en grande forme et cabotineur à souhait qui voit ici évoluer sa vision des barbelés (d'abord une privation de liberté, mais aussi finalement une nécessité pour se préserver des grands éleveurs, même s'il reste contre...).
    Et cette liberté est bien représentée par ces troupeaux et ces grandes plaines (magnifiquement mises en valeur par le réalisateur) qui deviendront malgré tout bien vite trop petites pour contenir les élans d'un capitalisme annoncé (représenté ici par la propriétaire Reed Bowman), marquant la fin d'une époque.
    Pour autant, le film n'est pas vraiment crépusculaire et est même agréable à regarder avec plusieurs passages sympathiques et des scènes d'actions crédibles (notamment les bagarres et la scène avec l'emballement du bétail).
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