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    Seuls sont les indomptés
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    ygor parizel
    ygor parizel

    200 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2013
    L'idée du film est très bien (Rambo: First blood ne serait pas inspiré un peu de ce film ?). Kirk Douglas et son cheval forment un beau duo, la poursuite est bien filmée et dans de magnifiques décors naturels. Mais ce film vaut le détour pour le choc des cultures entre un cow-boy à l'ancienne et l'Amérique des années 50 qui se modernise.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 mars 2013
    Mieux vaut tard que jamais.

    Je suis tombé dessus par hasard.
    J'en suis sorti silencieux, marqué, ému.

    Kirk Douglas incarne à la perfection un rôle génial.
    Le personnage est une ode à la pureté, l'optimisme, la vie simple.

    Ce film laisse un sentiment indéfinissable, c'est tout.
    Je me rêve dans les paysages montagneux, avec kirk et son cheval.
    Biehn
    Biehn

    10 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2008
    Bon western. Beaucoup de surprises dans le scénario. Beaux décors. Bonne interprétation de Kirk Douglas. Le dénouement est inattendu.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 006 abonnés 4 090 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 avril 2020
    Après avoir lu "The brave cowboy" (paru en 1956) d'Edward Abbey, écrivain radicalement écologiste, Kirk Douglas réussit à convaincre Universal de distribuer une adaptation du roman qui serait produite par Joel Production sa propre société. Le scénario est confié à Donald Trumbo, revenu en grâce depuis "Spartacus" et "Exodus". Donald Trumbo qui a durement subi la folie persécutrice du sénateur McCarthy, saisit parfaitement l'âme profonde du cowboy solitaire joué par Kirk Douglas qui entend défendre jusqu'au bout sa liberté de vivre à sa manière dans une société consumériste qui formate à grand pas et par strates tous les comportements sociaux. S'il revient au Nouveau-Mexique spoiler: c'est pour sortir de prison son ami d'enfance condamné pour avoir aidé des réfugiés mexicains clandestins
    . John W Burns (Kirk Douglas) est l'un de ces nostalgiques du temps des pionniers quand l'immense pays était une terre encore vierge que l'on pouvait sillonner à cheval sans entrave autre que les éléments naturels avec lesquels il fallait composer. Trumbo complètement imprégné de la teneur du livre d'Abbey, scande son récit de symboles rappelant que cette courte période de l'histoire est bel et bien révolue. Les barbelés qui lui barrent régulièrement son chemin obligent Burns à user d'une pince sans doute achetée chez un quincaillier , tout comme la traversée d'une autoroute encombrée spoiler: se transforme en épreuve mortelle pour sa jument
    . La vision de Burns et de son cheval dans le rétroviseur d'un routier ayant manqué de les écraser martèle par le biais de la métaphore que le cowboy n'est plus qu'un lointain souvenir pour tous ces gens occupés par l'activité capitaliste qui a depuis longtemps remplacé l'économie agraire. Dès lors, le salut pour Burns est toujours plus loin, par-delà les montagnes quand spoiler: il doit fuir la police à ses trousses après qu'il se soit évadé de la prison où il avait rejoint son ami. Commence alors la partie la plus bouleversante du film où Burns en parfaite osmose avec sa jument pourtant effrayée par les pentes escarpées et les ravins, se lance le défi de franchir l'obstacle avec celle qui est désormais sa compagne de tous les instants. A ses trousses un hélicoptère , un gardien sadique (George Kennedy) et un shérif local débonnaire (génial Walter Matthau) qui ne met pas beaucoup d'entrain à la tâche,
    sans doute en sincère empathie avec ce dinosaure des temps modernes qui ne veut rien renier de ses convictions. Magnifiquement photographié par Philip H. Latrop, "Seuls sont les indomptés" s'inscrit dans la lignée des westerns de Sam Peckinpah qui comme leur auteur étaient imprégnés d'un Ouest finissant que quelques rêveurs suicidaires ne voulaient pas laisser mourir. On pense aussi au sublime et maudit "Deux hommes dans l'Ouest" (1970) de Blake Edwards ou encore au trop méconnu "Cavalier électrique" de Sydney Pollack (1979). Kirk Douglas à l'initiative heureuse du projet n'a sans doute jamais été aussi convaincant, délaissant les tics qui parfois encombraient son jeu et apportant toute son incroyable énergie physique dans l'épisode montagnard en compagnie d'un cheval qu'il fallait bien maitriser pour qu'il ne le précipite pas dans le ravin. Ceux qui n'ont pas vu "Seuls sont les indomptés" dont le titre résume à lui seul toute la symbolique du film, doivent absolument combler ce manque. Ils ne seront pas déçus.
    brianpatrick
    brianpatrick

    68 abonnés 1 536 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 novembre 2016
    On ne sait pas si le scénariste a voulut faire un film pour qu'il devienne un chef d'oeuvre. En fait c'est très absurde, ils recherchent un homme seul, ils mettent beaucoup de moyens pour un homme qui n'est accusé de rien, pis cela dégénère, on dirait un préambule du premier opus de Rambo.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 septembre 2017
    Kirk Douglas et encore Kirk Douglas. Décidément, l’acteur de « 20 000 lieues sous les mers » se retrouve dans beaucoup de W des 50’s. Et quelle présence à chaque fois. Une stature, un charisme fou le caractérise. Sa présence, sa domination du casting, sa gueule… Kirk Douglas. Il impressionne à chacun de ses rôles. Sublime. Qu’il soit écorché vif, balafré, roué de coups, pris en tenaille ou qu’il soit viking, il est là, tient la route, et mène son monde comme il l’entend. Ce genre d’acteurs de cette trempe-là, je vote pour, assurément !
    Revenons donc à « Seuls sont les indomptés », film de David Miller et peut être de Kirk Douglas, via sa société de production (les plus ardus connaisseurs de cinéma ne savent démêler le vrai du faux). Dans tous les cas, David Miller eut fort à faire avec l’acteur-producteur star à l’origine du projet, tout comme Anthony Mann sur « Spartacus ».
    Histoire du film : dans un monde moderne, un authentique cowboy va tenter de faire évader de prison son ami de toujours.
    Considéré comme le film préféré de Kirk, le métrage du réalisateur de « Diane de Poitiers » se démarque car il ne s’agit pas d’un western pur et dur. Ici, c’est bien Kirk Douglas qui représente la vie de l’Ouest sauvage, libre de tout vagabondage, d’aller et venir à sa guise où bon lui semble (prison, montagne, bars…). Il est l’anti-héros américain par excellence alors qu’il nous est présenté comme un héros dès le début du film car lié à sa jument Whisky (cela m’a fait penser au chien Marcel du « Vieux fusil » : allez savoir pourquoi !) et libre d’aller où bon lui semble. Sans domicile fixe, il vague à ses occupations. Dire bonjour à la femme de son copain (éclatante Gena Rowlands !: au tout début de sa carrière, bien avant ses collaborations avec son futur mari John Cassavetes). Boire un verre au bar avant de se faire fustiger et casser la gu**** par l’acteur Bill Raisch (revu dans la série « Le fugitif »). Passer par la case prison. Essayer de faire évader son copain (Michael Kane, convaincant, qui se reconvertira : le scénariste des « Dents de la mer 3 », c’est lui !). Se faire fi de la loi –police qui a d’ailleurs bien évolué par rapport aux shérifs d’alors !- (très bonne interprétation de Walter Matthau : « Les pirates du métro », « JFK »). Kirk Douglas incarne ici la bonne vieille Amérique qui n’a que faire des hors-la-loii, chasseurs de primes ou cowboys mal intentionnés. L’acteur des « Sentiers de la gloire » apporte ici tout son sens de la démesure sans cabotiner. Il est le faire-valoir de « Seuls sont les indomptés » en reniant toute autorité. Il devrait en être lynché alors qu’une sorte de nostalgie nous prend aux tripes lorsqu’il lui arrive milles et unes aventures. Un indompté, oui, mais pas n’importe lequel. Un anti-héros. Libre de ses choix et de sa vie. Un loup solitaire qui n’a besoin de personne. Seulement de sa jument Whisky. Un homme abandonné de tous. Quant au final, il démontre que les valeurs que Kirk Douglas incarnaient étaient les bonnes. D’une loyauté et d’un humanisme sans pareil.
    Ainsi considéré comme un film humaniste, « Seuls sont les indomptés » adopte donc le point de vue d’un Kirk Douglas vieillissant dans un somptueux N&B (de Philip H. Lathrop, directeur photo de « La panthère rose »-avec Sellers- et de « On achève bien les chevaux » -de Pollack- notamment) et dont le scénario est signé par le désormais connu Dalton Trumbo (inscrit sur la liste prioritaire de McCarthy, il est néanmoins l’auteur-réalisateur de « Johnny s’en va en guerre »).
    Egalement, la musique est signée Jerry Goldsmith, pour sa seulement deuxième composition (!). On peut reconnaître son sens du tempo et du rythme, malgré des partitions légèrement brouillonnes comparées à « La momie », « Rambo » et autres « Papillon ». Logique. En revanche, je ne peux que féliciter Alfred Newman, alors directeur musical pour la Twentieth Century Fox, d’avoir recommandé Goldsmith pour ce métrage (voir ma note plus bas).
    « Seuls sont les indomptés », pour les raisons évoqués ci-dessus, a donc été estampillé chef d’œuvre des 50’s. Je ne peux renier cette affectation, en revanche, c’est avec mes yeux que j’ai suivi l’ami Kirk au travers de toutes ses aventures. Et je peux dire qu’ils se sont fermés à quelques reprises car le traitement qu’a subi le film, certes novateur pour l’époque, n’a pas réussi à traverser les décennies. Oui, c’est bien filmé, il y a de la bonne musique et les acteurs sont bons, mais ça ne m’a pas suffi. Je m’attendais à une mise en scène léchée, un peu à la John Ford pour qu’on puisse se sentir aux côtés de Douglas. Il m’a manqué ce petit plus côté réalisation et montage pour que je puisse adhérer à ce charme désuet pourtant très bien mis en valeur. David Miller a certes concocté la démythification de l’Ouest mais n’a pas réussi à apposer son sens de la démesure pourtant très bien appuyé par notre très cher Kirk Douglas. Oui, Kirk emporte l’adhésion, mais pas la mise en scène. A mon goût.
    Pour conclure, « Lonely are the brave »(1962), chef d’œuvre d’époque et anti-western moderne humaniste, est cet objet de culte auquel les douglassiens se raccrocheront sans aucun problème. Pour les beaux yeux de Kirk, incontestablement.
    Spectateurs, spectatrices, un verre de whisky dans votre gosier fera apparaître un Kirk Douglas assis sur son cheval. Etes-vous prêts à embarquer ?
    Note : c’est donc Alfred Newman, le père du compositeur Thomas Newman et oncle de Randy Newman, qui a imposé Goldsmith pour « Seuls sont les indomptés ». Alfred Newman reçut neuf oscars au cours de sa longue carrière (1931-1970)-un record !!!- et débuta avec un autre génie de cinéma sur « Les lumières de la ville » pour orchestrer la musique de piano écrite par Chaplin lui-même. Music-maker par excellence (« Cardinal Richelieu »(avec John Carradine), « J’ai le droit de vivre » de maître Lang, « Boule de feu », « Eve », « Nevada smith »), maître Alfred Newman fait donc partie des huit incontournables de la musique de films avec les Korngold, Rozsa, Steiner, Tiomkin, Victor Young et Morricone.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 octobre 2019
    Le film des grands espaces fait rêvé, le style de la narration est dans un vieux style, par l'idéalisme du héros, la conservation de la nature, une rébellion en constante ébullition.
    Un personnage solitaire brave indompté qui enchaîne les tribulations au lendemain, tout est passé vite dans le mode de vie des cows boys revanchards.
    didbail
    didbail

    21 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2007
    Ce western moderne (il se situe au beau milieu du XXe siècle) développe de nombreux thèmes. Les 2 principaux : l'opposition entre nature et civilisation et le rapport entre individu et société (et la question subséquente : "est-il possible de vivre en rebelle ?". Parfaitement construit, ne sombrant jamais dans le manichéisme, "Seuls sont les indomptés" est un film constamment surprenant ... jusqu'à la fin.
    velocio
    velocio

    1 162 abonnés 3 024 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 février 2023
    C'est sur un magnifique scénario de Dalton Trumbo que David Miller a réalisé ce film, il y a un peu plus de 60 ans. Un western dans lequel, dans la première scène, un avion à réaction traverse le ciel, un western qui annonce la fin du western, un western qui voit un gardien de troupeau épris de liberté qui ne supporte pas l'évolution du monde,avec la multiplication des clôtures et des frontières. La distribution est fantastique, avec Kirk Douglas pour qui "Seuls sont les indomptés" est le film qu'il a préféré parmi tous ceux dans lesquels il a joué, avec Gena Rowlands jeune trentenaire, avec Walter Matthau.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    913 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 janvier 2017
    Le mythe de la fin du cow-boy est un thème déjà vu. Ici, les petits clins d'œil sont assurément délectables. KD franchit la route qui le conduit vers un autre monde Mais avant il coupe les barbelés de "l'homme qui n'a pas d'étoiles".
    Mais il se sent infirme car il ne sait "vivre qu'avec lui même". Totalement solitaire, handicapé de la vie. En cela le film devient une sorte d'étude psychanalyse d'un pan entier du cinéma américain.
    Assez fascinant et en même temps la vision totalement crépusculaire d'une époque où l'homme ne doit son salut qu'à la nature qui devrait d'ailleurs le sauver à la fin (longue scène superbe) avant la vision terrible du chapeau sous la pluie......
    Remarquez au passage la petite scène naturaliste où passe le petit écureuil.....
    Hotinhere
    Hotinhere

    416 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2023
    Sur un scénario de Dalton Trombo, un western désenchanté sur le combat du dernier cow-boy face au monde moderne qui lui vole sa liberté, interprété par un Kirk Douglas magistral.
    cinono1
    cinono1

    253 abonnés 1 984 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2022
    Superbe western moderne, remarquablement bien écrit abordant des thèmes comme la liberté, la nature et la civilisation. Le Rambo de 1983 en était un remake inavoué. On retrouve d'ailleurs Jerry Goldsmith à la musique des 2 films, qui possède pas mal de parallèles. Le suspense est assez haletant, la mise en scène se tient, les caractères biens écrits, de la femme de l'ami au shérif compatissant, même si certaines situations ont vieilli. La symbolique du cheval au milieu des véhicules reste une image forte.
    mazou31
    mazou31

    80 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 janvier 2017
    Un excellent film qui est,dit-il, le film préféré de Kirk Douglas (100 ans ce mois-ci) dont je partage grandement l’avis. Vu 4 ou 5 fois depuis sa sortie en 1963, il ne marque à mes yeux pas le moindre signe de vieillissement. Bien moins qu’un autre western avec Douglas, « L’homme qui n’a pas d’étoile » qui a beaucoup de similarités. Un très grand western « moderne » qui contient tout ou partie des grands thèmes du genre (amitié, amour impossible, honneur, liberté) auxquels s’ajoutent les questions sur l’évolution de notre monde, l’individualisme, la petitesse de la vie moderne. De grands et beaux sujets traités sans enflure, dans l’action pure et dans l’émotion discrète, avec une mise en scène classique aux magnifiques noirs et blancs et avec une interprétation époustouflante de Kirk Douglas, désabusé et magistral. Tous les autres rôles sont parfaits. Un très très grand film.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    152 abonnés 2 752 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2023
    Avec une critique assez similaire à First Blood (1982), trente années auparavant Lonely Are The Brave est exécuté avec autant de passion et de tranchant, non pas à grand coup de couteau de chasse contre les force armées qui poursuivent notre héros réactionnaire et incompris, mais contre l'injustice et le rejet de cet homme dans cette nouvelle société qui évolue sans vergogne par les guerres et dans la surexploitation des terres, isolant chacun vers une condition irréparable. Avec sa jument Whisky, Kirk Douglas dans l'un de ses plus grand rôle, habité.
    ned123
    ned123

    124 abonnés 1 661 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2016
    J'ai vu un film... éblouissant de contraste pour un film en noir et blanc qui est un choix assumé du réalisateur pour donner du contraste et de la couleur aux idées nostalgiques. L'idée est de montrer que la modernité emporte sur son passage la nostalgie d'un Wild West rêvé et fantasmé... La modernité avec son côté amer, désenchanté, voit ce cow-boy refuser d'y adhérer. Kirk Douglas livre une prestation émouvante... Il exprime en quelques mouvements de visages des palettes incroyables d'émotions et de sentiment, Le casting est très intéressant avec bien sûr Gena Rowlands dans un de ces premiers rôle, Walter Matthau en policier désabusé, George Kennedy en gardien de prison sadique... Il y a une recherche importante de plans, et de cadrages originaux... Ce western mélancolique est un très grand succès... Un beau film qui montre que le temps va dans un seul sens, celui de l'accélération... Et heureusement que le cinéma nous permet d'arrêter le temps et de se dire que le passé a parfois du bon...
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