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    Hiroshima, mon amour
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    3,6
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    123 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 avril 2012
    Hiroshima mon amour, film magnifique.Par son titre d'abord qui juxtapose le nom de la ville japonaise
    martyrisée pour l'obtention de la fin des hostilités en1945 et un mystérieux aveu d'amour.

    Hiroshima,lieu du dernier amour ardent et impossible.Nevers, la Loire, lieux des premières amours
    De l' héroïne,amour pour un soldat d' occupation qui meurt dans ses bras.Récit pathétique enchâssé
    Dans le spectacle.
    Noir et blanc très sombre, morbide lorsqu 'il dépeint Hiroshima , plus clair lorsqu' il dépeint la jeunesse
    à Nevers.Assombri par la honte lorsque la jeune femme est tondue et séquestrée.
    Premier amant,dernier amant, celui- là seul à qui est conté le premier amour.
    Par la grâce du récit, le rythme de Marguerite Duras, la musique de Delerue, l'admirable montage
    d' Alain Resnais , l' amant japonais délaissé deviendra à jamais Hiroshima mon amour.
    insomnia35
    insomnia35

    12 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 février 2011
    Absolument mauvais. Ma critique pourrait s’arrêter là, mais non je vais perdre un peu de mon temps afin de m’expliquer. D’ores et déjà, il faut préciser que c’est Marguerite Duras qui a signé les dialogues (qui sont catastrophiques). Il s’agit d’une romancière et son style est parfait pour l’écriture et pour la lecture, seulement, une fois transposé à l’écran son style toujours aussi littéraire ne convient absolument pas, ça donne des dialogues stupides, sans queue ni tête. Là où certains vont voir une œuvre majestueuse, poétique et mystérieuse, je n’ai vu qu’une œuvre ennuyeuse, confuse et abstraite. Quant aux acteurs, enfin plutôt quant à Emanuele Riva car son confrère est bien terne et inexpressif, il lui arrive, à elle, d’avoir de très beaux passages où elle serait presque émouvante, mais la plupart du temps elle joue les hystériques caricaturales. C’est un vrai raté qui à priori bouleverse les amateurs de cinéma pseudo-intellectuel, mais qui pour ma part m’a laissé impassible,… de glace.
    Acidus
    Acidus

    622 abonnés 3 651 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 avril 2014
    "Hiroshima, mon amour" est un film typique de La Nouvelle Vague. On y retrouve ce ton pédant et cette manière de faire prétentieuse que l'on capte, par exemple, dans plusieurs des oeuvres de Godard. Certains apprécieront le style mais, pour ma part, je n'y vois que des propos redondants pseudo politico-philosophiques étirés sur une durée d'1h30. J'aime lorsque le cinéma se donne une forte dimension intellectuelle mais encore faut-il avoir quelque chose d'intéressant à raconter. Il y avait pourtant de la matière mais cette répétition scénaristique et ses longs dialogues creux et vides m'ont rapidement ennuyés. Seule la qualité technique répond à l'appel avec une photo sympathique mais ne fera guère, à elle seule, oublier cette masturbation intellectuelle qui n'a rien d'artistique.
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juin 2022
    « Hiroshima, mon Amour » est le premier long-métrage d’Alain Resnais sur un scénario de Marguerite Duras. Ce film franco-japonais sorti en 1959, raconte la rencontre entre « Elle » (Emmanuelle Riva) une jeune actrice française venue à Hiroshima pour un film d’allure documentaire en faveur de la paix, tourné 14 ans après l’explosion nucléaire. « Lui » (Eiji Okada) est japonais, architecte mais on ne saura rien de plus sauf que ses 2 parents sont morts à Hiroshima. Une histoire d’amour intense bien que brève – une journée d’après le titre - va les faire parler. Il ne fera que répéter qu'elle n'a « rien vu à Hiroshima ». Et elle lui parlera de son adolescence à Nevers, de son amour pour un soldat allemand bavarois (Bernard Fresson) et de l'humiliation qu'elle a subie lorsqu'elle a été tondue à la Libération à l’âge de 18 ans, son père, pharmacien, ayant même dû fermer son officine.
    Le noir et blanc est superbe et les scènes d’amour très brèves avec au tout début la superposition progressive de la peau des amants et de la peau des irradiés puis d’un nuage d’explosion nucléaire. Les dialogues sont « tronqués » sans lien entre eux et souvent en voix-off ressemblant plutôt à des réflexions personnelles.
    Pour certains ce film était une provocation vis-à-vis des américains avec la vision des sinistres induits par l’explosion nucléaire » et de ce fait le film sera présenté à Cannes en hors compétition en 1969. Pour d’autres comme Malraux, Godard, Truffaut, Chabrol… c’est un hymne à la vie et la mort – éternel conflit entre Eros et Thanatos – et un hymne à la réconciliation. Ce film qui ressemble à un poème mélancolique, lancera la carrière d’Alain Resnais qui avec son difficile film « L’année à Marienbad » (1961), sera un des piliers de la Nouvelle Vague du Cinéma Français.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    161 abonnés 2 422 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 juin 2019
    Hiroshima est un film qui m'a profondément ennuyé.
    C'est pour moi la quintessence des films inintéressants et prétentieux qui n'ont en réalité rien à raconter.
    La 1ère partie (les 20 premières minutes) est d'un ennui mortel. Il s'agit de diffusion d'images certes choquantes de victimes des bombardements nucléaires, mais malheureusement appuyés par des propos ineptes et qui plus est, répétés en boucle ; ce qui gâche complètement les visions horrifiques auxquels on est confronté. La deuxième moitié du film est particulièrement ennuyante avec « lui » qui essaie sans cesse de faire rester « elle » à Hiroshima alors qu'elle a très clairement décidé du contraire.
    Les dialogues d'une manière générale sont absolument abscons, pourtant signés Marguerite Duras. J'imagine qu'à l'écrit, les dialogues de l'écrivaine devaient être prenants, mais à l'écran, ça ne prend pas du tout et ça sonne extrêmement faux. C'est un peu dommage car le film a des choses à raconter sur ses personnages (le traumatisme d'« elle » après avoir perdu son amant allemand et avoir été incarcéré et tondu dans un asile psychiatrique).
    Comme beaucoup de film de ce genre (pseudo-intellectuel et chiant), les acteurs jouent de manière fade (quel gâchis de talent pour Emmanuelle Riva et Eiji Okada).
    À l'exception des images d'archive du début du film sur l'horreur du bombardement américain, il n'y a pas grand chose de séduisant là-dedans dans ce film complètement absurde.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    225 abonnés 1 598 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 avril 2014
    Ce premier long-métrage d'Alain Resnais s'inscrit en pleine Nouvelle Vague, témoigne d'un style très novateur mais très éloigné des préceptes de spontanéité et d'improvisation suivis à l'époque par Chabrol, Truffaut ou Godard. Resnais collabore ici avec Marguerite Duras qui signe le scénario. Un scénario composé de dialogues et de monologues très littéraires, qui sont comme une pluie de mots suspendus, qui se répondent parfois en écho. Il faut s'habituer progressivement à cet artifice poétique, s'habituer à la diction scandée d'Emmanuelle Riva. Puis cette rythmique vaguement incantatoire produit son effet : entêtant, obsédant. Et permet d'accéder à une forme d'introspection nouvelle. C'est cette introspection qui transcende, sur le fond, l'histoire d'amour. Marguerite Duras tire une passerelle originale et audacieuse entre Hiroshima et Nevers, pendant la Seconde Guerre mondiale. Entre souffrance collective et souffrance intime. Entre passé et présent. Entre mémoire et oubli. Les deux villes s'incarnent d'une matière humaine complexe, d'amour et de mort mêlées. Tout cela est exprimé de façon intellectualisée et sensible à la fois. Une sensibilité qui doit beaucoup au travail formel d'Alain Resnais qui répond aux échos du texte par des correspondances visuelles d'une grande beauté. D'une grande dureté aussi. Aux corps amoureux enlacés et couverts de sueur répondent des corps couverts de poussières ou de cendres. Ou des corps brûlés. Aux cheveux arrachés par poignées après le bombardement atomique au Japon répondent les chevelures tondues de femmes en France, durant "l'épuration"... Le montage, le noir et blanc, les jeux de lumière, les cadrages graphiques accentuent superbement les effets de rapprochement ou de contraste, les équilibres et les déséquilibres. Seule la postsynchronisation des voix apparaît parfois approximative dans ce film très précis, très pensé (peut-être trop) et vecteur d'une grâce douloureuse assez incomparable.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 décembre 2011
    Peut-être est-ce parce que j'ai vu deux fois "Marienbad" auparavant que j'ai trouvé "Hiroshima" plutôt accessible. Disons qu'il vous prend moins à rebrousse-poils, qu'il est moins radical... et, d'une certaine façon, moins fascinant, moins marquant, presque plus anecdotique. Les quinze première minutes d'Hiroshima rappellent clairement les courts-métrages documentaires que Resnais a réalisé dans les années 1950. La suite, c'est une réflexion sans fin sur la mémoire, Hiroshima, Nevers, la bombe, la torture... Et une histoire d'amour qui a eu lieu et qui a lieu. Le passé, le présent. Les similitudes avec "Marienbad" sont nombreuses, sauf que pour ce dernier, aussi irregardable soit-il, la mise en scène était incroyable. Ici, c'est un peu moins marquant. Sur le fond, c'est proche : "Reste à Hiroshima ! - Non, je ne peux pas", c'est un peu comme "Nous nous sommes vus à Marienbad l'année dernière ! - Non, vous faites erreur". C'est vite lassant. Surtout qu'Emmanuelle Riva est insupportable. Peut-être manqué-je de maturité pour apprécier Resnais ; mais aussi riche que soit son cinéma, il me laisse pour l'instant totalement froid.
    Akamaru
    Akamaru

    2 807 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 avril 2014
    Si les cinéphiles ne devaient citer qu'un seul film du regretté Alain Resnais,ce serait indéniablement celui d'"Hiroshima mon amour"(1959)qui sortirait. À 36 ans,il s'agissait seulement du premier long-métrage de celui qui allait devenir l'un des fers de lance de la Nouvelle Vague,un peu en décalé toutefois. Cette adaptation d'un riche roman de Marguerite Duras va à la fois lancer une nouvelle grammaire cinématographique,et travailler au plus près les thèmes de la mémoire,du passé obsessionnel,de l'amour impromptu. Si l'on peut dire,Resnais mêla la petite histoire(cette femme séquestrée à Nevers)à la grande(le drame cicatriciel de la bombe d'Hiroshima). Les premières minutes,et les dernières aussi font défiler rapidement des images quasi-documentaires sur le peuple japonais meurtri,avec la voix-off très signifiante d'Emmanuelle Riva. Entre les temps,l'histoire d'amour entre cette Française venue à Hiroshima tourner un film en faveur de la paix,et cet architecte japonais(Eiji Okada,qui travailla phonétiquement son langage)peut se développer. C'est un objet trop conceptuel pour qu'on y adhère sans réserve. Emmanuelle Riva,très cérébrale,y est formidable malgré tout.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 janvier 2008
    Mieux qu'un film, une oeuvre littéraire. On ressent bien ici la plume de Duras, cette sensualité, ce charme, ce calme et cette volutpé qui caractérise l'ensemble de son oeuvre. Chaque image est une photographie d'art à laquelle se mélange la poésie de Duras. Hiroshima mon amour est une sublime oeuvre tout en retenue.
    Plume231
    Plume231

    3 491 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2009
    Ce qu'on peut dire de ce film est qu'il ne ressemble à aucun autre ! En effet, Alain Resnais a réalisé un coup de maître mémorable en réalisant ce film très littéraire d'après un scénario de Marguerite Duras. Il est à signaler que certaines images d'archives incluses dans ce film sont insoutenables et font froid dans le dos. Emmanuelle Riva est magnifique et Eiji Okada est excellent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 mars 2014
    Premier long métrage d'Alain Resnais, Hiroshima mon amour est un film magnifique sur une histoire d'amour impossible entre un habitant d'Hiroshima et une femme venue réaliser un documentaire sur Hiroshima. Basé sur un roman de Marguerite DURAS, l'histoire met en relation catastrophe historique/catastrophe personnelle ( spoiler: traumatisme de l'ancien amour d'Emmanuelle Riva
    ) et a recours au couple mémoire/oubli. Les "Tu n'as rien vu à Hiroshima" font écho aux "J'ai tout vu à Hiroshima", Hiroshima qui, nous le voyons, est devenu un lieu de commémoration ridicule par ce que les slogans et les outils mis en place sont là dans un but purement économique et touristique bloque la possibilité de toute réelle commémoration, mais Eiji Okada le sait.
    Alain Resnais fait preuve ici d'une grande intelligence pour son premier film, en faisant un film esthétiquement superbe, dont l'histoire est très attachante. Mais plus profondément, il va chercher à nous faire réfléchir sur le rôle de la mémoire et de l'oubli. Ajoutons à cela, que la musique de Giovanni Fusco et George Delerue est magnifique.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 mai 2008
    Là où «Nuit et brouillard» (France, 1955) d’Alain Resnais était un témoignage liminaire et nécessaire des supplices de la Seconde Guerre Mondiale, «Hiroshima mon amour» (France, 1959) du même réalisateur soulève davantage la question de l’oubli, la question de la mémoire, développe ce qui demeurait en suspens dans le documentaire. Après avoir vu, du moins avoir eu un semblant de vue, que reste-t-il de cela ? Une promesse à l'acte de prétérition ? Soutenu par un magnifique scénario d’un lyrisme littéraire signé Marguerite Duras, «Hiroshima mon amour» traite de deux horreurs sourdis de la Seconde Guerre Mondiale : la bombe atomique, notamment son utilisation à Hiroshima et la tondaison des femmes amantes de soldats allemands. La première horreur, celle d’Hiroshima, trouve son affectation dans le film par une introduction documentaire et poignante, dans la même veine que «Nuit et brouillard». Photos à l’appui, discours durasien en fond, cette fois-ci le mélange entre ce documentaire et la fiction assume la volonté du film d’arpenter la question de la mémoire. La seconde infamie, la tondaison des françaises amantes d’allemands, s'inscrit au sein de la fiction. Le personnage d'Emmanuelle Riva, dans un témoignage évocateur, transcrit visuellement par Resnais grâce à une altération entre le récit et sa représentation, son personnage souffre. Tout comme le personnage d'Eiji Okada qui languis furtivement, ne trouvant que comme secours le témoignage soudain d'un amour fébrile. «Hiroshima mon amour» par l'imbrication du documentaire dans la fiction, corrélés par les dialogues de Marguerite Duras, possède une charge impétueuse mais étrangement âcre, ce qui donne au film une saveur ginguet.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 juillet 2008
    Mais pourquoi Alain Resnais a t'il choisi Emmanuelle Riva comme actrice principale? Alors qu'il arrive à la sublimer dans une première partie de courte durée, celle ci se transforme en monstre étouffant et épuisant, à l'image du texte navrant de Marguerite Duras qu'elle ne cesse de répéter comme un automate. Les trente dernières minutes sont à mourir d'ennui, cumulant fausse ambition de retranscription sentimentale (flash-back, tête à tête, confrontation) avec un jeu tantôt ridicule (les exclamations grotesques de Riva), tantôt sans profondeur (la scène de la gare et celles qui l'entourent). La musique lors de la scène finale donne plus l'impression d'une mauvaise blague que d'un réel désir d'impliquer le spectateur. Il ne peut que rester froid devant un tel massacre. Pour ma part, je me suis senti oppressé, mais dans un sens très péjoratif (j'aime me sentir oppressé quand je regarde certaines oeuvres, mais ici, aucune fièvre, aucune moiteur, aucun frisson délicat ne vient me submerger). Comme une envie d'exploser la cave insipide de Duras et Resnais à coup de dynamite-sensuelle ou de molotov-platonique...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 avril 2014
    Un film avec une ambiance singulière, qui est le premier long de Alain Resnais. La musique est totalement étrange mais magnifique, la réalisation est très bonne. Emmanuelle Riva et Eiji Okada sont les seuls personnages à l'écran durant tout le film et du même fait, ils le portent. Leurs voix douces accompagnent parfaitement les dialogues. Le point fort de ce film est la narration qui nous touchent et qui donne de grandes scènes. Mais c'est aussi le plus gros défauts, car quand on nous raconte rien d’intéressant, l'ennui profond arrive vite. C'est ainsi que les quinze dernières minutes sont incroyablement lentes et sans intérêt.
    matt240490
    matt240490

    71 abonnés 1 059 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mars 2016
    Après avoir marqué les esprits avec son documentaire Nuit et Brouillard, Alain Resnais s'essaye au drame avec Hiroshima, Mon Amour, confiant à Emmanuelle Riva et Eiji Okada la lourde tâche d'émerveiller son public suite à une introduction difficile. Ainsi, c'est en démarrant par une collection d'images des plus bouleversantes que le réalisateur aborde son sujet, plaçant son idylle dans un contexte post-apocalyptique. Mais, passé le cadre narratif de départ qui scotche littéralement son spectateur, le scénario de Marguerite Duras le dirige inexorablement vers une plus paisible voie, encadré par les jolis dialogues des protagonistes et l'alchimie manifeste qu'ils partagent. Il faudra néanmoins compter sur quelques longueurs qui, si elles ne brisent en rien la splendeur du film, ne lui permet pas d'entrer au Panthéon des chefs d'oeuvre incontestés...
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