Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Alors que l'on s'attend à une confession sur l'horreur de la torture, on assiste à l'impossibilité pour ceux qui l'ont faite de le raconter. Le tout avec un goût très fort d'absurde et de farce noire.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Philippe Descottes
En toile de fond de cette profonde, difficile mais nécessaire réflexion sur la torture, l'impunité, la culpabilité et le repentir, on retrouve bien sûr, une nouvelle fois, la Roumanie chère à Pintilie. Mais la portée de L'APRES-MIDI D'UN TORTIONNAIRE va au-delà des frontières roumaines, elle est universelle.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Chemin
En apposant son jubilatoire sens du grotesque à un sujet grave (la torture d'Etat), le cinéaste entend recueillir moins d'éclats que de grincements.
Chronic'art.com
par Grégoire Benabent
L'Après-midi d'un tortionnaire brille par son dispositif et sa construction : Pintilie n'a pas cherché à mettre l'horreur en image.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
De ces décombres surnage un film, charnellement présent tant chaque image est le reflet d'un état mental (jamais Pintile n'a été aussi proche d'Angelopoulos sur ce point) et intellectuellement désespérant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Cette intrusion du grotesque dans le tragique, forme bouffonne du stoïcisme, fait tout le génie de Pintilié.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marc Semo
(...) un long et étouffant huis clos dans la sordide baraque où vit l'ex-Securiste (membre de la police politique) avec une femme terrorisée et un fils voyou.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean A. Gili
L'Après-midi d'un tortionnaire fonctionne de manière allusive : aucune des horreurs racontées n'est évoquée par des images. Les mots suffisent (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier De Bruyn
Tout le monde en prend pour son petit grade et le ricanement du cinéaste, pour peu qu'on soit sensible à son humour lugubre, hante longtemps après la projection.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzzo
C'est tiré au cordeau, avec un propos auquel il est difficile de rester insensible. Et la leçon d'histoire conduit à une réflexion philosophique sur la nature du mal, l'oubli et la transmission. On peut aussi préférer le Pintilié fougueux et rageur, celui du Chêne et de Terminus Paradis.
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Echos
par Annie Coppermann
C'est (...) un film qui vient à point, au moment où naît la première Cour pénale internationale, pour aborder, dit Amnesty International, " de manière originale un thème qui est au coeur de la dignité humaine : l'impunité ". Ce qui ne l'empêche pas d'être extrêmement dérangeant !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Studio Magazine
par Sophie Bénamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Ce nouveau film de Lucian Pintilié vaut surtout par son rappel d'un passé qui ne veut pas passer et par la dénonciation d'une insidieuse censure exercée aujourd'hui par les jeunes Roumains nationalistes.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le remords ou l'absence de remords, le poids du passé, l'exigence de mémoire, la banalité de la monstruosité, l'impossibilité de solder les comptes sont au coeur de cette vieillotte et lourde pièce à thèse où tout se doit d'être surligné et sursignifié, dans un constant va-et-vient entre présent et passé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par François Gorin
Le sujet est grave . (...) le fort sujet ne (fait) pas forcément un film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
Alors que l'on s'attend à une confession sur l'horreur de la torture, on assiste à l'impossibilité pour ceux qui l'ont faite de le raconter. Le tout avec un goût très fort d'absurde et de farce noire.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
En toile de fond de cette profonde, difficile mais nécessaire réflexion sur la torture, l'impunité, la culpabilité et le repentir, on retrouve bien sûr, une nouvelle fois, la Roumanie chère à Pintilie. Mais la portée de L'APRES-MIDI D'UN TORTIONNAIRE va au-delà des frontières roumaines, elle est universelle.
Cahiers du Cinéma
En apposant son jubilatoire sens du grotesque à un sujet grave (la torture d'Etat), le cinéaste entend recueillir moins d'éclats que de grincements.
Chronic'art.com
L'Après-midi d'un tortionnaire brille par son dispositif et sa construction : Pintilie n'a pas cherché à mettre l'horreur en image.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
De ces décombres surnage un film, charnellement présent tant chaque image est le reflet d'un état mental (jamais Pintile n'a été aussi proche d'Angelopoulos sur ce point) et intellectuellement désespérant.
Les Inrockuptibles
Cette intrusion du grotesque dans le tragique, forme bouffonne du stoïcisme, fait tout le génie de Pintilié.
Libération
(...) un long et étouffant huis clos dans la sordide baraque où vit l'ex-Securiste (membre de la police politique) avec une femme terrorisée et un fils voyou.
Positif
L'Après-midi d'un tortionnaire fonctionne de manière allusive : aucune des horreurs racontées n'est évoquée par des images. Les mots suffisent (...).
Première
Tout le monde en prend pour son petit grade et le ricanement du cinéaste, pour peu qu'on soit sensible à son humour lugubre, hante longtemps après la projection.
Aden
C'est tiré au cordeau, avec un propos auquel il est difficile de rester insensible. Et la leçon d'histoire conduit à une réflexion philosophique sur la nature du mal, l'oubli et la transmission. On peut aussi préférer le Pintilié fougueux et rageur, celui du Chêne et de Terminus Paradis.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Echos
C'est (...) un film qui vient à point, au moment où naît la première Cour pénale internationale, pour aborder, dit Amnesty International, " de manière originale un thème qui est au coeur de la dignité humaine : l'impunité ". Ce qui ne l'empêche pas d'être extrêmement dérangeant !
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Ce nouveau film de Lucian Pintilié vaut surtout par son rappel d'un passé qui ne veut pas passer et par la dénonciation d'une insidieuse censure exercée aujourd'hui par les jeunes Roumains nationalistes.
Le Monde
Le remords ou l'absence de remords, le poids du passé, l'exigence de mémoire, la banalité de la monstruosité, l'impossibilité de solder les comptes sont au coeur de cette vieillotte et lourde pièce à thèse où tout se doit d'être surligné et sursignifié, dans un constant va-et-vient entre présent et passé.
Télérama
Le sujet est grave . (...) le fort sujet ne (fait) pas forcément un film.