Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Patrice Blouin
On avait rarement vu une géographie urbaine, portuaire, anisi réinvestie et redéfinie cinématographiquement. (...) Jusqu'à l'ultime phare qui palpite encore dans la marée obscure. C'est peu dire que Porto de mon enfance est un éblouissement.
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Rêverie gorgée de mélancolie et d'espoirs, Porto de mon enfance est un hommage à tout ce qui forme une culture, à ce qui fait l'âme d'un pays, d'une ville, d'un homme.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par Jean-Max Méjean
Puissant vertige magique que ce film de la mémoire vive, qui commence sur le plan d'un chef d'orchestre (...) de dos dirigeant un orchestre invisible, et se termine sur le phare de Porto clignotant rouge sur l'immensité noire de la mer, la nuit, celle qui faisait si peur à l'adolescent.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télérama
par Jacques Morice
Un aller-retour vertigineux entre l'hier et l'aujourd'hui qui renverse totalement le cours du temps en le condensant, (...). Porto de mon enfance luit d'une simplicité déconcertante, d'une transparence souveraine que seuls, peut-être, les artistes à la fin de leur vie peuvent atteindre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
Le film n'est jamais une leçon sur la mort ou la vanité des choses, sur un paradis perdu qu'on réactiverait avec nostalgie, mais est au contraire porté par un puissant élan vital.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
Evocation évanescente, à laquelle le présent se connecte immédiatement, abolissant les frontières du temps. Les ruines du souvenir sont ici de vivantes pierres.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Emile Breton
Claire façon de dire que le vrai est là, dans ce qu'a retravaillé le souvenir ou que retravaille, film après film, un cinéaste qui sait ce qu'il attend de l'outil qu'il a en mains, et non pas dans ces traces laissées peut-être par hasard sur une pellicule inattentive.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Un vrai retour aux sources puisque son premier film, Douro, faina fluvial, dont on voit d'ailleurs des extraits dans¨Porto de mon enfance, était déjà un documentaire sur ce fleuve qui baigne la cité. Ici, il nous donne à goûter sa petite madeleine à lui: un régal !
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Les vrais paradis sont ceux que nous avons perdus, affirmait Proust en substance. Dans Porto, ces paradis seraient davantage ceux que nous avons imaginés. Ils désignent l'enfance d'Oliveira. Une enfance qui n'est rien d'autre qu'une métaphore des pouvoirs du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge kaganski
(...) si Porto de mon anfance est si beau et touchant, c'est par les multiples façons dont Oliveira habite son film, sa vie et son cinéma faisant corps avec sa ville.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
L'amour est une perdition, Porto, son lieu dangereux. Ce petit film, fait entre deux projets, comme une respiration, vire au détournement du mineur: le parfum du plaisir est intact.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Olivier De Bruyn
Ce film fragile et proustien réjouira, en toute logique, les fans et...
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Véronique Le Bris
Entre abstraction et nostalgie, constructions et souvenirs, le cinéaste frénétique qu'il est enfin devenu feint ainsi de clore la boucle d'une vie nourrie et habitée d'une poésie créatrice et vertigineuse.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
MCinéma.com
par Olivier Pelisson
Le film vogue entre rêve et sommeil, entraînant un ennui diffus, malgré l'intérêt de la mise en scène et l'aspect touchant de De Oliveira penché sur ses racines.
TéléCinéObs
par François Forestier
Dans Porto de mon enfance, il choisit de filmer ce qui n'existe plus et que seuls "les yeux de la mémoire" peuvent encore saisir par bribes et traces incertaines, car le passé aussi est fumée.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
On avait rarement vu une géographie urbaine, portuaire, anisi réinvestie et redéfinie cinématographiquement. (...) Jusqu'à l'ultime phare qui palpite encore dans la marée obscure. C'est peu dire que Porto de mon enfance est un éblouissement.
Chronic'art.com
Rêverie gorgée de mélancolie et d'espoirs, Porto de mon enfance est un hommage à tout ce qui forme une culture, à ce qui fait l'âme d'un pays, d'une ville, d'un homme.
Cine Libre
Puissant vertige magique que ce film de la mémoire vive, qui commence sur le plan d'un chef d'orchestre (...) de dos dirigeant un orchestre invisible, et se termine sur le phare de Porto clignotant rouge sur l'immensité noire de la mer, la nuit, celle qui faisait si peur à l'adolescent.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Télérama
Un aller-retour vertigineux entre l'hier et l'aujourd'hui qui renverse totalement le cours du temps en le condensant, (...). Porto de mon enfance luit d'une simplicité déconcertante, d'une transparence souveraine que seuls, peut-être, les artistes à la fin de leur vie peuvent atteindre.
Urbuz
Le film n'est jamais une leçon sur la mort ou la vanité des choses, sur un paradis perdu qu'on réactiverait avec nostalgie, mais est au contraire porté par un puissant élan vital.
Aden
Evocation évanescente, à laquelle le présent se connecte immédiatement, abolissant les frontières du temps. Les ruines du souvenir sont ici de vivantes pierres.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Claire façon de dire que le vrai est là, dans ce qu'a retravaillé le souvenir ou que retravaille, film après film, un cinéaste qui sait ce qu'il attend de l'outil qu'il a en mains, et non pas dans ces traces laissées peut-être par hasard sur une pellicule inattentive.
Le Figaroscope
Un vrai retour aux sources puisque son premier film, Douro, faina fluvial, dont on voit d'ailleurs des extraits dans¨Porto de mon enfance, était déjà un documentaire sur ce fleuve qui baigne la cité. Ici, il nous donne à goûter sa petite madeleine à lui: un régal !
Le Monde
Les vrais paradis sont ceux que nous avons perdus, affirmait Proust en substance. Dans Porto, ces paradis seraient davantage ceux que nous avons imaginés. Ils désignent l'enfance d'Oliveira. Une enfance qui n'est rien d'autre qu'une métaphore des pouvoirs du cinéma.
Les Inrockuptibles
(...) si Porto de mon anfance est si beau et touchant, c'est par les multiples façons dont Oliveira habite son film, sa vie et son cinéma faisant corps avec sa ville.
Libération
L'amour est une perdition, Porto, son lieu dangereux. Ce petit film, fait entre deux projets, comme une respiration, vire au détournement du mineur: le parfum du plaisir est intact.
Première
Ce film fragile et proustien réjouira, en toute logique, les fans et...
Zurban
Entre abstraction et nostalgie, constructions et souvenirs, le cinéaste frénétique qu'il est enfin devenu feint ainsi de clore la boucle d'une vie nourrie et habitée d'une poésie créatrice et vertigineuse.
L'Express
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MCinéma.com
Le film vogue entre rêve et sommeil, entraînant un ennui diffus, malgré l'intérêt de la mise en scène et l'aspect touchant de De Oliveira penché sur ses racines.
TéléCinéObs
Dans Porto de mon enfance, il choisit de filmer ce qui n'existe plus et que seuls "les yeux de la mémoire" peuvent encore saisir par bribes et traces incertaines, car le passé aussi est fumée.