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caro18
139 abonnés
2 213 critiques
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3,0
Publiée le 23 décembre 2010
Enfin des explications : comment les singes ont-ils pu évoluer et dominer les humains. Cet épisode complete et reflete bien le premier contrairement au deuxième inutile et répétitif.
On remonte le temps afin d'inverser les rôles du premier épisode, les hommes essaient d'humaniser ces singes parlants venus de l'espace. Certains situations sont cocasses ou insolites mais c'est fait pour nous endormir. Car la cruauté humaine et son sens de la guerre ressorte assez vite. Un bon épisode de la première saga.
Le film "Les évadés de la planète des singes " est le troisième opus du film culte "La planète des singes". Dans ce film, les singes Cornéluis et Zira voyagent dans le passé au XXe siècle et découvre le monde des êtres humains et la société américaine. Ils deviennent vite des stars sous les feux de la rampe.... et ils vont être vite rejetés car ils représenteraient une menace pour l'espèce humaine... Là, on voit un revirement de situations par rapport au premier film : Dans "La planète des singes" , les êtres humains sont brutalisés et dans le film "Les évadés de la planète des singes" , c'est tout le contraire.... Le scénario est pertinent. Il y a beaucoup de scènes cocasses.. Plein d'humours sur la découverte des singes face à la société américaine. La fin est triste .... A voir !
Après le calamiteux secret de la planète des singes cette nouvelle suite redonne un peu d’allant à la saga de sf des années 70. Ici on délaisse totalement l’action pour vraiment faire une digression sur la tendance auto destructrice de l’homme, sa soif de pouvoir, sa certitude d’avoir le contrôle, la vision à court terme des choses. Et j’en passe le film évoque une multitude de pistes et de sujets. Vraiment plaisant dans son lancement j’ai trouvé que le film se délitait au fur et à mesure comme s’il avait perdu son fil conducteur. On trouve quand même de bonnes choses, des acteurs moins à la ramasse que dans le précédent opus et on bon score de Jerry Goldsmith. Ça n’est pas mauvais mais je ne peux m’empêcher de penser que cela passe un peu à côté de son potentiel.
Ouf, en transposant le récit dans un monde contemporain, ce troisième épisode est moins kitsch et risible que le précédent. Dommage cependant que quelques facilités et un trop grand manichéisme viennent un peu gâcher le propos. Le final, par contre, est très réussi.
cette fois - ci les rôles sont inversés !! les singes débarque sur terre !! l'idée est original même si c'est dommage qu'on les voit pas monter dans le vaisseau et s'enfuir !! ensuite l'histoire tourne en rond .... l'ensemble reste sympa sans atteindre l'intensité du 1er mais nettement au-dessus du second volet !! la fin laisse une porte ouverte pour un 4ème
Un épisode très différent des autres films de la saga. Beaucoup plus réussie que le deuxième épisode qui était décevant. Le rythme reste soutenu. C'est à la fois drôle et touchant, car malgré la bonne humeur lors de l'arrivée des singes sur terre, plusieurs personnages réagiront différemment à leurs venues, la noirceur refait surface au fur et à mesure de l'histoire comme spoiler: la peur des humains de l'avenir ou encore la fin tragique avec les morts de Cornelius et Zira . On retrouve le duo attachant : Roddy McDowall et Kim Hunter qui reprennent de nouveaux leurs rôles de Cornelius et Zira. Bradford Dillman et Natalie Trundy jouent bien leurs rôles de psychiatres qui vont les aidés. Le reste du casting est excellent : Eric Braeden, Ricardo Montalban et William Windom.
Ce troisième épisode n'est pas parfait mais il est bien meilleur que le second. Après une grosse pirouette scénaristique, les rôles sont inversés et des voyageurs "singes" se retrouvent parmi les hommes. Leurs explications sur l'Histoire à venir et la façon dont ils sont traités font un parallèle avec premier film, rendant celui-ci intéressant. La théorie du voyage dans le temps et la possibilité de changer l'avenir du monde sont évoqués, comme le fera plus tard la saga "Terminator". (Moyen)
Cornélius et Zira parviennent à retourner vers le passé, et débarquent au 20e siècle à Los Angeles. Ils y subissent les mêmes tourments que Taylor sur la "planète des singes", et découvrent petit à petit quels événements conduiront à la fin de la civilisation humaine et à la domination simienne... Situation inversée. Cornelius, Zira et le Dr Milo ont réussi à quitté la Terre du 40ème siècle avant sa destruction pour atterrir sur celle du 20ème en plein 1973. Film qui fut à l'époque limité dans son budget et qui permis de grandes économie de par ce synopsis. mêlant humour et drame, le film se termine dramatiquement comme les deux précédents avec une note d'espoir finale pour l'espèce avancée simiesque. La boucle temporelle des événements comme dans Terminator et d'autres films liés au voyages dans le temps.
Cornélius et Zira parviennent à quitter leur monde pour revenir vers le passé pour se retrouver au XXème siècle, en plein Los Angeles.
Troisième opus de la pentalogie et toujours dans la continuité du récit (le 2ème volet nous avait laissé sur un climax où l’on pouvait aisément supposer que spoiler: La Planète des singes était rayée de la carte suite à l’explosion de la bombe atomique). On retrouve donc le couple de scientifiques à notre époque où ils vont subir toute une batterie de tests, soit à peu de chose près, ce qu’ils ont fait subir à Taylor et aux autres humains lors de leur captivité.
Il est amusant de voir comment les scénaristes s’y sont pris pour inverser la trame et par conséquence, inverser les rôles. Ce 3ème opus nous apparait donc sous la forme d’un effet miroir par rapport au tout premier opus de la saga (1968). Si l’on fait abstraction (encore faut-il y arriver) des nombreuses incohérences narratives qui pullulent dans ce film, après un certain temps d’adaptation, il faut bien admettre que l’on finit par se laisser se prendre au jeu. L’intrigue nous donnera d’ailleurs quelques éléments qui seront ensuite repris dans le 4ème (1972) et 5ème volet (1973). Comme quoi, malgré quelques digressions scénaristiques, la franchise parvient toujours à retomber sur ses pattes et à nous offrir un divertissement plus ou moins à la hauteur de nos attentes.
Troisième épisode qui ne se déroule pas le futur, mais dans notre présent. Scènes assez cocasses, durant la première heure : on y voit Cornélius et Zira confrontés à la vie quotidiennea méricaine. Puis on bascule dans un registre plus grave : l'homme peut-il, s'il a connaissance de son avenir, le changer en influant sur le présent ? La fin est très triste aussi.
Après un deuxième épisode peu glorieux (pour ne pas dire carrément mauvais), la 20th Century Fox remet le couvert en produisant ce troisième opus de cette saga à succés. Ce dernier reprend l'histoire là où "Le Secret de la planète des singes" met ce sont cette fois trois singes (dont le Dr Zira et son mari Cornelius) qui réussissent à retourner dans le passé; un passé dominé cette fois par les Hommes. On reprend grosso modo les grandes lignes du scénario du premier film en y inversant les rôles et en y ajoutant une dose d'humour absente dans les longs métrages précédents. Néanmoins le scénario demeure relativement faible avec certes quelques bonnes idées mais aussi des passages ridicules et surtout un bon paquet d'incohérences. Cette suite n'est pas désagréable en soit mais loin d'être indispensable.
[Pour situer la chronologie de l'histoire : année 1973]. Dès l'introduction, notre réflexion va automatiquement se mettre en marche pour situer chronologiquement ce troisième opus, et surtout lui donner du sens. Il faut dire que cet épisode surprend d'entrée de jeu, en plus de nous faire sourire. On en viendrait même à espérer, dans un premier temps, que ces trois singes soient inconnus au bataillon malgré leur forte ressemblance avec ceux que l'on connaît déjà. Car même si le titre ("les évadés") nous mettra sur la voie, cela fera peur scénaristiquement parlant et on se refusera à y croire, surtout après avoir assisté à l'explosion atomique qui clôturait le précédent chapitre. Mais il s'agit pourtant bien de nos chaleureux hôtes des épisodes précédents, ce qui signifiera que le scénariste est parti une fois de plus dans un délire spatio-temporel (il aime ça apparemment), qui viendra complexifier davantage cette saga, mais pourquoi pas aussi, la faire évoluer autour d'un phénomène facile aux possibilités illimitées, l'éloignant de la belle, subtile et poignante écriture du premier volet, pour peut-être la faire tourner en bourrique...l'avenir nous le dira. Nous voici donc en compagnie de ces singes savants qui viennent de faire un voyage de deux mille ans dans le passé ; et les envoyer tout droit dans un zoo, fallait oser...de quoi continuer à dresser le portrait de la cruauté humaine tout en faisant le parallèle avec les situations précédemment rencontrées dans un rapport de force inversé, et ainsi démontré que nous ne vallons pas mieux que le sort qui nous a été réservé dans les précédents volets. "Les évadés de la planète des singes" ou les rescapés du futur, reste un épisode entraînant dans sa première partie, avant de retomber platement dans une narration simpliste et parsemée de facilités ici et là, malgré une touche d'humour appréciable et un duo de singes attachants. Ce troisième opus restera avant tout intéressant pour le rapprochement qu'il fait sous ce regard inverse, de quoi susciter la réflexion quant à la nature de l'homme.
Un nanar de haut vol qui ne fait que renforcer la certitude que le premier volet était un pur chef d’œuvre. Trois items suffisent à s'en convaincre. Le scénario pour commencer. Il est quasiment calqué sur celui du premier opus, laissant du coup peu de surprise au spectateur. On peut y aisément comprendre que l'objectif était justement d'inverser les rôles, mais fallait-il pour autant faire montre d'aussi peu de créativité ? Un défaut d'autant plus rédhibitoire que l'effet de surprise n'est plus là, il fallait donc relancer l'intérêt. Seconde tare qui fait mal, l'interprétation. On a affaire à une belle brochette de bras cassés. Que dire par exemple des officiers militaires fuyant comme des mauviettes devant les singes ? Que dire également des mimiques grand-guignolesques des acteurs jouant les rôles des trois évadés ? Allez, un dernier défaut pour la route : les effets spéciaux. Passons sur les marionnettes mal faites que l'on balance dans le vide. Mais quand même, ne pouvait-on pas employer une autre technique que le rembobinage de la bande pour simuler la parole chez un chimpanzé ? A hurler de rire.