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    C'était un rendez-vous
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    Alexarod
    Alexarod

    238 abonnés 1 858 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 août 2018
    Un court métrage pour changer, mais surtout de Claude Lelouch, rare donc précieux et forcément attirant surtout qu’il joue également dedans.
    Sauf que ça c’est la théorie, en pratique on le voit pas (il conduit) et c’est un des 1er film de street racing ainsi qu’un des meilleurs, unanimement reconnu. Cette course originale vient au réalisateur un soir, dans Paris : il accroche une caméra devant sa vieille Merco (enfin à l’époque elle n’était pas désuète) et démarre à Porte Dauphine, en passant par Rivoli, le rond-point de l’Étoile, la Concorde, le Louvre, l’Opéra, le Moulin Rouge, Montmartre, le Sacré Cœur etc. C’est une belle découverte de la ville, à 200 en plus ça en jette (enfin plutôt 160 max), puis les sensations sont là : on a bien le bruit du moteur, les accélérations, la vitesse, les crissements de pneus, le danger, on est proche du sol et ça secoue fortement, sauf qu’on a que ça…
    Oui c’est une belle course, oui c’est du street racing avec ce que ça comprend d’infractions (car pas d’autorisations pour filmer), sauf que c’est pas forcément passionnant. D’un côté voir les rues de la capitale presque vide, à part dans Seuls Two c’est impossible, qu’importe l’heure, puis sans les radars ça doit être un bon kiff, mais à part ça c’est un peu lassant. Le rendez-vous final n’est qu’une excuse à la déambulation, le grain de la caméra donne un aspect vieux du plus bel effet, quant au son c’est une Ferrari ajoutée au montage (bon ça passe bien). Ce n’est pas un road trip à proprement parler (9 minutes pensez), néanmoins ça permet d’avoir une image sympa du passé car ce qu’on voit serait inenvisageable de nos jours (surtout au débotté, en une prise et sans s’arrêter).
    AMCHI
    AMCHI

    5 037 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juin 2012
    Un homme fonce à toute vitesse à travers Paris au petit matin pour retrouver sa belle. Lelouch a installé sa caméra sur la calandre de la voiture et donne une sensation de foncer à toute berzingue au ras du sol et il faut l'avouer c'est grisant, ça rappelle les jeux de simulation. Le film dure presque 9 minutes ça peut paraître long mais on ne les voit pas passer, elles défilent à toute allure comme les rues de Paris devant nos yeux excités par la vélocité. A certains moments c'était comme même juste avec les piétons. Amusant à voir.
    oranous
    oranous

    131 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juin 2007
    c'est un court très impressionnnat, peu etre un peu long mais néanmoins très reuss
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2007
    Ni l’expression artistique d’un Beau ni la narration astucieuse d’une idée, «C’était un rendez-vous» (France, 1976) de Claude Lelouch est à l’évidence l’enfant d’une frustration parisienne de ne pouvoir circuler aisément en véhicules. Vitesse folle au sein de la capitale Paris, les transgressions routières sont de jouissants outre-passements de la Loi. Sortie d’un tunnel, silence, présentation du film. Ainsi fait que nous sommes déjà balayés par la saugrenuité de la vitesse. Moteur fusant et répandant son vrombissement mécanique dans les rues de Paris, le défilement des rues parisiennes n’en est que plus vertigineux. En un plan séquence unique, Lelouch évoque Paris dans une poésie transitoire qui filme les décors comme un long tracée de couleurs où les lueurs de l’aube et le halo de l'automobile sont les seuls sources de vision. Un rêve en accéléré, une satisfaction intime de se voir projeter dans l’enfreintes des règles. Lelouch, par ce court-métrage à la facture insignifiante et à l’ambition chétive réussit à réaliser un film immense qui sue de sa vélocité et qui évoque nombres de frissons. La promiscuité du plaisir et de l’angoisse, malaxée par l’extrême fugacité des images qui ne sont déjà plus lorsqu’elles apparaissent, organise le film comme un sentiment d’amour. Annonçant la raison de cette extra-rapidité, le trajet prend l’expression d’un tourbillon amoureux, d’un corrélat entre Lelouch, sa fiancée et Paris. Unis dans le bouleversement du temps qu’opère l’envolée en auto à travers Paris, le couple amoureux mérite in fine sont union par delà les obstacles bravés par l’amoureux. Quand Lelouch a dit : «Les plus belles histoires d’amour sont celles qu’ont a pas eu le temps de vivre», ce court-métrage en est l’exemple même, où l’image d’avant a laissé place à celle d’après et bis repetita pour mener jusqu’au bout. L’idée d’héroïsme si cher à Lelouch prend là une allure moderne mais aussi sublime où les sens se confondent au dépassement de l’espace-temps.
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    63 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 mai 2014
    Quand je vois la plupart des autres critiques qui se masturbent sur ce court-métrage, je m'interroge franchement. Pourquoi encenser quelque chose qui ne mérite pas de l'être ? Je peux comprendre que les courses avivent des sentiments disons... primaux, qu'il veut rejoindre sa dulcinée le plus rapidement possible, mais là c'est vraiment trop long pour ce que ça vaut, et même si c'est Claude Lelouch qui l'a réalisé, ça ne change rien au fait que ce court ne sert à rien. Nul.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 087 abonnés 4 214 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 janvier 2015
    Bon ben un court métrage pour lequel il n’y a pas de quoi se relever, très clairement. Pour ma part le bon point réside dans le fait de découvrir Paris d’une manière assez inattendue, mais surtout de redécouvrir le Paris des années 70. Un retour en arrière très plaisant, surtout pour des gens qui, comme moi n’ont pas connu cette époque. Pour le reste c’est vide. Le film n’a pas d’histoire, mais bon, à la limite c’est excusable, le problème c’est qu’il est aussi terriblement longuet. 8 minutes de courses dans Paris quand on n’a pas les manettes, ça parait long, il faut le dire, d’autant que ce film ne prend en fait presque aucun risque. A cela s’ajoute une mise en scène qui n’en est pas une. C’est gentil deux minutes la façon de filmer de ce court, mais sur la durée c’est plus qu’agaçant, et le bruit continuel du moteur derrière, n’a franchement rien d’attractif sur la durée, et ça fait du bien quand ça s’arrête.
    Non, franchement j’ai trouvé là un court métrage long, ennuyeux, peut-être culotté mais qui s’avère plus pénible que grisant ou distrayant. Disons que sur 3-4 minutes cela aurait pu être tenable, mais sur 8 minutes c’est assoupissant, et cela en dépit de l’action, ce qui montre bien les limites de ce genre d’expérience d’un point de vue strictement artistique. 1.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 février 2015
    Je continue à m'étonner de la fascination que semble inspirer cette video, probablement par ignorance des conditions dans lesquelles elle a été réalisée. M Lelouch a lui-même conduit la voiture de laquelle sont filmées les images, sans autorisation et SANS SECURISATION de son parcours. Pour être clair, ce que vous voyez n'est pas un film, MAIS LA RÉALITÉ. Au petit matin, en plein Paris, il a estimé pouvoir sans danger brûler des feux rouges, prendre des sens interdits à grande vitesse et faire des pointes à 200 km/h, sans s'inquiéter des risques qu'il faisait prendre aux parisiens matinaux qui auraient eu la malchance de croiser son parcours. Et en plus, 20 ans après, il s'en vante encore dans une parfaite inconscience de son irresponsabilité. Pour tous ceux qui considèrent ces risques comme virtuels, je conseille la visite de l'hôpital de Garches où se retrouvent de trop nombreux jeunes à la vie fracassée par des chauffards.
    NeoLain
    NeoLain

    4 238 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juillet 2011
    Court-métrage de Claude Lelouch et comme la plupart du temps il ne fait jamais comme les autres. Il filme caméra embarqué une voiture qui déboule à fond la caisse dans le tout Paris, feux rouges grillé, slalom entres des bagnoles, c'est un régal de vitesse. On est pas loin d'assister à une scène d'un rally ou ou jeux vidéo de course célèbre. C'est fait donc avec les moyens les plus sobres et rudimentaire mais qui procure une ouverture de sensation bien primaire, l'excitation que tout homme peut être face à l'amour. Ce que l'on ferai pas pour rejoindre sa belle, vous comprendrez une fois vu le final de cette course effrénée.
    Cinémonde
    Cinémonde

    130 abonnés 1 414 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2023
    Je suis désolé mais pour moi, c’est un mouais catégorique. Claude Lelouch ou pas, je n’ai pas été convaincu par un film comme ça. Certes, c’est cool, on peut voir les lieux emblématiques de Paris (qu’on n’aperçoit que très peu) mais c’est trop long pour un fin décevante. Par contre, il est vrai que ça peut être impressionnant de voir neuf minutes d’un court-métrage en plan-séquence.
    Estonius
    Estonius

    2 480 abonnés 5 227 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 janvier 2016
    Un court métrage de 8, 30 minutes de Claude Lelouch (1976) Une expérience cinématographique de ouf, puisqu'il s'agit d'un plan séquence réalisé à bord d'une voiture sur 10 km dans les rue de Paris au petit matin. C'est assez fascinant surtout quand on connait bien Paris. Une curiosité dira-t-on.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    69 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mai 2014
    Claude Lelouch revient vers l’émotion primale du cinéma, celle qui fait écarquiller les yeux et battre le cœur à toute vitesse, celle qui correspondait à la volonté initiale des frères Lumière, avec "C’était un rendez-vous", expérience fascinante qui stupéfie sans cesse. L’argument est simple, mais ce qui compte, c’est la tension provoquée, le tremblement ressenti à la vision de ce parcours mortel dans les rues de Paris, capitale qu’on n’avait jamais vue de cette manière et qu’on redécouvre avec grand plaisir. Moralement, ce film est irresponsable, mais qu’est-ce que le cinéma a à voir avec la morale ?
    Alain D.
    Alain D.

    493 abonnés 3 204 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2016
    Un format court réalisé par Claude Lelouch en 1976. Super film d’action d’une seule séquence et une seule prise : pas de montage. Claude Lelouch est lui-même au volant.
    Le pitch : Paris au mois d’aout ; c’est le petit matin ; Une voiture traverse Paris à grande vitesse. 8 Minutes pour aller de la Porte Dauphine au Sacré-Cœur : Chapeau !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 juin 2012
    bonne course de voiture en pleine rues de Paris. marrant à voir. bien sur les enfants, ne faites pas ça chez vous.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 janvier 2008
    Un court à vous donner le frisson , et la nostalgie d'une époque où on pouvait encore s'amuser à ce genre de choses......
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 janvier 2007
    Ne faisant décidément rien comme les autres, Claude Lelouch eut un matin de 1976, alors qu’il lui restait un bout de bande libre sur celle de Si c’était à refaire, un étonnant phantasme: faire le tour de Paris, dans sa Mercedes et à toute vitesse, avec comme prétexte, un rendez-vous simulé avec sa compagne. Résultat, un court-métrage de neuf minutes mémorable pour tout ceux l’ayant vu, une montée d’adrénaline grisante et les yeux écarquillés tout au long de cette folle escapade nostalgique, qui atteignit à certains moments les 200 kilomètres à l’heure! Comptez d’ailleurs les feux rouges grillés et les drames frôlés! Même si l’on a que très peu le temps d’admirer le paysage, on a du mal à croire que nous ne sommes pas sur un circuit de formule un, mais bien entre le périphérique de la capitale française et Montmartre. A signaler qu’une Ferrari refit le tour pour la bande-son, et que la folie du réalisateur ne fut sanctionné que par un retrait de permis de…quelques minutes. Hors du commun.
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