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    La Charge héroïque
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    81 critiques spectateurs

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    teofoot29
    teofoot29

    68 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2010
    Cela fait maintenant 8 ans que je n'ai pas vu ce film, le premier western qu'il m'ait été donné de voir et qui m'a marqué assez pour que je me souvienne de la génialité qu'il dégageait, un des plus grand western que je vais d'ailleurs m'acheter dans les prochains jours.
    Philippe C
    Philippe C

    78 abonnés 1 004 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 octobre 2022
    Le scénario est faible, la mise en scène épatante. Un western des plus classiques et incontournable de John Ford, avec un vieux capitaine de cavalerie bougon et empli d'humanité, de gentils soldats blancs, de méchants indiens (sauf les anciens) et un bluette amoureuse sur fond de rivalité entre 2 gradés. Il ne se passe en fait pas grand chose et surtout pas de charge héroïque, mais l'histoire nous promène entre fortin, désert, montagnes et rivières, sans nous ennuyer, illustrées de quelques scènes cocasses et inutiles comme celle de la bagarre dans le bar, le tout dans les décors aussi naturels que magnifiques du parc de Monument Valley.
    un bon divertissement
    Agnes L.
    Agnes L.

    119 abonnés 1 460 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 octobre 2022
    Le sujet tourne autour des tuniques bleues avec John Wayne en capitaine aimé de ses hommes qui doit prendre sa retraite. A vrai dire, je m'attendais à mieux pour ce qui est présenté comme un chef-d’œuvre car le scénario est mince comme un fil. Une poignée d'indiens défile à cheval alors qu'ils sont soi-disant dix mille guerriers de différentes tribus. Il y a beaucoup de chevauchées mais guère autre chose.
    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 mars 2022
    Sur un mode mineur, "She Wore a Yellow Ribbon" est pourtant un magnifique western de Ford. Vieilli, John Wayne a rarement été aussi bon, et que dire du cabotin de génie Victor McLaglen, dont le visage grimaçant semble sortir tout droit d'un cartoon ? Certes patriotique en diable, le film est aussi une réflexion sur la vieillesse, le dévouement à un travail et à des hommes. En parallèle, l'amour pointe son nez et rappelle aux jeunes troupes que, grâce à lui, l'austérité de l'engagement militaire peut être supportée. Dommage que le distributeur français n'ait pas simplement traduit le titre original de l’œuvre.
    Fabios Om
    Fabios Om

    35 abonnés 1 264 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2022
    John Ford figure parmi les meilleurs réalisateurs de westerns et celui-ci est à inscrire dans le top 100. Le réalisateur signe une œuvre intéressante parmi sa trilogie sur la cavalerie US avec "Le massacre de Fort Apache" et "Rio Grande" avec les mêmes John Wayne et Victor McLaglen. spectacle familial est très agréable à regarder, notamment la fin très hollywoodienne.les nombreuses qualités de ce film arrivent presque à faire oublier les quelques défauts du film scénario parfois un peu trop lâche et un triangle amoureux pas assez exploité.John Wayne, qui n'était pourtant qu'âgé de près de 40 ans à ce moment-là, montre le plus son immense talent de composition. C'est sans conteste le plus beau rôle du "Duke".
    Des scène aussi qui'sont tes émouvante enfin surtout une en particulier qui marquera les spectateurs de ce très beau western.
    Shephard69
    Shephard69

    280 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2019
    Western classique par excellence, un long-métrage de John Ford qui s'inscrit comme le second opus de sa trilogie centrée sur la cavalerie américaine. Un long-métrage assez décousu avec une écriture pas toujours très limpide virant même parfois dans le comique absurde. Sur fond de guerres indiennes, une oeuvre qui m'a beaucoup rappelé le récent "Hostiles" de Scott Cooper pour son portrait d'un vieux soldat fatigué et aigri. Une nouvelle prestation très charismatique et légèrement cynique de John Wayne. Peut-être pas le meilleur ensemble du réalisateur américain mais un film qui reste plutôt sympa et intéressant à voir.
    Nyns
    Nyns

    188 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2017
    C'est mon deuxième John Ford après la Prisonnière du désert, on peut dire que je ne suis pas une spécialiste, ce genre n'appartenant pas à ma génération c'est le moins qu'on puisse dire. Cependant, j'arrive à apprécier ces tournages en décors réels pour l'époque, ces plans sur Monument Valley qui ont rendu ce lieu si culte, tout ça donne lieu au mythe toujours présent. Pourtant je reste septique quant au nombre élevé du genre, je serais tenté de dire, on en a vu un on les a tous vu... Même si l'histoire diffère, la recette reste la même. Ce qui est à la foi un avantage (on sait à quoi s'attendre et si on a envie d'un western, on ne peut pas être déçu) et un inconvénient évident. Ici on a donc un "typiquement fordien" avec la mise en lumière de la cavalerie américaine dans toute sa puissance face à l'ennemi. Le titre original est beaucoup plus parlant, puisqu'il fait écho au générique entêtant, ainsi qu'à l'indécise dont le cœur balance entre deux jeunes lieutenants (même si on se doute dès leur première apparition lequel elle va choisir...), et permet aussi la compréhension de cette coutume de l'époque impossible de connaitre à moins d'être passionné. L'histoire est très convenue et la morale un peu limite et légère (c'est un western il ne faut pas s'attendre à voir triompher les indiens hein), un peu d'humour avec le sergent alcoolique, et puis on peut compter sur le cynisme du brave personnage de John Wayne. C'est d'ailleurs lui qui apporte la plus belle dimension, il est émouvant et juste dans son rôle de capitaine veuf mettant fin avec regret à sa carrière respectable (toujours) dans la cavalerie. Un western qui remplis le contrat, par comparaison je l'ai trouvé moins épique que la Prisonnière du désert.
    bobmorane63
    bobmorane63

    153 abonnés 1 897 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 octobre 2009
    John Ford est décidement un cinéaste fort passionnant que je découvre depuis peu de film en film avec son acteur fétiche John Wayne et cela se regarde avec plaisir sans vieillir!!! Qui n'a pas jouer aux cowboys et aux Indiens en référence à ces films étant petit???? C'est le sujet de ce film dans le magnifique décors du Monument Valley ou les Indiens font ravages face à l'armée Américaine. Ce film traite aussi le sujet de la vieillesse et l'age de la retraite de ce qu'on a vécut comme le héros qui a une dernière mission qu'il compte bien cloturer et l'honorer avant son départ. La lumière, les images, le paysage de l'Ouest et son couchée de soleil magnifique, tout est parfaitement filmé par maitre John Ford. Et puis, saluons aussi l'interprétation de John Wayne qui se laisse pousser la moustache et se teindre les cheveux en blanc convainquante avec des passages ou son humour marche aussi. Amateurs de westerns, ce film est une recommandation
    gabdias
    gabdias

    74 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2011
    Le duo mythique de l'ouest Ford/Wayne est de retour dans cette ode à l'Amérique du XIXème siècle aux valeurs un peu dépassées et surtout aux stéréotypes bien forcés, mais ce qui reste c'est John Wayne filmé comme jamais au milieu de Monument Valley. Un classique vieillot du genre mais indispensable.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 juillet 2012
    Deuxième volet d'une trilogie sur la cavalerie américaine entamé par John Ford un an avant et intitulé "Le massacre de Fort Apache" (1948), et toujours avec John Wayne, son acteur fétiche (avec qui il a collaboré 18 fois (!!!!). En témoignent "La chevauchée fantastique", "L'homme qui tua Liberty Valance", "Les cavaliers" et "La prisonnière du désert" parmi les plus fructueuses.), toujours présent sur le troisième de la série, "Rio grande" (1950), sorti dans la foulée.
    "La charge héroïque" (1950) est un western typique de John Ford où il s'adonne encore une fois à la caricature indienne, en les présentant comme des sauvages. "Les cheyennes", son ultime western (évidemment !), montrera la facette inverse des indiens.
    Typique aussi de par des décors sublimes (encore et toujours Monument Valley !), un jeu de couleurs entraînant (Winton C. Hoch gagne ici l'un de ses trois Oscars de sa carrière en tant que directeur de la photographie, présent aussi sur les tournages de "L'homme tranquille" et "La prisonnière du désert"), et une musique agréable (de Richard Hageman, marquant ici sa dernière incursion au cinéma après les compositions de "La chevauchée fantastique", "Le massacre de Fort Apache" et "Le fils du désert" notamment, qui contribue à mettre l'ambiance du début à la fin sans jamais faire vieillot. Chapeau !! Et de souligner la bande originale "Cavalery" qui donne du peps à l'ensemble !!!), ce qui donne cet effet de style recherché pour "La charge héroïque", sans doute le meilleur western de maître Ford en la matière, encore aujourd'hui !
    Fortement recherché dans la forme classique, ce John Ford a tout pour plaire (hormis sa cavalerie qui joue bien mal, n'en déplaise à John Ford ; cavalerie dans laquelle on retrouve John Wayne (bien sûr), Victor McLaglen (autre vétéran du genre : "Le mouchard", toujours de Ford !!!, "Rio grande", "L'homme tranquille", ...), Harry Carey Jr (John Wayne fut ami avec son père, Harry Carey Sr, acteur lui aussi au temps du muet. Jr s'est illustré dans "La rivière rouge" d'Hawks (faut il rappeler le réalisateur pour ce film ?), "Le fils du désert", "La prisonnière du désert", "Rio Bravo"... et vu tout dernièrement dans l'un des derniers bons western (pour moi !), "Tombstone" de George Pan Cosmatos), Joanne Dru (vue par la suite dans "La vallée de la vengeance" de Richard Thorpe et "Sylvia" avec Caroll Baker) et Ben Johnson (dont l'aura n'est plus à démentir : "La vengeance aux deux visages", "La horde sauvage" et "Le chasseur" pour ne citer que ces trois là !)). un soir d'été.
    Spectateurs, voici un bon John Ford agrémenté d'un effet so kitsch qui ravira les purs fans de westerns.
    Patjob
    Patjob

    19 abonnés 548 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2022
    Contrairement à ce que le stupide titre Français laisse supposer, aucune charge, encore moins « héroïque » n’est présente dans ce film, western au ton mélancolique auquel le titre original convient autrement mieux (« Elle portait un foulard jaune »). Dans l’environnement superbe de Monument Valley, entre quelques scènes lumineuses et colorées, c’est le plus souvent la nostalgie, parsemée d’humour (l’excellente scène de la contestation écrite des ordres), qui l’emporte : celle du personnage principal, magnifique mélange de principes, de clairvoyance et de sensibilité, excellement incarné par John Wayne, qui vit ses derniers jours dans l’armée, son seul univers depuis sa lointaine jeunesse, et va s’épancher sur la tombe de sa femme. La plus grande qualité du film est l’humanité avec laquelle John Ford regarde tous ses personnages, avec le souci du détail expressif et symbolique, souvent émouvant. Aucun manichéisme dans la démarche, ni entre les « rivaux qui se disputent la belle », ni même entre les peuples (tuniques bleues et indiens, malgré le traitement infligé aux fournisseurs d’armes). L’autre grande qualité est celle des images, d’une confondante beauté, en particulier celles en extérieur, lors des moments d’adversité ou de détresse (la colonne face à l’orage qui gronde, le retour de l’expédition au fort…). Seules la scène lourdingue de l’arrestation de Quincannon au bar et une courte conclusion pompeusement glorificatrice qui apparaît artificiellement plaquée sur le film nuisent à une forme de perfection.
    selenie
    selenie

    5 429 abonnés 6 015 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mars 2019
    Une fois de plus Ford met en valeur des personnages de caractère dont McLaglen une fois de plus impayable en sergent porté sur la bouteille, John Agar en jeune lieutenant plein de qualité et jeune premier et, surtout, un John Wayne dans un de ses meilleurs rôles. Un tournage en couleur Technicolor ("...Fort Apache" était en Noir et Blanc !) qui change la perception et qui sera en prime salué par l'Oscar de la meilleure photographie pour un film en couleur... John Ford signe là un film moins militariste que "... Fort Apache", avec une nostalgie plus forte qui apporte une émotion plus forte qui fait de ce film le plus touchant des trois. Ford signe un western humaniste plein d'espoir tout en étant réaliste sur les tenants et aboutissants. Un grand film une fois de plus à voir et à revoir.
    Site : Selenie
    NicoMyers
    NicoMyers

    50 abonnés 302 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 décembre 2008
    La Charge Héroïque est assurément une œuvre étonnante. En tout cas elle ne ressemble pas au commun des westerns ! D’un côté, Ford développe assez bien son personnage principal de Capitaine obligé de partir à la retraite, d’un autre son scénario est assez étrange, décousu et sans véritable ligne de conduite (au milieu du film le ton change et la poursuite est laissée de côté, et les dernières minutes sont légèrement décevantes). Car au final, que nous a-t-on raconté ? Simplement le départ à la retraite difficile d’un vrai patriote. Un scénario assez limpide, mais dans lequel on retrouve bien l’enthousiasme Fordien dans certaines séquences de vie en communauté, et le schéma habituel de l’ordre changé puis réparé (ici assez épuré, puisque c’est la vie habituelle du héro qui est menacé par l’approche de la retraite). De plus, il est visuellement réussi, surtout pour les plans de paysages (Monument Valley), alternant entre les scènes de nuit et les couleurs frappantes du jour ou des couchés de soleil. Pour conclure, on reste sur sa faim. Notre cœur hésite entre le bon, le côté enchanteur et rythmé, l’aspect visuel, et le moins bon, à savoir un scénario pauvret et décousu. Une intrigue sans intrigue, mais racontée avec amour par Ford.

    Ma note : 7.5/10
    flushroyal
    flushroyal

    24 abonnés 910 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juin 2011
    Ce western classique à l'ancienne constitue un bel hommage à la cavalerie, à l'armée et aux hommes qui ont passé leur vie au service de la défense de leur pays. Le tout traité par le duo mythique de l'ouest à savoir James Ford et John Wayne. La mise en couleur a beaucoup apporté au film donnant à cette marche un côté plus majestueux. Si les séquences de combats paraissent complètement dépassés aujourd'hui, c'est le rapport entre les personnages notamment celui de John Wayne et ses hommes que l'on retiendra. L'ensemble n'est pas dénué d'humour avec le personnage de Victor McLagen notamment. L'émotion est également de mise. On pardonnera ainsi un scénario un peu bancal par moment. Enfin, si cette fameuse charge au final paraît peu vraisemblable, c'est surtout le message pacifiste de l'ensemble que l'on retiendra, et la preuve que le cinéma n'a pas d'âge quand il traite de thèmes universels et intemporels.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2008
    «She wore a yellow ribbon» (USA, 1949) de John Ford, derrière ses attributs fordiens, déploie le crépuscule enfouis jusqu’ici dans l’œuvre du cinéaste. Ford éclaire les derniers jours de service d’un capitaine de l’armée américaine (John Wayne) sur le point de prendre sa retraite. Avant que de se retirer dans les villes naissantes des Etats-Unis, le colonel Brittles doit mener à bien une ultime mission. Ford, dans ce compte à rebours avant la mort d’une génération, réalise un des premiers films crépusculaires. J’écris volontairement un anachronisme mais il ne sert qu’à mieux notifier la réussite du film. L’appellation n’apparaît principalement que dès le cinéma de Sergio Leone mais Ford élabore l’intrigue d’une telle façon qu’il est difficile de ne pas bâtir un appontement entre son cinéma classique et la modernité qui lui succèdera. En outre, les rouges effluves qui s’émaillent dans les cieux et saignent le monde d’un coucher de soleil ténébreux ne sont que l’ajustement de la Nature aux émotions de la communauté. Ce serait une variation de plus d’une constante fordienne si seulement ce film-ci n’avait de singulier de relater le ploiement des aînés sous l’ambition des jeunes. Et Ford prend le soin tout humaniste de consigner cet état de fait chez les américains comme dans les tribus indiennes. En l’occurrence, lorsque la Nature s’assujettit aux émotions de la old school, et de toute la communauté, elle zèbre les nuages de tonnerres aigus. Là encore, la notion de communauté prédomine sur celle de l’individualisme. Il ne faut qu’un pas pour hypothéquer sur le communisme latent de John Ford. Le drapeau rouge flamboyant qui s’ensuit au générique devrait achever de convaincre d’un «certain communisme» fordien. Evidemment il ne s’agit pas de politique mais bien de la défense seule d’un idéal. Et c’est cet idéal, cet équilibre des âges qui est menacé par la prise de pouvoir des cadets. Après avoir développé une chute de l’harmonie, Ford en opère le rétablissement.
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