Avis : Cendrillon - Page 6

Le plus mythique des contes de fée adapté au grand écran par Walt Disney le bien-nommé. Mais cela nous ramène très loin: en 1950 plus précisément. La guerre ayant cruellement impacté l'économie, même cinématographique. On peut donc parler d'un retour en force bien mérité après quelques longues années de latence. Inspiré en grande partie de l’œuvre originale de Charles Perrault, éditée en 1697, Cendrillon est devenu aujourd'hui un grand classique universel, une référence de féérie et d'onirisme féminin. Tout le monde connait cette histoire de la servante tyrannisée par sa marâtre et ses horribles demi-sœurs. L'arrivé de la marraine fée, la pantoufle de verre, le prince charmant, patati patata...L'histoire est tout ce qu'il y a de plus gentillet: les oiseaux qui chantent, les souris couturières, les chansons guimauves, le stéréotype idéalisé du couple princier, comparable à Barbie et Ken. En même temps, c'est du Disney tout ce qu'il y a de plus Disney, c'est à dire une animation de qualité, qui ne vieillit pas, et de l’amour les amis, de l'amouuuuur! Et de l'humour aussi. On ne peut que se laisser attendrir face à la gentillesse et la patience de la jeune filles, et glousser devant les numéros poilants du chat Lucifer. D'un point de vue plus symbolique, on y retrouve la peur d'une indépendance grandement méritée, à la perte de la virginité, symbolisée par la pantoufle de verre. Une subtile transition entre l'enfance et l'âge adulte (pas d'adolescence dans un Disney). Une gentille animation qui fera encore longtemps rêver les petites filles, et rire les petits garçons. Culte. 4/5

Adaptation d'un conte universellement connu, Cendrillon s'inscrit dans la parfaite lignée des chef-d'œuvres de la compagnie. L'animation est d'une beauté remarquable et la magie inonde le film: le spectateur tombe sous le charme. En 1950, Cendrillon renforce le poids de la firme sur le marché du dessin animé après les nombreux "packages" au succès timide.

« Cendrillon » fait partie des classiques Disney que tout le monde ou presque a déjà vus, moi y compris, étant enfant. A ce titre nombre de scènes m'étaient restées en mémoire, et j'avais une certaine estime pour ce long métrage, malgré le fait qu'il soit plutôt destiné aux petites filles. Après l'avoir revu bien des années plus tard, je dois dire qu'il conserve une partie de son charme, mais qu'il me semble assez bancal. L'animation est de qualité, même si comme souvent chez Disney, les animaux sont bien mieux animés que les humains. Cette maladresse de l'animation a cependant un aspect « artisanal » touchant, et elle n'atteint pas les bas-fonds des années 1990, donc je ne ferai pas le difficile sur cet aspect. En revanche, aussi bien du point de vue du scénario que des décors, on sent que c'est un petit conte, une sorte de nouvelle, bref un matériau de moyen métrage, qui a été étiré autant que possible. En résultent pas mal de scènes de remplissage, et du point de vue visuel, des décors qui font parfois « vide ». Le conte est fort simple, et le studio a eu toute les difficultés du monde à en faire un vrai long métrage d'1h30. Quand on le compare à « Alice au Pays des Merveilles », développé en parallèle et sorti peu après, « Cendrillon » fait pâle figure. Quand il n'y a pas une seconde sans qu'il se passe quelque chose, le tout dans des décors luxuriants dans le premier, le second n'offre pas grand chose à se mettre sous la dent. Quelques séquences marquantes toutefois, avec des personnages secondaires (les souris !) amusants ou pleines d'un merveilleux un peu suranné, mais néanmoins qui fait mouche. Les « méchants », ou plutôt les méchantes sont réussies, détestables à souhait. Mais l'ensemble fait assez convenu, c'en est presque un cliché de l'univers Disney, tel qu'on se l'imagine aujourd'hui, alors qu'il masque des tous premiers longs métrages qui ont fait date dans l'histoire du cinéma, sans même parler de l'animation. J'ai donc passé un bon moment en revoyant ce « Cendrillon », mais je n'irai pas jusqu'à le qualifier de chef-d’œuvre, loin de là. Je préfère même vous renvoyer vers les deux courts métrages de Georges Méliès consacrés au célèbre conte, qui en quelques minutes donnent vie à un monde merveilleux profondément original et de toute beauté, avec un sens de l'humour et du détail qui leur donnent une saveur bien plus appréciable que le dessin animé de Disney.

Un classique intemporel et efficace, domptAntoine une incroyable bande originale et un graphisme delicat : Cendrillon est l'exemple même de la recette d'un film d'animation réussit et idéal pour toute la famille, à voir.

Un chef d'œuvre que les petits et les grands prennent plaisir à voir et revoir ! Même si les graphismes ont pris un coup de vieux , normal par rapport à sa création, il n'en demeure pas moins que la magie Disney est bien réelle , les yeux des enfants brillent, l'histoire fait rêver les petites filles , une réussite

Ce film de Walt Disney datant de 1950 est assez agréable à voir. Cendrillon est une honnête distraction qui porte vite ses propres limites. Les meilleures trouvailles du film restent la scène de la transformation de la citrouille en carrosse et le personnage du chat Lucifer, dans un rôle très personnel de méchant qui est inoubliable lors de sa chasse à la souris, celle-ci un moment ressemblant à une partie de bonneteau. Le film a la bonne longueur (1h16), ce qui ne génère ainsi peu d’ennui chez le spectateur. Le père du prince est aussi assez touchant et drôle. Le scénario est quand même limité et un peu réactionnaire. Les deux filles de la belle mère de Cendrillon sont des gros boudins en plus méchantes et Cendrillon est belle et gentille. Le conte de Perrault avait peut être plus de subtilité. Les personnages secondaires humains ne sont pas assez développés. Les souris ont dû influencer l’histoire du film Ratatouille. A noter le mauvais doublage en français et les voix de vieux choisies pour le prince charmant et Cendrillon. Les réserves relatives que l’on peut donner au film ne tiennent pas à son époque et des moyens techniques époustouflants actuels car les animations actuelles de Pixar apparaissent supérieures grâce aussi à des scénarios plus élaborés.

12ème classique d'animation des studios Disney, Cendrillon est un jolie dessin animé même s'il s'adresse plus à un public féminin et enfantin. L'histoire qui est très simple est plaisante à suivre même si au final on voit très peut cendrillon et qu'en réalité ça tourne plus autour des petites souris et des autres animaux. Les souris justement sont la pour nous faire rire avec leur petites voies toutes chou et leur péripéties avec le chat Lucifer. Les personnages d'une manière générale sont très réussi que ce soit la jolie Cendrillon, les animaux ou encore les vilaines Javotte et Anastasie ainsi que la méchante et terrifiante marâtre. Les dessins eux sont très beaux et les chansons sont agréables même si elles sont peut nombreuses. Par contre j'ai trouvé la fin trop vite expédié et un peut raté et l'émotion n'est pas au rendez-vous. Cendrillon est un bon Disney qui vous fera passez un bon moment mais ce n'est pas le plus mémorable même s'il mérite d'être vu.

Sorti en 1950, ce douzième « classique d’animation » des studios Disney est toujours aussi enchanteur plus de 70 ans après son apparition sur les écrans. Adaptant le conte popularisé par Charles Perrault et les frères Grimm, les équipes de Disney adjoignirent à la belle Cendrillon une ribambelle d’animaux plus ou moins fréquentables pour étoffer son histoire. On y retrouve ainsi des fidèles souris, des gentils oiseaux, un chat méchant, un chien mou du genou, autant de partenaires vivant des sous-intrigues aussi palpitantes que celles de l’héroïne. Cendrillon elle, est toujours malmenée par son acariâtre de belle-mère et ses deux filles balourdes et jalouses de la grande beauté de leur belle-sœur. Un final un brin bâclé pour un dessin animé qui n’a quasiment pas vieilli, et dont les codes cinématographiques fonctionnent encore aujourd’hui à merveille.

La princesse à la pantoufle de verre laissée au bas de l’escalier précipitamment pendant la soirée de gala buffet royal, recherchant désespérément cette fiancée idéale pour le prince charmant célibataire endurci. Au château du roi qui se stresse pour un rien, juste une lignée à perdurer son royaume en une tension qui monte, un grand conte populaire culte ces douze coups de minuit comme décompte célébré. Un peu de magie pour remonter le moral de ces conditions au milieu avantagé mais contrarié, une fiction roman féerique typique. La belle-mère et ses deux filles parfaites méchantes à l’égard de la douce servante forcée malgré un père aisé cherchant à perdurer les conventions imposées de son rang, en choisir une après son veuvage est une chose, oh combien intelligente réflexion des rangs sociaux dans l’ancien régime. Une adaptation excellente d‘un conte à l’air plutôt soft, la marâtre cliché aux belles sœurs d’une mocheté, ça en fait une animation très drôle tout sourire. Les souris sont agréables, mignonnes, des bêtes charmantes à accompagner l’attentionnée demoiselle d’honneur, surmontant ses peines enfin récompensés par le coup de baguette magique venu d’une fée de nulle part. Je n’en reviens pas de cette fabuleuse facilité créative Disneyienne, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants telles les dictons en fin de conte de fée.

Un classique de Disney ! Avec des héros qui chantent et des animaux qui parlent ! Il nous apprend à ne pas nous morfondre sur notre sort. Tant qu'il y a de l'espoir, tout n'est pas perdu.

Disney adapte le roman de Charles Perrault : « Cendrillon ou la Petite pantoufle de verre » paru en 1697 et s’inspire du roman des frères Grimm : « Aschenputtel » publiée en 1812 pour réaliser Cendrillon (1950), très beau conte où une jeune fille est recueillie par sa belle-mère et ses deux demies-sœurs. Ces trois dernières vont lui faire vivre un vrai cauchemar, devenue leur bonne à tout faire, surexploitée, elle va pourtant parvenir à reprendre confiance en elle, le jour où sa marraine la fée lui permettra d’accéder au bal et de faire la rencontre décisive de sa vie !
Un grand classique Disney ponctué de chansons au gré des sales coups que lui réserve sa belle-mère. Des personnages attendrissants, une pincée de magie, un zeste d’humour et un brin de tension avant le happy end de rigueur, ce n’est finalement pas pour rien si ce film est parvenu à attirer en salles plus de 12 millions de spectateurs dans l’hexagone il y a plus de cinquante ans. Pour la petite anecdote, le film fut nommé à trois reprises aux Oscar en 1951 : pour la Musique Originale, la Meilleure Chanson "Bibbidi-Bobbidi-Boo" et pour le Meilleur Son. Et enfin, pour les plus curieux, sachez qu’il existe à ce jour, deux DTV intitulés : Une vie de princesse (2002) & Le Sortilège de Cendrillon (2007).

Un bon film d'animation de Walt Disney sur un conte de fées de princesse d'après le conte de Charles Perrault.

En 1950, "Cendrillon" marque le retour tant attendu des studios Disney dans la production de long-métrages d'animation après huit années d'oeuvres compilatrices, ouvrant en grandes pompes la nouvelle décennie. Version superbe inspirée des contes des frères Grimm et Perrault, l'oeuvre fait en effet partie des incontournables de la franchise, comportant en outre toutes les recettes miracles ayant fait le succès de cette dernière. Entre émotion, romantisme et humour, les trois réalisateurs orchestrent un pur instant de grâce et d'inventivité, nous semblant comme bien des fois, fruit d'une déconcertante facilité. le demi-siècle a eu beau passer, on vit encore avec un large sourire les rapports de l’héroïne avec ses animaux ; en particulier les deux mordantes souris Jack et Gus. On éprouve encore de la même manière autant d'effroi et de colère vis-à-vis de la terrible marâtre et ses deux affreuses filles, bien secondées par leur infernal chat Lucifer. Réalisé en une période proprement faste pour Disney mais également pour tout cinéma américain, "Cendrillon" vous assurera une heure quatorze minutes de bonheur garanti.

Cela faisait un petit moment maintenant que je ne m’étais pas refait un petit Disney. Voulant continuer dans ma collection et profitant d’être en tête à tête avec bébé, c’est ainsi que je me suis retrouvé devant « Cendrillon ». Ce long métrage d’animation n’a pas spécialement ma préférence mais c’était à son tour d’être lancé dans mon lecteur.

Si ce film n’a pas ma préférence, ce n’est pas parce qu’il est mauvais. C’est surtout parce que je n’accroche pas plus que cela à cette histoire. Le scénario est assez basique, tout le monde connaît ce récit par cœur même sans avoir vu le classique de Disney, ni lu le conte de Charles Perrault. Cette histoire de princesse maltraité par sa belle mère (Disney avait-il un problème avec sa propre belle mère ?) qui rencontre un prince assez fade et vécurent heureux jusqu’à la fin des temps, ce n’est juste pas ma came.

Après, tous les ingrédients sont là et on ne peut pas dire qu’on nous ment sur la marchandise. C’est une jolie petite histoire qui plaira aux plus jeunes surtout si on aime les aventures de princes et de princesses. On a une belle morale, rien de bien exceptionnel mais c’est aussi pour ça qu’on voit ce genre de film, pour avoir une belle histoire a raconter et tant pis si c’est ultra lisse.

Côté casting vocal, comme toujours pour un dessin animé, j’ai opté pour la version française et vu que j’ai regarder ce film en dvd, je pense que c’est le second doublage de 1991 que j’ai eu. Si j’ai toujours du mal avec cette façon de retravailler les films avec le temps (le côté ancien donne du charme à certaines œuvres si on est capable de les remettre dans leurs époques), le doublage est plutôt correct. Rien de bien fou une nouvelle fois, il n’y a pas une grande personnalité vocale dans les timbres de voix mais le boulot est fait.

Quant à la réalisation de Clyde Geronimi, Wilfred Jackson et Hamilton Luske, elle est aussi correct. On retrouve les plans phares de cette histoire, ceux qui ont marqués le temps comme la fameuse citrouille qui devient carrosse ou la mythique pantoufle de verre. Au-delà de ça, c’est simple et assez plat. On va vite d’un point A à un point B sans trop de risques, sans se mouiller.

L’animation est fluide avec de beaux dessins même si là encore, il m’est difficile d’être plus tranché dans mon avis tant Disney retravaille ses œuvres. La durée assez courte fait que ça passe assez vite et même si la musique a été nommé à l’Oscar à l’époque, difficile pour moi de l’apprécier plus que de raisons car hormis la chanson (également nommé à l’Oscar) « Bibbidi-Bobbidi-Boo », il n’y en a aucune qui me reste vraiment en tête à l’issue de mon visionnage.

Pour résumer, « Cendrillon » n’est en soit pas un mauvais Disney. Il reprends toutes les ficelles de la maison à la souris dans un conte ultra simple et plat qui ne réserve pas de surprises. Pour un jeune public, ça fait le boulot. On a une belle histoire de prince et de princesse avec un joli message sur les rêves qui peuvent devenir réalité. Pour ma part, ce n’est pas ma came et il me manque un petit quelque chose, un peu de folie par exemple, pour vraiment adhérer à la chose. Un classique trop classique qui ne me marque pas plus que cela décidément.

Mr Vladdy – 19 décembre 2018.

Comme la plupart des Disney, ces films sont cultes et sont des incontournables des films d animations et du cinéma. Cendrillon, malgré son âge est plutôt bon et vieillit plutôt bien ! C etait un bon film à sa sortie, et aujourd'hui c est toujours un bon film !