Avis sur 48 heures de plus

Une suite tout aussi efficace que le 1er ; Walter Hill filme avec une réelle chorégraphie ses scènes d'action. Dommage qu'Hollywood n'a plus le même type de cinéma d'action.

même acteurs, même réalisateur, même résultat que le premier volet, divertissant et c'est tout !!!

La suite d'un bon film, il reste drole mais pas genial

"48h de plus", un film toujours porté par le tandem Murphy/Nolte, qui n'apporte pas vraiment de grand "plus". Un deuxième volet, certes divertissant, mais sans réel innovation majeur.

Un ton en de sous de 48h, cette suite est tout de même une réussite! Walter Hill a réchauffé la recette de son premier film et nous la resserre avec un grand sourire!

Une suite tout aussi efficace que le 1er, Walter Hill filme avec une réelle chorégraphie ses scènes d'action.

Encore meilleur que le 1èr volet,les dialogues et les gags sont encore meilleurs. Bref un très bon divertissement.

Comme le premier, du bon cinema pop-corn, mais pas plus.

Malheureusement comme très souvent une suite inutile et sans aucun intérêts .

je me souvien d'un bon film avec sont lot d'action et d'humour

Le réalisateur Walter Hill remet le couvert quelques années après le premier opus, et ce coup là c'est inférieur. Il reprend les mêmes ingrédients, non pas que cela fonctionne, au contraire le duo tient toujours la route, mais il délaisse quelque peu la nervosité des scènes d'actions pour nous donner encore plus de vannes et de clowneries, un petit peu dommage. 48 heures de plus se regarde avec plaisir tout de même, rien que la scène avec Eddie Murphy dans un bus, il écoute son walkman, j'en pouvais plus de rire, c'est du Chris Tucker avant l'heure.

Je pourrais copier/coller ma critique de 48 heures. 48 heures de plus est un excellent buddy-movie qui ne lance plus la carrière d'Eddie Murphy mais la relance. Car on est en 1990 et il a dû subir l'échec des Nuits de Harlem, film qu'il avait écrit et réalisé l'année précédente. Alors, il s'investit à nouveau beaucoup pour 48 heures de plus. Comme pour le deuxième épisode du Flic de Beverly Hills, il produit le film et en écrit l'histoire originale. Tout en étant payé quinze fois plus que dans le premier 48 heures tourné huit ans plus tôt. Bon, après on retrouve cette esthétique très années 80 qui va de la photographie jusqu'à la violence très exacerbée des scènes d'action, et les ralentis, qui rappellent le cinéma de Peckinpah. Même la musique de James Horner m'a fait penser à celle de Commando avec Schwarzy et pour cause, c'est aussi Horner qui en est le compositeur. J'ai noté la présence aussi d'Ed O'Ross en flic pourri qui n'est autre que le méchant de Double Détente. Film qu'avait réalisé Walter Hill deux ans plus tôt. Ce serait marrant de voir un autre 48 heures aujourd'hui qui pourrait éventuellement relancer les carrières de Walter Hill, Eddie Murphy et Nick Nolte qui en auraient bien besoin. Et pour le spectateur que je suis, revoir un bon buddy-movie à la fois drôle et violent comment on pouvait en faire dans les années 80 avec L'Arme fatale ou Double Détente.

Après l’énorme succès au box office de 48 heures (1982), Walter Hill n’a d’autre meilleure idée que d’en faire une suite, sobrement intitulée 48 heures de plus (1990) et réunissant exactement les mêmes acteurs que dans le précédent opus.
Le scénario, toujours aussi simple, on retrouve L'inspecteur Cates à nouveau aux côtés de Reggie Hammond, qui pour la seconde fois, quitte son pénitencier pour venir en aide à l’inspecteur (encore une fois). De nouveau, il est encore question de caïds et d’argents, avec, histoire de pimenter le tout, des flics ripoux !
Cette petite saga n’aura fait qu’exploiter le principe du buddy-movie, avec des disputes, des réconciliations, à nouveau des disputes et à nouveau des … bref, déjà que le premier volet ne volait pas bien haut, cette suite toujours aussi divertissante certes, ne vole pas haut, il était grand temps que Nick Nolte & Eddie Murphy s’arrête là !

Film d'action plutot plaisant. Le duo d'acteurs fonctionne plutot bien. Pas mal.

Après le gros succès de "48 heures" aux États-Unis, voila une suite qui n’annonçait rien de bon mais qui se révèle être une bonne surprise par rapport au premier volet.
Suite à une opération qui a mal tourné, Jack Cates est suspecté d'homicide involontaire sur un complice d'Iceman, un puissant baron de la drogue. Pour se sortir de ce mauvais pas, il va chercher en prison son ancien "coéquipier" Reggie Hammond. Mais celui-ci est la cible d'un gang de motards...
La réalisation n'a pas beaucoup changé: la mise en scène est sympathique, le cadrage correct, les prises de vues simples, les mouvements fluides et la profondeur de champ bonne.
Le scénario est dans la même veine que le premier mais le rythme est bien meilleur. On s'ennuie pas, les scènes s’enchaînent très bien, les scènes d'action ont repris du poil de la bête, il n'y a pas beaucoup d'incohérences, pas beaucoup de longueurs, des clichés viennent pourtant gâcher la fête, ainsi que des rebondissements un peu faibles et le climax estlégèrement tiré par les cheveux.
Les acteurs sont toujours bons mais toujours pas merveilleux.
Les personnages n'ont pas beaucoup évolué mais les antagonistes sont beaucoup plus charismatiques.
Les dialogues sont bons et font souvent rire.
La photographie n'est pas très bonne; la lumière a très mal vieilli et les couleurs ne sont pas très belles.
Le montage est beaucoup plus fluide et intense et ça fait du bien.
Les décors sont bons, les costumes réussis et la musique toujours aussi chouette.
"48 heures de plus" surpasse son prédécesseur pour nous offrir un bon petit polar amusant.