Avis : Le Seigneur des anneaux : les deux tours - Page 4

Entre le 1er volet Excellent et le 3e Chef d'oeuvre, voici le 2e volet épique. Tout est dit !
Mention spécial à Andy Serkis, l'interprète de Gollum incroyable en schizophrène

Le Seigneur des Anneaux, deuxième opus. Difficile à nouveaux de poser des mots sur ce film, moi qui suis tout sauf un inconditionnel du genre. Oui le genre fantasy, médiéval épique, etc, tout ce qu’on veut, ce n’est pas vraiment ma tasse de thé. Mais force est de constater que je n’ai pas non plus détesté ce film.

Je sais entre autre lui reconnaître des qualités de mise en scène, de rythme et de techniques, d’effets spéciaux, aussi. C’est du grand divertissement, vraiment. Je suis assez allergique aux films dont la durée frôle les trois heures, pourtant je ne me suis pas ennuyé devant ce film.

Cela ne veut pas dire non plus que j’ai été jusqu’à prendre mon pieds, faut pas déconner. Car si je ne suis jamais totalement rentré dedans, c’est à cause du scénario qui me perd très rapidement. Déjà que je ne suis pas un fan de l’univers, si ensuite je dois me rappeler d’une vingtaine de noms de personnages/royaumes/créatures et tout et tout pour suivre l’histoire, ce n’est pas pour moi. Puis en ce qui concerne la quête initiale, j'ai juste l'impression que ça avance pas vraiment, enfin qu'on est sur la même lancée que le premier film : on sait vers quoi on va, il y a des obstacles, on les franchit avec plus ou moins de succès, mais on en est toujours au même point, grosso modo.

Du coup oui, à la fin, je suis un peu paumé et j’ai l’impression d’être passé côté de plein de trucs à cause des moments où je suis sorti du film tellement j’étais perdu. Et ce qui est terrible c'est de savoir au fond de soi qu’au final le film se tient à peu près, sinon la trilogie n’aurait pas tant été plébiscitée. C’est juste que ce n’est pas trop mon truc, bien que j’admette avoir passé un bon moment de cinéma car j’en ai pris plein la vue pendant ces trois heures, entre les batailles et les formidables paysages.

Je vais même prochainement me lancer dans le troisième et dernier opus pour enfin clôturer cette trilogie que je devais bien finir par voir, car il s’agit tout de même d’une des sagas majeures des années 2000. J’espère donc finir sur une bonne grosse impression, plutôt que sur la même longueur d’ondes qu’en ce moment, à savoir mitigée : bien sans plus, car ça ne me touche personnellement.

Un chef d'oeuvre comme les deux autres épisodes! Une histoire géniale, des décors et des costumes qui n'ont jamais été aussi réussi au cinéma! Des batailles merveilleuses! Que du bonheur !

Comme la 1ère trilogie Star Wars, le second film est le plus réussi. mélangeant action, humour et film plus sombre, on ne s’ennuie jamais tout au long du film. La scène de bataille finale au gouffre de Helm mérite à elle seule le détour.
Bref : Sauron n'a qu'à bien se tenir !

Après l'excellent "La Communauté de l'Anneau" dans lequel Jackson avait su inculquer une force tragique dans le récit, "Les Deux Tours" avait de quoi être aussi bien, si ce n'est meilleur que la première partie du "Seigneur des Anneaux". Pour ainsi dire, j'en attendais beaucoup de cette seconde partie. Peut-être trop d'ailleurs. Certainement trop, car "Les Deux Tours" m'a profondément déçu. Certes, Peter Jackson signe toujours un divertissement de qualité qui est bien suppérieur à tout ce que Hollywood peut offrir, mais en comparaison à "La Communauté de l'Anneau", "Les Deux Tours" ne lui arrive pas à la cheville. La Communauté est brisée et l'on suit séparément les membres restants: Aragorn, Gimli et Legolas dans un premier temps, Frodon et Sam ainsi que Merry et Pippin. Jackson espérait apporter un rythme constant histoire que le spectateur ne s'ennuie pas en jonglant simultanément entre les différents protagonistes. Si, à certains moments, cette méthode est réussie, on regrette que certains personnages (notamment les Hobbits) soient délaissés au profit du trio Aragorn/Gimli/Legolas. Certes, le bouquin s'attardait dans le Livre III sur ces trois, mais le Livre IV était centré plus sur les relations entre Frodon, Sam ainsi que Gollum. La moitié du Livre IV sera transposé à l'écran dans "Le Retour du Roi", mais c'est une petite déception concernant les événements qui entourrent le porteur de l'anneau. Dommage que Peter Jackson désirait ardemment plaire au public qui, devant la potentielle lenteur de "La Communauté", met en avant la fantastique bataille du Gouffre de Helm, mais avec des détails qui gâchent la qualité de cette scène, comme lorsque Legolas s'amuse à dégommer des Uruk-Haï en faisant du skate avec un bouclier (mais qu'est-ce c'est ringard et hors propos!). Si la fluidité de la mise en scène est convenable, certains passages demeurrent illisibles (ah, cette caméra qui bouge dans tous les sens... Heureusement que Jackson n'en abuse pas!). "Les Deux Tours" avait de quoi surpasser le précédent volet de la trilogie, surtout que le livre était riche en situations épiques. Ce côté épique est toujours là, mais le problème réside à ce que Jackson délaisse la maturité présente dans "La Communauté" au profit d'un côté plus grand public.
Si "Les Deux Tours" est le moins bon épisode du "Seigneur des Anneaux" (en film, je précise bien) à cause de ces défauts apparents, il en demeure tout de même un bon divertissement qui se laisse regarder sans problèmes, même si l'intelligence est sacrifié au profit du grand spectacle.

Encore plus épique et réussi que son prédecesseur ! Avec la gigantesque bataille du gouffre de Helm en point d'orgue ! Rien à redire !

Disloquée, la "Communauté" poursuit sa quête au cœur de la Terre du Milieu en petits groupes : Aragorn, Legolas et Gimli se lancent à la recherche de Merry et Pippin, enlevés par des Orques alors que Frodon poursuit sa destinée en direction du Mordor, en compagnie de Sam. Un second volet supérieur au précédent à bien des égards. Plus riche, plus intense mais aussi plus drôle et surtout plus spectaculaire, à l’image de la dantesque bataille du Gouffre de Helm. Dès l’introduction, la mise en scène de Peter Jackson impressionne même si on peut lui reprocher quelques baisses de rythme ici et là. Les paysages sont magnifiques, les décors et les effets spéciaux toujours aussi splendides, tout comme la BO d’ailleurs. Avec « les Deux Tours », les personnages gagnent également en profondeur. L’importance du rôle de Sam, brillamment joué par Sean Astin, s’installe gentiment, Gandalf spoiler: passe du "Gris" au "Blanc"
et Gollum/Smeagol fait enfin son apparition. Andy Serkis y livre une composition virtuelle exceptionnelle en donnant vie à ce personnage emblématique de l’œuvre de Tolkien, plein de complexité et rongé par son "précieux".

Après un premier volet passionnant, Jackson nous livre un an plus tard " Les Deux Tours " Le film tourne autour de la communauté de l'anneau, désormais divisée et ayant perdu des membres, qui cherche désormais soi à détruire l'anneau au Mordor ou soit sauver le Gondor des hordes d'orques dirigés par le mage tout-puissant Saroumane. Celui-ci a emprisonner l'esprit du Roi du Gondor et garde de cette manière un contrôle indirect sur le royaume tant convoiter qui reste un obstacle majeur pour le Seigneur des Ténèbres, Sauron. Dès la scène d'ouverture, la couleur est annoncée. Le combat entre le Ballrog et Gandalf est impressionnant, noter également ce superbe point de vue quand tout deux descendent peu à peu vers le lac souterrain. Mais ne gâchons pas le plaisir à ceux qui ne l'ont pas vu. Nous suivons donc nos deux Hobbits, qui voyagent au travers les terres hostiles qui mènent à la Porte Noire, désormais guider par Gollum. Andy Serkis prouve son talent d'acteur, par le biais de ses expressions effrayantes qui vont le rendre célèbre, et tout cela résulte sur un personnage dont nous avons tous au moins entendu parler, que ce soit à cause de sa voix chevrotante ou par son inconditionnelle vénération envers l'anneau Unique. Vous l'aurez compris, ce film ne fais pas dans la dentelle. Il n'y qu'à voir la bataille entre les Rohirrim et les Wargs. ( Et je ne parle pas de l'acrobatie de Legolas pour monter à cheval, il le fait avec une telle facilité qu'il pourrait se recoiffer entre temps ) Mais la grosse scène c'est définitivement la Bataille du Gouffre. Du début à la fin, elle est stupéfiante. Quel plaisir d'observer les gros blocs de pierre s'écraser sur les légions d'Uruk-hai... Il n'empêche que la bataille n'est pas tout le long dominer par les Hommes ( Et les Elfes ) C'est ce qui me plaît bien dans cette bataille. On sait les enjeux qu'elle comporte, ce qui nous laisse nerveux enfin de compte. ( Il faut avouer la mauvaise chance du Roi Théoden qui ne tient pas dix secondes avant de se faire toucher ) Les Hobbits pendant ce temps continuent de parcourir la Terre du Milieu, et inlassablement de se rapprocher de plus en plus de leur objectif. Un très bon film, une très bonne suite.

Le seigneur des anneaux : les deux tours est un bon film avec des décors toujours aussi magnifique, et une BO extraordinaire mais cette suite est moins bien que le précédent film car j'ai eu l'impression qu'il n'y a pas eu d'avancement au niveau de l'histoire, trop de scènes sans intérêt (notamment les rêves d'aragorn). Mais bon, ce film reste quand même un des meilleurs du genre !

Réussi. Même si la communauté est divisé, les personnages restent forts et intéressants, et la mise en scène, l'action et les décors sont toujours aussi fascinants. Même si la magie s'est légèrement dissipé par rapport au premier épisode, on ne peut être qu'enchanté par une si belle épopée.

Cette deuxième partie de l'épopée fantastique sortie de l'imagination de J.R.R. Tolkien et magnifiquement portée à l'écran par Peter Jackson est très réussie. Le casting reste le même, du moins tout ceux qui ont survécu à la première partie, le scénario est un peu tirée en longueur mais les nombreuses scènes de batailles sont si bien orchestrées, les dialogues si bons et fluides et l'histoire si passionnantes que les 3 heures que durent le film passent très vite!

Un peu mieux réussit mieux que le premier, il y a de l’actions, des batailles, un peu d’humours, bref ce genre de film est vraiment génial, selon moi. Un Chef d'Oeuvre, 5/5.

Toujours aussi parfait ! Le Seigneur des anneaux : les Deux Tours est l'opus de la trilogie que j'ai le moins... ça serrait un peu fort de dire que c'est celui que j'ai le moins aimé mais aucun autre terme ne me vient à l'esprit. Quoi qu'il en soit, cette suite est un chef-d’œuvre ! Il y a énormément d'action et d'émotion mais ce n'est pas la seule force du long-métrage ! Les effets visuels, la photographie et les décors sont excellents et réalistes. La bande originale ressemble à celle de l'opus précédent mais ce n'est pas un moins, au contraire ! Les acteurs (Elijah Wood, Ian McKellen, Viggo Mortensen, Sean Astin, John Rhys-Davies, Orlando Bloom, Billy Boyd, Dominic Monaghan, Christopher Lee, Liv Tyler, Hugo Weaving et Cate Blanchett) sont excellents, les nouveaux acteurs (Andy Serkis, Miranda Otto, Karl Urban, Bernard Hill, David Wenham et Brad Dourif) le sont également. Le script est parfaitement bien ficelé ! Les costumes sont bien faits et les créatures sont bien imaginées. Quant aux personnages, ils sont développés, celui qui m'a le plus marqué c'est bien sûr Gollum spoiler: (ils est drôle, mystérieux, effrayant, sombre, imprévisible et semble atteint de schizophrénie)
. Je sais que ma critique ressemble beaucoup à celle de La Communauté de l'Anneau (c'est d'ailleurs pour ça que j'ai décidé de la faire courte) ; c'est parce que les deux long-métrages ont les mêmes atouts. C'est pour moi l'opus le plus sombre de la saga !

Un poil mieux que le premier(qui est extrêmement dur),la part belle est donné a l'isengard et a saruman qui donnent du file a retordre.Encore une fois la musique nous prend aux tripes(comme la fameuse scène ou Sylverbarbe hurle et que toute la foret se déplace pour marcher sur l'Isengard)sans oublier(ce qui serait une honte)la magnifique bataille du gouffre de Helme.Visuellement superbe.A ne SURTOUT PAS MANQUER.

Paysages dantesques, effets spéciaux magiques et scènes de combats à couper le souffle sont au rendez-vous de ce deuxième volet magnifiquement adapté par Peter Jackson. La bataille finale est un très grand moment de cinéma.