Sans une once d’hésitation, voilà le chef-d’œuvre dévoilé de cette réalisation proche de l’étoile de la perfection, par ce nom qui maîtrise les scènes revient de droit vers la lumière de Superman, en souvenir de sa phrase d’anthologie, « il est interdit de modifier le cours du temps de cette histoire sur le triple 666 ».
L’antéchrist est l’apocalypse selon Abraham au nom du Père, du fils et du saint esprit, amen🙏et que le seigneur loue le ciel descendre sur la terre faite de contrariété si imparfaite aux hommes et femmes tourmentés, divisés, impuissants, complètement en transe total.
Figés par le mal terrestre divin, pourtant ce ne sera l’enfer, sa porte n’a jamais été ouverte, on n’a pas peur une seule seconde et c’est un film ma-gni-fique👏
L’enfant a le mal en lui a souvent été imité par la suite médiocrement avec beaucoup de sentiments mitigés, mauvais et ridicule, c’est clair, inimitable, celui-ci est un film encore plus fascinant, lent, il y en a des obstacles à surmonter afin de comprendre tout le sens.
La fin s’annonce à grand pas, une réponse immédiate à la proportionnalité éventuelle, un moyen nécessaire d’interrompre une action réelle, simultanée, injustifiée dans le lieu le plus sacré de la religion, où se trouvera des lois à oser défier.
Du moins quand on est du côté defensive envers l’Eglise, son ennemi juré ne l’entend pas de cette oreille, au sourire diabolique sous un visage d’ange enfantin, pas de tête d’enterrement comme cliché final, juste spectateur de cette fiction d’horreur.