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    No Pain No Gain
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    Chevalier du cinéma
    Chevalier du cinéma

    229 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 février 2014
    « Je m’appelle Daniel Lugo et mon credo c’est la culture physique. ». Quand Michael Bay décide de réaliser un film à petit budget sur une incroyable histoire vraie qui se déroula entre 1994 et 1995 cela donne un film complètement barré intitulé No Pain No Gain. Film bâtit pour devenir culte, No Pain No Gain est une excellente comédie noire et une très bonne surprise que nous fait Michael Bay. A Miami, Daniel Lugo, coach sportif, ferait n’importe quoi pour vivre le « rêve américain » et profiter, comme sa clientèle fortunée, de ce que la vie offre de meilleur : maisons de luxes, voitures de courses et filles de rêves. Pour se donner toutes les chances d’y arriver, il dresse un plan simple et (presque) parfait : enlever un de ses plus riches clients et lui voler… sa vie. Il va réussir à embarquer avec lui deux complices, Paul Doyle et Adrian Doorbal, aussi influençables qu’ambitieux. Mais le problème c’est que rien ne se déroule jamais comme prévu. Après avoir fait joujou pendant trois films avec ses robots Transformers, Michael Bay s’est offert une petite pose en réalisant un petit film à 26 millions de dollars de budget : No Pain No Gain. Après des films aux budgets pharamineux, Transformers 3 - La Face Cachée de la Lune à coûté pas loin de 200 millions de dollars, No Pain No Gain fait figure de minimoys dans la filmographie de Michael Bay qui n’a réalisé que des blockbusters bourrés d’explosions et de patriotisme américain avec entre autre la trilogie Transformers, Armageddon et Pearl Harbor. Habitué des gros succès aux box-offices son No Pain No Gain n’a pas dépassé la barre symbolique des 100 millions de dollars mais en a rapporté plus de 80 millions faisant ainsi de son film au joli petit succès si on regarde son budget. Et sinon à part la question de a-t-il marché au box office, est-ce que le dernier film de Michael Bay en date vaut le détour ? Et bien oui mais alors un grand oui puisque No Pain No Gain, comme certaines critiques le disent, est le meilleur film du réalisateur. Cette comédie noire est tout simplement démente et jamais on aurait imaginé Michael Bay réaliser un film avec un si petit budget et mettre en scène une histoire aussi folle et dramatique pour en faire un film quasiment déjà culte. Le film s’inspire en effet de « l’odyssée » criminelle du gang du Sun Gym qui a marqué les années 1990, enfin personnellement j’ignorais l’existence de cette folle histoire jusqu’à ce que Bay s’empare du film. Le réalisateur est en effet arrivé aux commandes du film alors que celui-ci peinait à se monter depuis dix ans ! Et le résultat c’est que Michael Bay nous offre une comédie noire qui fait une violente satire du rêve américain où trois kidnappeurs monte un coup au départ bien huilé mais qui va vite dégénérer avec drogues, meurtres et problèmes d’argent. Le point fort du film c’est qu’il traite cette histoire dramatique sous le point de vue de l’humour moqueur en faisant passer ses trois personnages principaux pour des abrutis, la réplique d’Ed Harris vers la fin illustre tout : « En fait la seule chose pour laquelle ils ne furent pas reconnut coupable, c’est-ce dont ils étaient le plus coupable : leur connerie d’abrutis débile. ». No Pain No Gain a la particularité de ne pas se prendre au sérieux alors que le sujet qu’il traite l’est entièrement et c’est ça la principale force du film, c’est qu’il méchamment drôle ! Les évènements narrés sont tellement incroyables qu’on a du mal à croire que trois culturistes aient enlevé un homme pour lui voler sa vie en le torturant dans un entrepôt plein de sex-toys, et afin de nous rappeler que les évènements sont vrais, à un moment du film, celui où le personnage de Dwayne Johnson fait un barbecue avec les mains des deux nouvelles victimes du gang, l’image s’arrête pour nous indiquer que oui, c’est toujours une histoire vraie. C’est très drôle mais en y repensant on se dit que c’est assez terrifiant cette affaire car le gang du Sun Gym aura quand même volé l’argent d’un homme, l’aura torturé pendant un bon bout de temps, tué un couple et découpé en morceaux les cadavres pour mieux s’en débarrasser. Sur cet angle là c’est glauque mais passé à la moulinette Michael Bay vous obtenez une histoire certes tragique mais très drôle. La force du film vient donc de son scénario génial, de sa mise en scène dynamique et stylée de Bay mais aussi de ses interprètes tous formidables. Mark Wahlberg est juste impeccable dans le rôle du cerveau du gang, bodybuilders un peu concon qui croit au rêve américain et qu’on peut le vivre en faisant quelque chose de mal et que ça n’a pas d’importance, ensuite la palme revient surtout à Dwayne Johnson qui dans le rôle de Paul Doyle, parfait idiot, livre sa meilleure prestation de sa carrière, un homme baraqué qui croit en Dieu comme jamais et totalement fou par moment. Anthony Mackie clôt ce trio dément avec son personnage d’Adrian Doorbal, aussi influençable que crétin, Ed Harris est, lui, parfait dans son rôle de détective et accompagne ce casting génial ainsi que Tony Shalhoub, la star de la série Monk, dans un rôle totalement différent, celui de Victor Kershaw, la première victime du gang. Ken Jeong, le Mr. Chow de la trilogie Very Bad Trip, apparaît également dans le film et la sublime Bar Paly, la sexy stripteaseuse et copine du personnage de The Rock, clôt en partie ce superbe casting. Accompagné d’une BO dynamique dont le thème « I Believe in Fitness » vous reste en tête, No Pain No Gain est une pure comédie noire où les acteurs sont excellents dans leurs rôles et le spectateur est embarqué dans cette incroyable mais malheureuse histoire vraie. No Pain No Gain est un film culte d’ici quelques années.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    158 abonnés 2 417 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 août 2016
    No Pain, no Gain a été une vraie surprise pour moi. Je m'attendais à une grosse daube signée Michael Bay, l'ambassadeur de la beaufitude au cinéma. Et, dans ce film, on a l'impression que Michael Bay se moque justement de personnages idiots ayant trop visionné ce genre de film.
    Une des forces du film est le casting, reprenant justement des acteurs ayant souvent joué dans des blockbusters idiots américain, mais non moins talentueux pour jouer des rôles d'attardés. Le personnage principal est incarné par Mark Wahlberg, acteur franchement bon (comme il le prouve à nouveau dans ce film), mais souvent associé à de mauvais films d'action. Anthony Mackie se débrouille pas mal du tout non plus. Mais la vraie révélation du film, c'est Dwayne Johnson, dans un personnage encore plus débile qu'il n'est musclé (c'est dire !). L'ancien catcheur excelle dans ce rôle, et prouve qu'il peut être un très bon acteur de comédie. Les autres rôles sont interprétés par de très bons acteurs (notamment Ed Harris et Tony Shalhoub).
    Ce film se paye avec brio la tête de ces trois imbéciles complets. Et c'est tellement jouissif de ce moquer d'abrutis.
    On peut tout de même reprocher à ce film d'être un peu trop long, même si cette longueur s'explique par des péripéties de plus en plus folles et absurdes des trois personnages principaux.
    Une vraie surprise que Michael Bay se moque, via ce film, de la beaufitude. En tout cas, c'est réussi.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 octobre 2013
    Avec No pain No gain, Michael Bay arrive à se détacher de son statut de débilos accro aux effets pyrotechniques et même à ré-inventer son cinéma, dont plus personne n'attendait quoi que ce soit depuis longtemps. Il signe ici un film étonnamment intelligent, si intelligent qu'il arrive même à paraître débile.
    Pour commencer on peut dire que la réalité a ici dépassé la fiction. C'est la première fois je crois qu'une histoire vraie se montre si tarée, tellement tarée que le film se sent obligé (remarquez c'est un peu le cas) de re-préciser à plusieurs moments du déroulement qu'il s'agit encore d'une histoire vraie. En outre les personnages sont de parfaits cons et le réalisateur ne se prive pas pour donner son avis à ce sujet. L'histoire s'est passé il y a des années et puisqu'il les trouve stupides il ne se gêne pas pour les traiter comme tel, avec une certaine compassion cela dit, c'est assez couillu et ça me plait. Les personnages sont d'ailleurs eux aussi étonnamment intéressants, à l'image du film. Le film est avant tout une satire bien satirique (j'ai perdu mon dictionnaire des synonymes, désolé) du rêve Américain. Les trois personnages principaux sont les parfaits exemples de pseudo-patriotes pour lesquelles le rêve Américain est une notion qui a perdu tout son sens à force de se le répéter encore et encore (excelsior..), le genre qui prend toujours un message de travers, pensant que Scarface est un modèle de rêve Américain réussi. D'ailleurs en faisant tout ça Michael Bay ferait presque une parodie de son propre cinéma, est-ce voulu ? Aucune idée. D'autre part les acteurs sont plutôt excellents. Pas une surprise que Marky Mark ou Tony Shalloub soient au top, mais ça fait du bien à sa carrière de voir que Dwayne « The Rock » Johnson peut jouer autre chose que des gros durs de série b ou des comic reliefs bancals. Anthony Mackie que je ne connaissais pas est lui aussi très convaincant.
    Alors bien sûr il y a des défauts, le film est long, il est très long. Pas que 2h09 soit une durée incroyable pour un film, surtout en 2013, mais ici certaines scènes auraient peut-être gagné à être raccourcies. En même temps ces 2h09 peuvent se montrer nécessaires pour développer la psychologie des personnages.
    Quelques maladresses viennent aussi s'incruster par-ci par-là: les deux antihéros qui réagissent presque de façon comique à la peine de mort par exemple, ou bien la morale clairement résumée par le détective, pas hyper subtil m'enfin rien de bien dramatique.
    Une fois ces détails mis de côté No Pain No Gain fait P-U-T-A-I-N de plaisir. Le meilleur film de Michael Bay haut la main et une très bonne surprise hyper rafraîchissante.
    Shady-73
    Shady-73

    10 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 septembre 2013
    Petit commentaire à chaud en sortant de la séance: ce film est une BOMBE survitaminée !!!! Se dire que c'est tirée d'une histoire vraie est complètement déjanté. Je ne sais pas encore dans quelles proportions mais je vais de ce pas me renseigner... N'hésitez aucun instant à aller le voir, vous y passerez un EXCELLENT moment !
    Nicolas P
    Nicolas P

    8 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 septembre 2013
    Affligeant ! Mise en scène catastrophique, dialogue sans fond. Montage.... Il y en a pas. C'est honteux !
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    296 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 octobre 2013
    Michael Bay qui ne fait pas un film d’action alors que c’est ce qu’il fait de mieux depuis le début de sa carrière ? Et bin oui, fini les "Bad Boys", "Rock", "Armageddon" et autres "Transformers" ; adieu les scènes de gunfight endiablés et les effets pyrotechniques infernaux…cette fois-ci Michael adapte un fait divers qui a eu lieu aux USA : un coach sportif adepte de la gonflette et des stéroïdes ne rêve que d’être à la place de ses riches clients, c’est-à-dire vivre pleinement le rêve américain et ne jamais manquer de rien. Il décide alors, avec deux complices tout aussi ambitieux que lui, de kidnapper l’un de ses clients pour usurper son identité et s’approprier tous ces biens.
    Choix étonnant de la part du roi de l’actioner que de s’intéresser à cette histoire incroyable et aussi tragique puisque deux des membres du « gang » sont encore aujourd’hui dans le couloir de la mort, attendant le jour de leur exécution. Tragique c’est le mot, et c’est très certainement pour cette raison que Bay a choisi de faire de son film une comédie noire, à la fois satire osée traînant véritablement le fameux « American Dream » dans la boue et pamphlet contre la stupidité humaine poussée à son paroxysme. Nous sommes donc souvent devant des scènes dérangeantes voire odieuses, mais le décalage amené par l’humour noir arrive à les rendre grotesques et hilarantes. De plus, Bay s’en donne à cœur joie avec une réalisation survitaminée (mais moins épileptique que d’habitude…donc moins gerbant pour certains d’entre nous !) où la caméra bouge énormément sans être illisible : travellings, zooms, courtes focales pour des gros plans exagérés, plans en steadicam…tout est mis en œuvre pour nous donner à l’écran un pur divertissement rythmé. Toujours le « Bay Style » donc, mais en un peu moins violent. Côté casting, on a droit à un véritable feu d’artifice : Mark Wahlberg, Dwayne Johnson et Anthony Mackie sont excellents d’autodérision dans leurs rôles de culturistes machos prêts à tout pour réussir (peut-être même le meilleur rôle de sa carrière pour Walhberg !). Ils sont même souvent à mourir de rire tant leur détermination les font souvent passer pour les rois des cons !! Tony Shalhoub est bien loin de son personnage de « Monk » avec sa victime aux répliques cyniques et Ed Harris, malgré son âge, est toujours aussi juste et nous impose à l’écran son charisme démentiel.
    Avec cette comédie d’action remplie d’humour noir corrosif aux situations variant du loufoque au trash et qui se permet allègrement de massacrer bon nombre des grandes valeurs américaines (surprenant pour un réalisateur qu’on définit souvent comme un patriote extrémiste !) dans un second degré totalement assumé, Michael Bay nous livre son premier un film d’auteur. Décomplexé et sidérant, on se laisse facilement et agréablement emporter par cette folle histoire inspirée de faits réels pour un véritable bon moment de cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 février 2014
    fin nul de chez fin nul!!! dans tout le film, seul les extraits montrés sur allociné ont été bien!!! méga trop déçu d'être aller voir ce film!!! pourtant j'adore les deux acteurs...
    Outburst
    Outburst

    111 abonnés 517 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 août 2013
    Il est bon de voir Michael Bay lâcher ses robots géants de destruction massive quelques temps, afin de s’attaquer à un projet moins ambitieux, et plus traditionnel. En effet, No Pain No Gain marque le retour du cinéaste américain, maître des explosions, à un style plus proche de celui de ses premiers longs-métrages (Rock, Bad Boys). Mais cette fois-ci, le Michael Bay il s’est bien méchamment lâché et nous offre son film le plus réussi, le plus drôle, et surtout le plus abouti après l’excellent The Island. Inspiré d’une histoire vraie assez rocambolesque, le film joue et s’amuse avec la débilité plus que profonde de ses personnages, dans ce qui s’avère être une sorte de parodie musclée et shootée aux stéroïdes de Pulp Fiction, mixée à l’humour noir des meilleurs films des frères Cohen (et oui, rien que ça!). Tout ce qui fait qu’on aime, ou qu’on déteste, le cinéma de Bay est présent dans ce film, mais d’une façon transcendée. Un peu comme si Michael Bay avait pris conscience de ce qu’était son cinéma, et qu’il ait décidé d’en jouer, quitte à s’auto-parodier lui-même, en même temps qu’avec ses personnages. Le film nage du début à la fin dans le second degré le plus total, ce qui donne un festival de débilités et de situations toutes plus barrées les unes que les autres. Ainsi, si No Pain No Gain semble tout d’abord faire l’apologie du rêve américain au travers de ses personnages, c’est uniquement pour le démolir ensuite, complètement. Devant un propos si superficiel et rêvé, voir imaginaire, où les personnages tentent par tous les moyens d’atteindre la perfection, il n’est pas étonnant de voir le réalisateur adapter parfaitement sa mise en scène à celui-ci, proposant une esthétique léchée et colorée, qui il faut l’avouer est vraiment sublime. Le film joue aussi beaucoup sur son côté "inspiré d’une histoire vraie", et n’hésite d’ailleurs pas à nous le rappeler, tout en faisant preuve d’un cynisme surprenant face à celle-ci, ce qui offre alors des séquences hilarantes à s’en démolir les côtes, prouvant que Michael Bay est aussi capable de faire de l’humour un peu plus subtil que celui auquel il nous avait habitué jusqu’à présent. Si le film fonctionne, c’est aussi grâce à son formidable trio d’acteurs (car oui, malgré ce que montre la promo, ils sont bels et bien trois) et d’un cru de seconds rôles tous plus jouissifs les uns que les autres, avec mention spéciale pour Rebel Wilson et Bar Paly, deux forces comiques plus qu’évidentes. Mark Wahlberg semble de plus en plus apprécier les rôles de crétins (après son excellente prestation dans Ted), dans lesquels il s’illustre plus que bien d’ailleurs. La naïveté et l’absence de maturité de son personnage le rendent attachant, tout comme l’incroyable stupidité du personnage de Dwayne Johnson nous pousse à ressentir ce sentiment de compassion forcée par le côté très pathos du personnage. Au final on aime bien les personnages, mais on prend un malin plaisir à les voir se planter et se ridiculiser, c’est là que repose toute la réussite de ce film. Une des séquences de fin est d’ailleurs très semblable, au niveau de la situation qu’elle met en place, à la séquence de Pulp Fiction confrontant Samuel L. Jackson et John Travolta à Quentin Tarantino, juste après le fameux "accident" dans leur voiture. Et pour finir, on saluera l’incroyable bande original, composée par le même homme nous ayant déjà offert le magnifique "Arrival to Earth" de Transformers, et qui a d’ailleurs travaillé sur l’ensemble de la filmographie de Bay (à l’exception du premier Bad Boys): Steve Jablonsky. En conclusion: Avec No Pain No Gain, c’est un sacré coup de maître que frappe Michael Bay en se lâchant complètement dans un sujet qui semblait lui plaire, et qui lui permet de s’amuser mais cette fois-ci de façon un peu plus adulte et cynique. No Pain No Gain est une sorte de bonbon acidulé ultra coloré, de ceux qui vous pétillent dans la bouche. Un film qui en rebutera sans doute plus d’un, vu l’immense bêtise dans laquelle il nage, et surtout vu le ton qu’il prend qui peut-être difficile à cerner au premier abord, comme à chaque fois qu’il s’agit d’humour noir. Dynamique, visuellement époustouflant, soutenu par une bande-son qui détonne, et porté avec une énergie de fer par ses trois acteurs principaux, No Pain No Gain peut se voir décerner sans aucune honte l’appellation de chef d’oeuvre. S’il ne marquera peut-être pas le cœur de tous les cinéphiles, il marquera en tout cas la filmographie de Bay, et espérons-le, remontera le niveau d’estime injustement bas que la plupart portent au réalisateur.
    lost 4/8/15/16/23/42
    lost 4/8/15/16/23/42

    14 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 septembre 2013
    un très bon film racontant l'histoire vraie de 3 culturistes un peu limité intelectuelement qui vont monter un coup pour vivre leur rêve américain et sur les conséquences de cette arnaque .
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 septembre 2013
    Vu en avp il y a quelque temps déjà, mais quelle claque. Sans aucun doutes possibles le meilleur film de Micheal Bay, qui trouve sa rédemption avec cette prodigieuse adaptation d'un fait divers. La réalisation est rafraichissante, le casting au top, la narration tout bonnement innovante, bref : Pain & Gain est un des films les plus ambitieux de l'année, qui tire son épingle du jeu dans un style très cynique. On notera d'ailleurs l'auto-dérision dont fait preuve le réalisateur, qui parvient à appliquer son cinéma à un tout autre ton. Brillant. Tous les détails par ici !
    Der Metzgermeister
    Der Metzgermeister

    32 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 avril 2015
    Oui, il s'agit sûrement du meilleur film de Michael Bay. Un film surprenant qui déchiquète en fines pièces le Rêve Américain. Doté d'un casting surprenant, composer de Mark Whalberg, Dwayne " The Rock " Johnson, de Mackie et notemment de Ed Harris, ce film se veut le satyre d'un mythe, bafouant les valeurs en se servant d'un beau trio d'abruti. Faut-il des gros bras pour gravir les échelons et se retrouver au sommet ? Est-ce que Michael Corleone, ou Scarface étaient doté de physique ahurissant ? Non. Pourtant, cela ne les a pas empêcher de bâtir un empire. Les valeurs de Daniel sont complétements débiles, lui qui se plaint de la couardise des Américains , et de leur antipatriotisme, lui n'est qu'en fait qu'une vaste blague, borner et inconscient qui estime mériter une meilleur vie parce qu'il est bâtit comme un superman. Armé de cet état d'esprit, lui et ses deux buddy vont tenter ( et réussir ) de dépouiller un riche du nom de Victor Kershaw. Ces trois ahuris vont donc vivre les pires débauches, aux joies insolites et aux calvaires maladroits ( Le coup de l'altère sur le King du porno fait curieusement penser à la scène de Marvin dans Pulp Fiction ) Michael Bay boucle un film sympathique, porteur d'un lot de vérités et de dures réalités.
    bsalvert
    bsalvert

    317 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 juin 2013
    On ne se relèvera pas devant ce film où le héros idéalise le rêve américain. ça pourrait distraire si ce n'était tiré d'une histoire vraie.
    PLV : un moment de détente sans réflexion.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 18 septembre 2013
    Grosse daube ! Je suis rarement aussi tranché mais là quand même !!!
    Le seul intérêt, le seul truc qui m'a fait rester dans la salle jusqu'au bout (ce qui n'a pas été le cas de tout le monde) c'est que c'est une histoire vraie : je me demandais jusqu'où ça irait.
    Un film sur la bêtise humaine sans limite.
    Un de ces quelques films dont je ne comprends pas la hauteur des critiques : tous les goûts sont dans la nature, et tant mieux si certains s'éclatent en regardant ce film, mais de là à avoir une majorité de bonnes notes presse et spectateur, je suis surpris. Probablement parce que certains y voient avant tout une critique des États-Unis et des monstres qu'ils peuvent enfanter et qu'on aime bien taper sur les États-Unis.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 août 2013
    Excellent film. Tiree d une histoire vraie.
    Bande son coolio (gungsta paradise ). Acteur tres bon walberg dwayne johnson tony shaboub
    jspl
    jspl

    22 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 septembre 2013
    Et bien moi je n'ai pas eu le courage de rester jusqu'à la fin !!!! Insoutenable, ennuyeux, rien à sauver!
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