Avis sur Hidalgo

Au secours !!!! Hidalgo Viggo dodo... Joe Johnston réalisateur je vous le rappelle de Jurassic Park III ou bien encore Jumanji, se casse la datte avec cette histoire d'un cow-boy qui passe son temps dans le désert arabe. Tout donne la sensation du mauvais syndrome Blueberry, c'est sans les esprits shamanique mais la forme est identique sur le plan de la platitude. C'est censé être épique et on se pique d'ennui. Je vais pas me mettre à galoper pour en rajouter. Petit soulignage sur Omar Sharif que seul vaut le coup, puis légère apparition de Malcolm McDowell.

Un super film d'aventure avec un sujet très agréable! On suit avec plaisir l'histoire d'Hidalgo et on en a pleins les yeux avec ces supers plans du désert.

A voir le film plus ou moins classé dans le genre historique, je m’attendais à voir plus ou moins un biopic, attente renforcée par l’amorce du film portant le message comme quoi ce film s’appuie sur la vie de Frank T. Hopkins. Eh bien non, ce film n’est pas vraiment un biopic. Cet homme fut le plus grand spécialiste des courses d’endurance à cheval, et est connu pour avoir gagné près de 400 courses longue distance, et pour avoir réussi à faire pérenniser les mustangs. Bien que les faits soient plus moins contestés par certains historiens en raison de l’absence d’archives qui pourraient corroborer les faits, le réalisateur Joe Johnston nous propose d’assister à une seule épreuve, la plus dure, la plus atypique, et la plus étonnante qui soit. Si Franck T. Hopkins était donc vraiment devenu un véritable héros en devenant l’un des plus grands cavaliers du monde, rien n’aurait été possible sans sa monture, un mustang répondant au nom d’Hidalgo. Dans des décors à couper le souffle, le spectateur suit l’épopée de cette monture et de son cavalier, couple animé d’une évidente complicité (d’ailleurs Viggo Mortensen racheta un des cinq mustangs ayant servi pour Hidalgo afin de le ramener chez lui). On remarquera en particulier l’incroyable travail de dressage. Quant à l’acteur vedette, son flegme sert à bien faire sentir au spectateur la sagesse de son personnage, en corrélation avec l’état d’esprit de son hôte, le Cheikh des Cheikhs, Riyadh, interprété par… Omar Sharif, très convaincant. Alors pour peu qu’on aime les chevaux, "Hidalgo" est un film formidable, me direz-vous. Eh bien je n’irai pas jusque-là. La course qui nous est présentée ici est une épreuve nommée "L’océan de feu", pour laquelle il faut parcourir 5000 kilomètres, au cours desquels les participants doivent traverser les déserts de sable d’Arabie, longer le golfe persique et de l’Irak, puis affronter les dunes de Syrie pour rejoindre Damas. Eh bien cette course, nommée aussi "La grande course de chevaux des bédouins", rien n'en prouve l’existence alors qu'elle est sensée avoir lieu depuis près de dix siècles. "Hidalgo" serait alors un tissu de mensonge ? On ne peut ni l’affirmer ni l’infirmer. Aussi je conseille de voir "Hidalgo" comme une pure fiction aventurière. L’affiche du film nous place dans le ton du film, présentant les aventuriers du désert dans des contrées à la fois hostiles et fascinantes, et la trame générale est assez réussie car elle nous divertit efficacement. Malgré le fait que le film dure 2h15, on ne voit guère le temps passer, malgré une grosse incohérence, et de taille ! spoiler: Alors que le duo touche enfin au but (ce qu’on ne sait pas encore à ce moment-là), Hidalgo s’écroule, épuisé, avec des écoulements sanguinolents aux naseaux. Autrement dit, c’est la fin. Ben non ! Après l’apparition de mirages, puis des concurrents les plus sérieux, le cheval se relève pour lancer un sprint final dont je pense que tout le monde connaissant le milieu équestre s’accorderait à dire que c’est bonnement impossible : quand un cheval s’écroule d’épuisement, il ne se relève pas. Mais là, il se relève pour se lancer à la poursuite des concurrents, grâce à des accélérations dignes de l’effet qui se produit quand on appuie sur avance rapide. Dur à croire, d’autant plus que le cheval a hérité d’une blessure plus ou moins superficielle peu de temps auparavant.
Alors histoire vraie ou pas ? Nul ne sait en fin de compte. Moi je dis que tout ceci n’est qu’un prétexte pour alimenter le fait que Frank T. Hopkins ait servi la cause des mustangs. Il reste donc une fabuleuse aventure, à l’épilogue certes contestable, mais qui a le mérite de nous faire voyager, de nous divertir, et de nous faire partager une belle complicité entre un animal à quatre pattes et son cavalier. Un beau film d’aventures épiques à la qualité visuelle plaisante, traité avec sérieux par Joe Johnston.

un très beau film, Mortensen est excellent, les paysages sont somptueux et la réalisation aussi !!!!

Ce film relate l'histoire d'un gars qui fait une course de chevaux. Une chose est sure, il faut que vous aimiez les chevaux !! Moi j'aime moyen lol

J'aime vraiment ce film, il represente bien la relation entre l'homme et le cheval, mais sans en faire des tonnes ... Enfin bref, amateur de film d'aventures et d'ambiances orientales, foncez têtes baisées !

Un film fertile en péripéties mais qui tombe trop souvent dans les clichés.

Très très beau film, communion exceptionelle entre le personnage interprété par Viggo Mortensen et son cheval Hidalgo.
Je suis pas une fan de chevaux, mais ce film est génial, il est aussi a propos de la capacité de chaque coueur a s'intégrer a cette course, venant de milieux différents.

D'une longueur interminable et un V.Mortensen qui confirme le mal que je pense de lui. Je me suis bien ennuyé devant cette pauvre épopée bien triste en relief.

Superbe film d'aventure, peu être un peu long, mais les paysages sont superbes, la relation entre le cheval et le personnage principal est tout simplement magique.

Un bon film bien que rempli de clichés et à la fin assez prévisible. Cependant, les décors sont très beaux tout comme l'histoire. Malgré de nombreux clichés et scène gentillette, on est pris par le film. Les acteurs sont excellents!

Belle course dans le désert, histoire sympathique. Elle manque parfois de rythme et les rebondissements sont souvent abusés, sans doute à cause de la difficulté de mettre du piment intéressant dans cette course de 5000 kms. Un film trop long à mon goût sur la vie d'un homme et de son cheval à travers une course. spoiler: Le relevé du cheval après s'être pris un pic dans le corps et son sprint sont un peu gros à digérer !

Pour ceux qui n’ont pas encore vu le film, un long métrage qui narre une course de chevaux sur 5000 km de désert peut paraître bien ennuyeux et générer une certaine réticence à se mettre devant pour deux heures dix de film. À ceux-là je dis ne vous laissez pas induire en erreur par le synopsis et lancez vous dans le visionnage de ce film, vous ne vous ennuierez en aucune façon et vous en ressortirez au contraire enchanté. Basé sur une intrigue solide le film déroule pendant ces deux heures tout ce qu’on peut attendre d’un film d’aventure où les personnages et le scénario ne sont pas sacrifiés sur l’autel de l’action. Le film commence par un épisode peu reluisant de l’histoire américaine à savoir le Massacre de Wouded Knee Creek où les Lakota Miniconjou furent assassinés par le 7ème de cavalerie, le héros membre de cette tribu part en Arabie pour gagner la course Océan de Feu pour avec l’argent du prix acheter des chevaux mustang pour les derniers Lakota. S’offre alors à nous un spectacle dans la meilleure tradition hollywoodienne avec des paysages désertiques à couper le souffle (particulièrement les crépuscules aux soleils incendiés), des chevauchés tonitruantes, des amours contrariés, des fusillades et poursuites héroïques et des personnages archétypaux, mais jamais caricaturaux. Les moments de course sont suffisamment variés pour ne jamais lasser et les rebondissements redonnent en permanence de la tension au film. La composition de Viggo Mortensen est comme à chaque fois de grande qualité et il donne une présence très forte à son personnage de cow-boy sang mêlé cherchant dans cette course une forme de rédemption face à une culpabilité qui le ronge. Un film passionnant (au sens littéral du terme) qui offre un spectacle de grande qualité dans tous les compartiments du film : décors, intrigue, personnages ; rien n’est délaissé. À voir d’urgence

Ce film est présenté comme relatant un épisode de la vie de Frank T. Hopkins, héros national américain qui semble avant tout avoir été un grand fabulateur. De la fameuse course qui est au cœur du film (L'océan de feu) les historiens ne trouvent aucune trace, et en toute logique traverser à cheval en solitaire 5000 km de désert semble plus proche de l’acte suicidaire que de l’exploit sportif. Rien dans la culture musulmane ne pourrait justifier la pratique de tels défis, qu’un cowboy américain soit invité par un nabab local pour y participer pour prouver qu’il n’est pas le meilleur cavalier du monde semble être une vaste rigolade. Mais peu importe la vérité de l’histoire puisque en plus c’est du cinéma, à condition que le résultat soit bon. La volonté évidente de ce film est de proposer un spectacle épique à la "Lawrence d’Arabie". Il en reprend les principaux ingrédients jusque dans l’un de ses acteurs légendaires, à savoir Omar Sharif. Mais il ne suffit pas d’avoir de bons ingrédients pour faire un bon plat, et malgré les acteurs, de superbes images du désert, de l’action, c’est un goût désagréable qui prévaut. Encore une fois la faute en revient à un scénario écrit avec les pieds et qui oscille entre le film d'animaux pour enfants et le cinéma à l’ "Indiana Jones" avec toutes les exagérations et incohérences qui vont avec. Ce qui passe bien dans un pure film d'action est ici un mélange assez indigeste qui détruit toute impression de vérité, d'aventure humaine, de dépassement de soi, annule toute émotion et donne même le sentiment d’être trop long.

Film d'aventure équestre où l'amitié entre l'homme & l'animal est au centre du récit, HIDALGO est un pur divertissement Disney.
Joué admirablement bien par Viggo Mortensen & Omar Sharif, ce film est passé étrangement inaperçu chez nous. Une possible raison en est les soucis sur la vraisemblance des propos et de son auteur - héros, Frank T. Hopkins. Mais doit on s'arrêter à cela ? Non. HIDALGO mérite plus et il serait bon qu'une chaîne le propose à 20h50 pour divertir petits & grands.