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    The Last Movie
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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 août 2011
    Des péruviens tentent de refaire un film en s'inspirant du tournage d'un film de Samuel Fuller dans leur village. Sauf que le réel rattrape ce cinéma-là, qui n'est pas sur pellicule ou à base de trucage, mais bel et bien dans l'acte, débarrasser de toute illusion. Ce que fait Hopper est gigantesque, c'est un encouragement à rêver la réalité et à éprouver ses fictions. Car le dernier film du titre n'annonce pas la mort du cinéma mais préfigure sa propagation, son avènement général. A la fin on entend "gold is everywhere", le cinéma est partout, là où aime, où on se bat, là où on se contente d'ouvrir les yeux. Il ne s'agit pas d'un film anti-Hollywood, il est déjà hors du cinéma, dans la vie même, auprès des femmes et des évènements. Hopper réalise l'un des plus beaux films sur le cinéma, un geste libre qui lui coûta temporairement sa carrière, ça en valait largement la peine.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juillet 2019
    Second long-mètrage de Dennis Hopper, "The Last Movie" est une oeuvre maudite qui caractèrise fort bien le nouvel Hollywood! L'oeuvre la plus foutraque qu'un acteur-rèalisateur nous ait donnèe depuis très longtemps! C'est la violence! Les gens se tuent dans la rue! Le cinèma a apportè la violence! Un homme leur montre comment faire un film et les gens imitent le cinèma! Ceci règlè, l'intèrêt de "The Last Movie" paraît considèrable! Essentiellement parce que nous sommes en plein dans l'inclassable et de l'idèe du paradis perdu : nous voyons le film se faire sous nos yeux! Car il ne s'agit pas de nous faire assister en quelque sorte au tournage d'un western dans un village pèruvien en tournant le film du film, mais de nous faire vivre une expèrience d'une fracassante beautè! On gardera longtemps en tête les paysages du Pèrou et les balades en cheval de Hopper dans une nature luxuriante! Au plus haut de cimes, au plus profond des abîmes, Hopper signe un deuxième long dècadent et dèroutant qui passionnera quiconque aime les films « mort-nè » fait dans la douleur et avec les tripes! Superbe B.O teintèe de mèlancolie...
    this is my movies
    this is my movies

    617 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 juillet 2018
    Typique du Nouvel Hollywood, ce film réalisé par D. Hopper a une aura culte, essentiellement dûe à son invisibilité durant plusieurs décennies. Pourtant, ça reste incroyablement moyen, surtout que le postulat de départ était effectivement prometteur (et inspiré à Hopper par ce qu'il a vu lors d'un tournage au Méxique). Mais bon, narrativement, ça reste du pour Nouvel Hollywood, pour le pire bien sûr. Déjà, on ne comprend pas grand chose au principe de départ, on ne sait pas ce que le film veut nous dire ( spoiler: on suit la reconstitution d'un tournage puis on voit le tournage qui semble s'être déroulé avant, le résumé du film précise qu'un cascadeur est mort sur le tournage, ce qu'on ne voit pas vraiment à l'écran, ensuite, on va suivre les aventures du héros et de son pote durant une bonne partie du film avant de revenir au village et là, c'est encore plus confus
    ). Niveau mise en scène, Hopper abuse du grain, d'une image sale et empile les poncifs, il y a des fulgurances, mais c'est ennuyeux, ça ne raconte rien et ça passe à côté de son sujet à cause de son nombrilisme. Alors oui, c'est sympa de voir J. Adams ou S. Fuller, mais bon, le propos et la symbolique du film ne sont jamais exploités, c'est pénible à suivre et ça se ressent plus que ça ne se vit en tant que film. Une expérience donc, qui comme souvent, m'a laissé froid et hermétique. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    AMCHI
    AMCHI

    5 037 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 mars 2019
    Dommage je croyais que ce film allait me plaire mais Dennis Hopper se perd rapidement dans son histoire assez confuse et comporte par moment des scènes se contentant de filmer les paysages avec comme fond sonore une chanson hippie.
    The Last Movie est typique d'un certain cinéma de la fin des années 60 et début 70 avec une sorte de trip cinématographique d'ailleurs on sent que le réalisateur/acteur et l'équipe en général devaient carburer à autre chose qu'à la confiture de fraises.
    Je ne vois pas trop ou il veut en venir, ce film raconte le tournage d'un western américain au Pérou et par moment on voit des scènes du film en question et je me suis mis à préférer ce western qui n'existera jamais car il possède des fusillades à la Peckinpah qu'au propre film de Hopper.
    Je ne serais pas vraiment dire si The Last Movie est mauvais ou pas mais comme Easy rider cela ne pas assez plu pour m'y accrocher, à ranger dans les curiosités cinématographiques mais n'étant néanmoins pas assez une bizarrerie pour en faire un incontournable du 7ème Art décalé.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 178 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 décembre 2020
    Avouons-le tout suite, si Dennis Hopper n’avait pas rencontré un tel succès avec Easy Rider (1969) son premier film (le budget avoisinait les 400 000 $ et avait rapporté plus de 20 millions $), jamais il n’aurait eu les fonds pour réaliser ce drame expérimental & psychédélique réalisé au Pérou.

    The Last Movie (1971) reste dans la mouvance du Nouvel Hollywood et ressemble de loin aux œuvres cultes d’Alejandro Jodorowsky, telles que El topo (1970) & La montagne sacrée (1973). On aurait aimé y adhérer comme ce fut le cas avec les films de Jodorowsky, sauf qu’il n’en sera rien.

    Dennis Hopper s’est inspiré de Jean-Luc Godard et nous restitue une œuvre totalement décousue. En l’absence d’une quelconque chronologie (le film ne cesse d’alterne le présent et le passé), on peine à distinguer la frontière floue entre le film et la réalité (ou dans le cas présent, on ne parvient pas à dissocier le film du film puisqu’il est ici question de deux tournages, d’un coté le film américain et de l’autre, celui des péruviens où la caméra, la perche et les projecteurs sont faux). Cette mise en abîme du cinéma aura le mérite de nous avoir laissé perplexe à défaut de convaincre.

    Qu’y a-t-il a sauver dans ce film en dehors de la magnifique photo signée László Kovács et ces magnifiques paysages des Andes péruviennes ? Rien, absolument rien, sauf si vous aimez les films de drogués, les films psychédéliques qui vous retournent le cerveau et qui brassent du vent pour ne rien dire. Le côté brouillon, bordélique, inachevé et sous weed aura le don de rapidement agacer et ce, malgré toute la sympathie que l’on peut avoir envers Dennis Hopper.

    Le film fut un échec cuisant auprès du grand public, ce qui a eu pour conséquence de mettre en stand-by sa carrière de réalisateur pendant une décennie, avant de le voir revenir au cinéma avec une œuvre dites plus « classique » avec le drame Out of the Blue (1980).

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    664 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 janvier 2020
    Film qui est paraît-il rester longtemps invisible, "The Last movie" est une oeuvre maudite de Dennis Hopper qui possède un scénario assez brouillon mais qui mérite d'être découverte pour son très bon casting, pour ses sympathiques chansons et la mise en scène qui possède tout de même une certaine élégance. A voir par curiosité même si l'ensemble n'a rien de mémorable.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    917 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 septembre 2022
    Le film semble assez clivant chez les spectateurs. Je fais partie de ceux qui n'aiment pas du tout.
    Déjà la trame franchement nébuleuse, l'alternance de plans laids et tout à coup de chevauchées ultra colorées. Un style aussi assez déplaisant. Et ses acteurs peu sympathiques. Bref un film lassant.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 169 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 décembre 2018
    Deux ans après « Easy Rider », Dennis Hopper donne sa propre vision du cinéma avec l’œuvre difficilement accessible « The Last Movie ». Tout commence avec une équipe de cinéma venue tourner un western au Pérou. Si tous les américains repartent après, Kansas, l’un des cascadeurs, décide de rester afin de prendre du recul vis-à-vis d’Hollywood. Il s’installe dans le village avec une ancienne prostituée. Mais le tournage a donné des idées aux autochtones qui décident de tourner leur propre film. Qu’importe si les caméras sont fausses, la violence est quant à elle, bien réelle. Surement tourné dans un état hallucinatoire, le film se perd dans des séquences sans rapports les unes avec les autres. Cette déconstruction a pourtant séduit pourtant le Festival de Venise, puisqu’il repartira avec le Prix de la Critique. L’expérience pseudo hippie sera pourtant un échec commercial. Peut-être que le jury avait reçu le conseil de prendre telle substance avant la projection.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Roub E.
    Roub E.

    731 abonnés 4 820 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mai 2019
    J’avais écouté un excellent podcast sur le tournage éthylique et stupéfiant de The Last Movie. Force est de constater que l’histoire de sa production est bien plus intéressante que le film en lui même. C’est totalement mégalo de la part de Dennis Hopper qui fait vraiment philosophe de comptoir et c’est d’un ennui mortel. C’est par instant même ridicule comme la chanson hippie qui clôt le film. Un film qui a quasiment flingué la carrière de son auteur (ce qui n’était peut être pas mérité) mais le moins que l’on puisse dire c’est que c’est un film compliqué.
    maxime ...
    maxime ...

    196 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2020
    Dennis Hopper est un type fiévreux et contamine tout ce qu'il entreprend, The Last Movie n'échappe pas à la " règle " ! J'ai revu Easy Rider cet été après l'annonce de la mort de Peter Fonda, cette revisite m'avais d'ailleurs servis dans le sens ou le film m'étais paru moins déjanté de ce fait ... La mort de son acteur surement m'a conduis sur une autre route. Pour en revenir à The Last Movie, ce fut une première, je ne suis pas déçu ! Un bordel. The Last Movie est incompréhensible, illusoire, complètement chtarbé ... Déconcertant mais Fascinant ! Il se passe tant de chose, des histoires dans les histoires sa non linéarité son exubérance de ton et de style ... Tout est à fond ! Un film à revoir dans les années, il m'ai assuré de ne pas l'oublier et donc d'y revenir. Il s'y cache un truc pas possible ici ...
    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2019
    Un film étonnant, pas complétement abouti mais révélateur d'un certain état d'esprit à Hollywood au début des années 70. Certes, Dennis Hopper n'est pas Bob Rafelson et son récit est souvent trop lâche pour marquer durablement, mais il parvient de temps à autre à saisir une part de la fêlure de ses personnages, de l'état désabusé qui les gagne petit à petit. Dans le rôle principal, le cinéaste est remarquable.
    kingbee49
    kingbee49

    30 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 août 2019
    Un film paumé, perdu, décousu... Un espèce de bad trip cinégénique et sincère mais qui, malgré quelques belles idées, respire le plus souvent l'ennui. Des années que je voulais le voir, celui-là avec ce titre à la fois évocateur et mystérieux, mais non, ce n'est pas suffisant ou ce n'est pas assez convaincant. Et pourtant. Dennis Hopper filme l'impossible territoire du cinéma ou tout n'est qu'illusion, mais une illusion tenace, la preuve en est par ces villageois péruviens qui rejouent le tournage du film auquel ils ont assistés. Du coup, à nous de rejouer ce film dans nos têtes et de caresser l'idée que oui, tout ces décors, ces lumières, ces scènes, ces cascades, tout cela n'est qu'un jeu. "The last movie" est un film expérimental, sans doute pas le meilleur d'Hopper (je lui préfère largement "Out of the Blue") mais la sincérité de son auteur est là.
    Yves G.
    Yves G.

    1 281 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 octobre 2018
    Une équipe de cinéma tourne un western au Pérou. À la fin du tournage, Kansas (Dennis Hopper), un cascadeur qui s'est lié avec une prostituée, décide de rester dans la région. Un de ses amis vient de se porter acquéreur d'une mine dont il espère extraire de l'or. Kansas fréquente un couple de riches américains.
    Pendant ce temps, les Péruviens qui avaient assisté au tournage se mettent en tête de le recommencer.

    "The Last Movie" vaut avant tout pour la légende sulfureuse qui l'entoure. Nous sommes à l'orée des années soixante-dix en pleine époque "Peace and Love". Dennis Hopper vient de réaliser "Easy Rider" chez Columbia Pictures qui a reçu un accueil triomphal. Trop content de le débaucher, Universal Pictures lui signe un chèque en blanc pour tourner son prochain film. Dennis Hopper part le réaliser au Pérou. C'est un prétexte à une longue orgie de drogue, d'alcool et de sexe entre amis : Peter Fonda, son comparse d'"Easy Rider", Kris Kristofferson, Michelle Phillips, la chanteuse du groupe rock "The Mamas and the Papas" qui se marie avec Dennis Hopper pendant le tournage... et en divorce huit jours plus tard !

    Le film se ressent de ce joyeux bordel. L'image est granuleuse, la prise de son détestable, les acteurs peinent à retenir les fous rires qui concluent chacune de leurs scènes. Le montage n'arrange rien qui se plaît à déconstruire une histoire dont j'ai tant bien que mal essayé de reconstituer la chronologie dans ma présentation.

    On pourrait certes voir dans "The Last Movie" une œuvre crépusculaire sonnant le glas à la fois du cinéma hollywoodien et de la domination arrogante de l'Amérique sur le monde. Mais ce serait sans doute faire trop d'honneur à une œuvre brouillonne réalisée par de mauvais garnements sous LSD.
    Loïck G.
    Loïck G.

    282 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2018
    Au départ l’idée est séduisante : Dennis Hopper image le tournage d’un western dans un village péruvien devant l’œil ahuri des autochtones qui aussitôt s’emparent de l’idée pour en faire à leur tour un film. Sauf que pour eux le cinéma c’est la vraie vie, et que les bagarres doivent être vraiment violentes. Le curé prend peur, le démon est à ses portes… Sur cet étrange canevas le comédien réalisateur signe un film foutraque qui de la mise en scène souvent approximative au montage décadent ôte toute logique à l’argument original pour lequel Samuel Fuller jouait quand même son propre rôle. Aux côtés de gens comme Julie Adams, Michelle Philipps, alors chanteuse des Mamas and The papas, Peter Fonda, Kris Kristofferson… Un joli clin d’œil au cinéma, quasiment le seul, le reste étant une entreprise de démolition d’un monde qui pourrait s’apparenter à la fois à celui du cinéma et à une sorte de déclin de l’empire américain. Ce qui place aujourd’hui ce film dans un musée extraordinaire du septième art, pièce quasiment unique et à voir pour ce qu’elle représente d’une époque presque dorée…
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Marc L.
    Marc L.

    40 abonnés 1 487 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mars 2021
    Suite au succès critique de ‘Easy rider’, Dennis Hopper était devenu une force qui compte au sein du Nouvel Hollywood naîssant et pouvait donc se permettre de se lancer dans des projets plus ambitieux, dont ce ‘Last movie’ fut à la fois le galop d’essai et le chant du cygne. Pourtant, l’idée de départ, celle d’un meta-film consacré au tournage d’un western dans une communauté andine, n’était pas dépourvu de qualités. Dans une démarche proche de celle qu’allait emprunter un Jodorowski quelques années plus tard, Hopper va imaginer que, ’inspirés par ce à quoi ils ont participé en tant que figurants, les indigènes se mettent en tête de tourner leur propre film, , sans vraiment comprendre ce que cela implique car si les caméras sont fausses, la violence est subitement devenue réelle. Cette idée fait étrangement écho aux réelles conditions de tournage du film, ce qui ajoute un degré de réalité supplémentaire, puisque les communautés locales des lieux où fut tourné ‘The last movie’ furent rapidement irritées par ces Américains bruyants et destructeurs venus planter leurs caméras chez eux. Tout cela est plutôt intéressant mais ne dure guère, tant le tournage fut considéré, hier comme aujourd’hui, comme une catastrophe d’ampleur mythologique. Le script, confié à un scénariste de renom, fut ensuite totalement négligé par Hopper qui, tout à sa quête de vérité, préféra s’entourer de ses amis proches, acteurs et artistes, pour tourner des dizaines d’heures de rush sans réfléchir la manière dont il comptait s’en servir...et, accessoirement, pour pouvoir se défoncer entre gens de bonne compagnie. Fidèle à une logique d’expérimentation totale propre à ces années là, il monta les scènes sans logique ni chronologie apparente, n’obéissant qu’à son flux de conscience, si bien qu’entre la relation orageuse des personnages joués par Hopper et Stella Garcia, et l’obscure histoire de projet de mine d’or qui traverse le scénario, on cesse rapidement de comprendre de quoi parle réellement ‘The last movie’. Fait assez rare, même à l’époque, Universal, qui avait financé le projet pour permettre à des talents montants d’émerger, refusa de distribuer le résultat final tout en abandonnant l’intégralité des droits à Hopper, qui se débrouilla malgré tout pour organiser quelques projections dans des festivals prestigieux, avant que ce qui devait constituer le décollage définitif de la carrière de sa carrière ne sombre dans l’oubli et n’entraîne l’homme dans une débâcle personnelle et professionnelle dont il ne se remit jamais tout à fait.
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