Derniers Avis : Predator - Page 9

Peu de choses marquantes dans ce film une course poursuite entre des humains et un animal ne suffit pas à faire un film. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5

John McTiernan, ancien grand ténor de films d'action a réalisé avec *Predator* son premier grand film. Une chasse à l'homme où des soldats musclés et bien équipés sont chassés par une créature extraterrestre peu enclin à négocier. Le long-métrage est divisé en deux parties. Il commence tel un film de guerre puis se termine sur une chasse à l'homme dans la seconde. Alternant magnifiques cadrages et effets spéciaux bluffant pour l'époque, McTiernan parvient à créer une tension palpable à travers cette dense jungle que la superbe musique appuie. Le moment le plus anthologique reste la dernière partie : les muscles charismatiques de Schwarzy sont désormais seuls luttant pour leurs survies. L'humour n'est pas oublié et certaines répliques en VF sont devenues cultes.

McTiernan avec son *Predator* un grand classique du cinéma d'action et de science-fiction, il a créé l'un des monstres les plus célèbres de l'histoire du cinéma. Rien que pour cela, ce film doit être vu par tout passionné qui se respecte !

Un véritable coup de coeur me concernant. Un film superbement réalisé par John McTiernan avec un Arnold Schwarzenegger toujours aussi impressionnant. L'ambiance est fortement oppressante, le costume du Predator formidable et la tension insoutenable. Rarement le mélange horreur et action a si bien fonctionné. Il est impossible de détacher son regard de l'écran lors de la traque finale.

Un classique des années 80 qui a contribué à starifier Schwarzenneger mais force est de constater que le film a prix un gros coup de vieux et qu'il n'impressionne plus vraiment.
Le scénario tient sur un coin de feuille, les dialogues sont insipides au possible, les FX sont moches (surtout les effets lumineux du Prédator), le rythme est mollasson et pour couronner le tout, le suspense est aux abonnés absents.
Reste les décors de la jungle particulièrement agréables, le charisme de Schwarzy et le look très classe du Prédator (...sauf quand il enlève son casque!).
A voir pour sa culture cinématographique.

Œuvre devenue culte, Predator est toujours aussi divertissant. Commençant comme un film d'action on ne peut plus classique – ça tire et explose dans tous les sens ; Arnold Schwarzenegger exhibe ses beaux muscles – le long-métrage évolue vers le fantastique, et c'est non sans joie que l'on retrouve la figure monstrueusement méchante qui donne son titre au film, avec ses fameux dreadlocks. Sympathique.

Film à l'esthétique expérimentale, radicale et efficace. La moiteur de la jungle réussit à nous faire ressentir le surnaturel. Le montage tirant vers l'abstraction est très horizontal et condensé, sa vélocité est impotente dans les scènes de tirs. On reste malgré tout dans une propagande hard.

Ah, "Predator" ! Schwarzie, ses muscles colossaux et son charme fou (qui allait l'amener au poste de Gouverneur de la Californie) ; McTiernan, le roi, que dis-je, le virtuose du film d'action (qui se retrouverait lui derrière les barreaux, sa carrière coulée) ; et l'un des ETs les plus réussis de l'histoire du cinéma, et ce pour toujours puisque la laideur irréaliste des effets digitaux a supplanté le réalisme poétique des masques en caoutchouc. Pas vraiment de nostalgie de ma part, puisque je n'étais plus un ado depuis longtemps en 1987, ce qui m'évita de développer un rapport émotionnel embarrassant vis à vis de ce genre de récit simpliste à base de mercenaires à grosses burnes, de guns sur-dimensionnés qui font exploser la moitié de la jungle et de punchlines improbables. Non, ce qui rend "Predator" immortel, c'est sa dernière partie, qui voit un Schwarzenegger mythique retourner à la glaise et au cri primal, les yeux fous de terreur, et engager ce combat surhumain au coeur des ténèbres qui évoque aussi bien la puissance primitive du Cinéma Muet que l'abstraction du post modernisme ("Apocalypse Now", inévitablement). En une vingtaine de minutes inoubliables, McTiernan touche au sublime, et offre à son spectateur l'une de ces expériences mémorables qui fondent notre amour pour le Cinéma. Oui, "Predator" est un grand film.

Predator réalisé par John McTiernan en 1987.
*Les points que j'ai appréciés →
• L'opposition de taille (le duel)
• Arnold Schwarzenegger

*Les points que je n'ai pas appréciés →
• La simplicité de l'histoire (ou plutôt dire qu'il n'y a pas d'histoire

*Conclusion →
J'ai aimé, c'est à voir pour le combat final. 7/10.

PREDATOR est certainement l'un des meilleurs d'action des années 80. C'est le film qui a fait naître l'une des créatures mythique du cinéma : le predator. Le film prend son temps pour nous présenter la menace en utilisant une mise en scène calme et se basant sur le hors champ. Les scènes d'actions sont funs et n'ont pas vieillis et le casting est excellent. Un film culte a voir au moins une fois.

Attention, cette critique dévoile des éléments importants du film.
"Hunter", c'est le titre original du script du film de John McTiernan, titre judicieux puisque c'est bien de chasse dont il est question ici. Cette idée de ne pas pouvoir se retrancher derrière un sombre message politique ou moral est d'ailleurs bien la plus effrayante car il ne s'agit que d'hommes traqués et tués les uns après les autres par un prédateur envoyé sur Terre uniquement pour cela. C'est le seul programme du film : la chasse est ouverte, et elle sera sauvage. À la chasse, il y a forcément un chasseur et un chassé, et le rapport de force, longtemps favorable à la créature, tient essentiellement à une question de vue et de regard. La différence de perception entre le Predator et le commando d'élite tient d'une part à un avantage pour le premier, qui ne peut être vu grâce à sa capacité caméléonesque, et d'autre part à une opposition très nette marquée par la mise en scène, qui représente le regard du monstre par un changement de régime d'image, soit l'utilisation de la caméra thermique. Anna ne ment donc pas quand elle explique que c'est la jungle qui a emmené Hawkins, incapable de décrire autrement "l’apparition" d’une force invisible, de même que Billy sent avant ses équipiers cette présence hostile, même si son sixième sens n’est en rien déterminant. Voir et ne pas être vu sont les facteurs essentiels de cette lutte acharnée, liés à un autre élément fondamental qu'est la ruse. Quand Dillon et Mac, cachés, aperçoivent leur bourreau en haut d’un arbre, ils établissent une stratégie pour le piéger alors qu’ils ne se demandent même pas pourquoi ils sont en mesure de le voir : au moment où ils comprennent que la bête le leur a permis, il est déjà trop tard. Tout n’est donc pas affaire de force, malgré la puissance physique et militaire à l’œuvre, mais également de ruse et de chance ; car ce qui permet à Dutch d’échapper au massacre, c’est le hasard d’être couvert de boue et ainsi de devenir l’alter ego du chasseur. Lui aussi invisible et se déplaçant d’arbre en arbre, il a dû s’adapter au Predator pour également devenir la jungle. Incapable de comprendre pourquoi le leader de cette équipe de sauvetage lui résiste, l’extraterrestre examine son visage de la même façon qu’il tient entre ses mains les crânes de ses précédentes victimes, un moment fascinant qui problématise le rapport à l’altérité dans le sens où l’autre est différent – ce n’est pas la même espèce – et en même temps pareil puisque lui aussi est parvenu, par d’autres moyens, à prendre la mesure de son environnement et de son adversaire. Enfin, les dernières minutes abolissent la relation chasseur-proie pour se recentrer autour d’un bras de fer mental, lequel fait écho au bras de fer physique entre Dutch et Dillon lors de leurs retrouvailles. Grand film sur le regard, sur la prédation et sur l’altérité, "Predator" est un chef-d’œuvre !

Je voulais voir tous les Aliens... et j'arrivais au moment où les Aliens rencontrent les Predators. Du coup, obligé de passer par ce film.
Un classique, je me souviens encore mes parents en faire des louanges quand j'étais plus jeune. Et comme le premier Alien, il a très bien vieilli et n'a rien à envier aux films plus récents.
Un bon film et un plaisir de voir schwarzy !

Il faut l'avouer , Prédator a un peu vieilli , surtout dans sa première partie .
Mais impossible de nier que c'est un classique .
On est pris dans cette jungle , surtout quand vient la nuit et le duel final avec Schwarzeneger .
Quelle bonne idée d'avoir fait de ce Prédator un adversaire plus fort , plus efficace , mieux équipé; mais avec des similitudes avec l'être humain .
Un des meilleurs extraterrestres du cinéma .
De vrais moments de tension , une vraie maîtrise de MCTiernan ,qui fait qu'on est pris dans cette ambiance pesante.
Le duel final est vraiment bien ,il n'est absolument pas expédié et donne lieu à un superbe affrontement
Un film qui à marqué , qui reste , et qui, même marqué par son époque, est sans conteste un bon film , encore aujourd'hui.

Arnold Schwarzenegger, très à l'aise, porte ce film basé sur un thème original et doté de bons effets spéciaux. Malgré quelques longueurs, le scénario tient la route et on ne s'ennuie pas.

survival hardcore et brutal, film d'action bourrin, suspense et tension qui ne se relâche jamais, ajouter à cela une mise en scène à couper le souffle qui met la jungle en personnage principal et vous obtenez un des plus grands classiques du cinéma d'action qui en plus de ne pas avoir pris une ride se bonifie avec le temps.

Très bon film de science fiction culte ! : le scénario est certe classique mais ce devellope bien au fur et a mesure du film , les acteur sont très performment surtout shwarzenger dans son rôle de dutch allala schawrzeneger jouer des pérso badass c est son truc , les éfet speciaux pour l époque sont très réussis , y a quelque momment ou on s ennuye mais ces scène d action nous font oublier cette ennuye très vite tèllment elles sont epustouflantent ( un peux comme transformers 4) et la confrontation final entre dutch et le preator est tous juste mythique brf très bon film de science fiction de licence : alien/predator univers je crois même que c le meilleur film de cet univers étandus 4/5 , a voir pour le predator e 2018 et alien vs predator 3 en 2019