Avis sur Hellraiser le pacte

Je vais peut-être vous surprendre mais ce film m'a fait supporter mes huit chimiothérapies suite à mon cancer des ganglions. Je me suis rappelé que la souffrance comme le plaisir est véhiculé par les mêmes terminaison nerveuses... Un film infernal pour sortir de l'enfer de la souffrance réelle.

Hellraiser est sans conteste un des meilleurs films d’horreur des années 80 tant son univers glauque et malsain ainsi que le personnage de Pinhead ont marqué à jamais toute une génération de cinéphiles.
Clive Barker, à l’aide d’un petit budget et d’un lieu unique, réalisait dès lors une œuvre puissante sur les plaisirs malsains en évitant toutes bondieuseries moralisatrices et rentrait de plein pieds dans le cinéma fantastique en nous offrant un univers ultra personnel teinté de fantasmes sado-masochistes bien gores et transcendé par les apparitions anthologiques des Cénobites dont le chef, Pinhead (personnage mythique qui n’a rien à envier à Freddy ou Jason), a toujours été incarné avec une classe féroce par un Doug Bradley au sommet de son art.
Hellraiser signait donc la naissance d’un artiste légendaire et d’une saga qui ne l’est pas moins, puis avec les deux compères Julien Maury et Alexandre Bustillo, on se dit que le remake prévu pour 2008 risque de faire très très mal.
Un chef d’œuvre absolu du cinéma !

Ça a vieilli ? Oui... inéluctablement on ne peut pas tout avoir ! Il faut savoir appréhender les œuvres dans leur contexte pour les apprécier, et au beau milieu des années 80, "Hellraiser : Le Pacte" fait preuve d'une belle créativité et d'un scénario qui surprend !

Le film se sert habilement de nos plus grandes peurs pour créer des monstres terrifiants qui pourraient véritablement sortir tout droit de l'enfer. Je pense d'ailleurs qu'un tel film avec les effets numériques actuels n'auraient pas forcément renforcer ce sentiment de terreur, ils auraient juste accentué le côté gore et sanglant. L'avantage de cette époque, c'est qu'on crée de toute pièce, on travaille la matière de A à Z comme plus personne ne le fait aujourd'hui. Le maquillage est authentique.

Au niveau de l'histoire, le film est intéressant et se dépatouille bien malgré quelques scènes "étonnantes" et des réactions de personnages plutôt grotesques par moment. Il y a des retournements de situation et des enjeux croisés qui maintiennent parfaitement dans le suspens. Le final est également convaincant !

Premier film de la saga "Hellraiser" réalisé par Clive Barker et sorti en 1987 n'est pas si bon que ça, enfin il reste pas mal mais sans plus. L'histoire, qui est adaptée du roman homonyme de Barker que je n'ai pas lu et que je ne pourrais donc pas comparer (mais étant donné que le réalisateur et l'écrivain étant la même personne, on peut avoir confiance), nous parle d'un cube qui emmène son utilisateur dans un monde parallèle qui allie plaisir sexuel et torture, une sorte de sado-masochisme quoi. Bon, déjà, nous partons sur quelque chose de bien particulier et on peut évidemment s'en rendre compte dès le synopsis, il faut donc déjà accrocher à ce genre de chose. Le scénario est accrocheur et il part d'une bonne idée mais il est assez mal géré car à quelques moments, on s'ennuie un peu, ce qui est très dommage et avec une histoire de base aussi originale que celle-là, on aurait pu avoir plus d'éléments. Enfin, je veux dire qu'on ne voit malheureusement pas assez le monde des Cénobites, l'histoire se concentrant plus sur un homme cherchant à redevenir humain. Je pense que c'est développé dans les suites (je ne les ai pas encore vu) mais c'est tout de même dommage de ne pas avoir plus d'éléments à ce niveau là dès le premier film. L'ambiance glauque est quant à elle bien présente, à beaucoup de moments, on se sent plutôt mal à l'aise. Pour ce qui est des effets spéciaux, ils ont aujourd'hui prit un petit coup de vieux mais restent très bien réalisés pour l'époque. Les effets gores qui sont plutôt "important" dans un film comme celui-ci ne sont pas trop trash, ce qui peut-être une bonne chose pour certains comme une mauvaise pour d'autres car certains spectateurs vont regarder un film avec un scénario comme celui-ci pour voir du gore et seront peut-être alors déçus, personnellement, cela ne m'a pas dérangé car je ne suis pas tellement fan de ce genre de choses. Les acteurs jouent bien surtout Clare Higgins qui interprète très bien son personnage et pour le reste des acteurs il n'y a pas grand chose à dire à ce niveau là. Comparé aux films de l'époque "Hellraiser : Le Pacte" sort donc du lot grâce à son originalité et il n'est pas mal même s'il aurait pu être, à mon gout, mieux écrit en en tout cas différemment.

On aurait tort de dénigrer un emblème du cinéma d'horreur uniquement sous le prétexte que les effets spéciaux sont obsolètes. Alors effectivement, ça a un peu vieilli. Encore que les nostalgiques des années 80' se retrouveront dans cette ambiance glauque et malsaine (j'irai pas jusqu'à dire en carton patte), mais sans la technologie du numérique.
Sérieusement, Hellraiser est un des rares films à avoir une approche bi-dimensionnelle pour l'époque où sortent de nombreux films avec "uniquement" des tueurs en série psychopathes. A l'instar de Freddy justement, le perso de Pinhead est assez terrifiant et je me rappelle qu'étant gosse, le fait d'avoir vu la bande-annonce m'a un peu secouée de par son côté torture et mutilation. J'en garde le souvenir de mettre dis que ça devait sûrement être le summum de l'horreur. Alors sans doute certains aspects auraient gagné à être plus exploités (comme le personnage de Frank qui n'a finalement pas beaucoup de psychologie). Mais dans l'ensemble j'ai trouvé que ce film était assez bon et qu'il parvient quand-même par moment à nous plonger dans une atmosphère bien glauque (du fait que justement, il n'y a pas tout qui est révélé comme dans le 2). D'ailleurs, les suites sont relativement correctes jusqu'au 6 inclus (le 7 n'était pas d'une nullité absurde mais soit j'ai pas tout compris, soit y'avait pas grand-chose à comprendre en fin de compte). Et le 9 est quand-même un cran au-dessus du 8 (qui aurait ses atouts dans un sens plus sociologique que scénaristique je pense).

Quand j étais gamin et que j allais louer des cassettes avec mon père au vidéo club j ai toujours été attiré par le rayon des films d horreur ou l'on ne prenait jamais rien et de ces films dont je devrai attendre quelques années avant de pouvoir les voir. Du coup en regardant les jaquettes ou dans les magazines qui étaient distribués avec chaque location j avais mis dans ma tête toute une série de film que je voulais voir car ce côté interdit les rendait diablement intriguant. Des films typique de l époque Vhs comme Candyman, Braindead, les Critters, Vendredi 13, Darkman et j en passe. Parmi tout ces films il y avait la saga Hellraiser. Et bien cela ne méritait pas d attendre 20 ans pour voir ça. On ne peut pas dire que le film se soit bonifié comme un bon vin avec le temps. Déjà l histoire est franchement courte et fade avec ces monstres dont le nom est tellement ridicule qu il fait marrer à chaque fois qu il est prononcé : Les Sénobites; dont on se sait pas vraiment d ou ils viennent ni ce qu ils cherchent mais qui ont l avantage d avoir un leader avec une gueule originale (le fameux Pinehead) et qui semble être la seule raison de la renommée de film. La vision de l horreur est bien trop typique du film de genre de l époque. Premièrement : ça ne fait pas peur, deuxièmement ça ne dégoûte même pas. Du coup ça m a vraiment laissé une mauvaise impression celle du gamin qui ouvre un paquet à Noël qu il a attendu toute l année et qui découvre un jouet tout pourri à l intérieur.

Pour moi hellraiser fait parti des films d'horreur culte à posséder.
Films qui a donné des suites plus ou moins réussis.

Rèalisè par Clive Barker, auteur de romans fantastiques anglais en qui Stephen King a reconnu un digne successeur, "Hellraiser" est un mèlange dètonnant de gothique typiquement britannique, d'èrotisme sulfureux et d'horreur graphique assez rèpugnante (mais particulièrement rèjouissante)! Rècompensè par le Prix spècial de la peur en 1988 à Avoriaz, cette oeuvre malsaine est fondèe sur la recomposition progressive d'un cadavre à partir de sang humain! Ce film culte de 1987, marquait la première apparition du monstre gris au visage cernè d'èpines (aussi appelè "Pinhead"), avec des effets spèciaux et des maquillages particulièrement impressionnants! Une rèussite qui engendra plusieurs suites bonne et mauvaise...

Me rappellerai toujours du physique du personnage avec ses clous tout autour de son visage. Hellraiser ça parle d'êtres surnaturels, plus précisément "les cénobites". Des êtres machiavélique ayant une tendance pour le sado-masochisme torture. Le film va vous embarquer dans un abyssale ennui, c'est plutôt ici que la torture se trouve. Une histoire maso-nazo pour les neurones et l'oeil. Puis faut souligner que ce premier volet va engendrer huit autres suites. Alors tenez vous à vous prendre par une chaîne ou fuir ?

Un film très mal joué, mal réalisé, malsain, sans aucun intérêt et d'un ennui mortel, les scènes d'écorchements sont insoutenables et gratuites. Berck !

Hellraiser, il est entré dans le domaine du culte et de la pop-culture avec Pin-Head que tout le monde connait, ne serait-ce que d'allure. Mais c'est quoi le contenu? Un échappé du lieu de la torture infinie et des plaisirs, où douleur, souffrance et jouissance se mélangent. Il veut se reconstituer sur la terre des hommes pour poursuivre ses plaisirs et péchés avec une jeune fille (sa nièce) et profite de son ancienne amante (sa belle-soeur) qu'il va utiliser pour tuer des hommes et ainsi leur prendre leur sang régénérateur. Et bien ça marche, tout fonctionne, c'est sanglant, ça fait mal, c'est cohérent et c'est pour cela qu'il y a eu autant de suite avec plus ou moins de réussite.

Clive Baker n'a pas une filmographie d'une taille impressionnante mais en douzaine de films il nous a quand meme livré "candyman", "cabal" et la saga "hellraiser" dont il chapeaute les chapitres 1 a 8 (sauf le 4). Gore et avec un univers totalement original il prend place au top de l'horror hall of fame. Sa boite magique et le cénobite à tête d'épingle sont inoubliables. 4 / 5

Durant un voyage, Frank Cotton entre en possession d'une boîte maléfique qui le transporte dans un monde imaginaire mais arrivé sur place, des monstrueuses créatures le dévorent. Quelques années plus tard, son frère Larry et son épouse Julia emménagent dans la maison de Frank, sans se douter que l'esprit de ce dernier y rôde encore. Alors qu'une goutte de sang accidentelle tombe sur le sol, le monstre se réveille, et part en quête de chair fraîche.

C’est la première réalisation de Clive Barker qui par la suite n’arriva pas à rencontrer le même succès derrière la caméra. Ce film est issu d’un de ses romans. Il devint cependant scénariste pour la saga, ainsi que pour un autre classique du cinéma, Candyman en 1993. Sorti le 24 février 1988 en salle, Hellraiser le pacte est désormais disponible en VOD.

Il est un incontournable du style horrifique mais n’a pas forcément bien vieilli mais je l’ai trouvé pas mal.

Pas forcément connu des jeunes générations, Hellraiser n’en reste pas moins un élément culte du cinéma d’horreur avec son personnage de Pinhead. De 1988 à 2018, il y eut au total une dizaine de films. À la base, il y avait une trilogie suivant le roman de Clive Barker, puis au vu du succès auprès des fans, cela a vite dérivé. Dans Hellraiser: Bloodline, ça les amènera même dans une station spatiale. Le personnage reverra bientôt le jour grâce à un reboot féminin prévu entre 2022 et 2023.



Revenons en a 1988. Pendant un bon moment, l’histoire est assez floue. On ne sait pas vraiment où on va vue qu’il y a zéro explication. Le cube est balancé et le spectateur doit comprendre comme un grand le pourquoi du comment. Le film faisant partie d’une trilogie, les zones d’ombre sont explicables. Il faut vous attendre à ce qu’à la fin d'Hellraiser le pacte, la compréhension soit encore un peu vague. Pour ne pas aider, le twist final est un peu incompréhensible.

En matière d’horrifique par contre on ne va pas y aller de main morte. Les séquences vont être bien ciblées, mais lorsque ça arrive, on en a pour notre argent. Déjà, car c’est bien sanglant. Ensuite, car cela va partir dans un style bien particulier. En effet, les Cénobites menés par Pinhead sont adeptes d'un sadomasochisme entre la jouissance sexuelle et la torture sadique. Cela va offrir quelques scènes particulières pouvant en déranger plus d’un. En tout cas, voire un homme se faire déchiqueter par des chaînes est assez élevé sur l’échelle de l’horreur.

Comme souvent, pour ce genre de film, les acteurs sont vraiment nuls. Sans surprise, aucun n’aura fait carrière. Seule Ashley Laurence va faire la première trilogie entièrement. Bien entendu, les personnages ne vont pas être intéressants. Leur seule utilité est de nous divertir lorsqu’ils se font torturer. En revanche, je suis fan de Pinhead. Son design est génial et c’est tout sauf une surprise si avec les années sa figure est devenue un classique.

Un des premier films que j ai vu sans l autorisation de mes parents a l age de 10 ANS et encore aujourd hui il me donne des cauchemars tellement efficace dans sa narration horriffique.Durant tout le long du film, la tension horrifique est constante, même lors de scènes plus anodines. Ceci pourrait être perçu comme étant des longueurs, mais ceux qui aiment les ambiances gothiques et oppressantes ne seront pas déçus. La maison dans laquelle se déroule l’histoire aide aussi énormément à cet effet.En plus d’être pratiquement irréprochable côté réalisation, Hellraiser marque plusieurs bons points dans son scénario. Malgré un synopsis dur à résumer, l’histoire est facile à suivre, en plus d’être très intéressante et bien structurée .Hellraiser est donc un classique dans son genre qui saura ravir tous ceux qui aiment le gothique et le fantastique.

Un pur film fantastique qui lorgne largement avec le cinéma d'horreur. C. Barker fait des débuts assez fracassants derrière la caméra, sachant s'y prendre pour installer une ambiance, le tout grâce à de belles lumières et des cadrages bien pensés. Toutefois, le film devient assez vite un peu ennuyeux, l'intrigue mettant bien trop de temps à prendre forme, surtout que le personnage du père est bien trop fade. Tout n'est pas à jeter bien sûr, surtout avec cette magnifique scène de "résurrection" dans le grenier, un véritable morceau de bravoure qui fait toujours son petit effet. Les maquillages sont par ailleurs au top, si ce n'est dans spoiler: la conclusion, avec ce combat passablement ridicule, mal filmée et grotesque
. Le film souffre d'ailleurs de son petit budget, se déroulant dans à peine trois décors, le rythme est lent mais il y a des envies, des idées, des plans marquants pour ce qui constitue le début d'une saga d'horreur comptant l'un des groupes de méchants parmi les plus fascinants. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com