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    Le Portrait de Jennie
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    Louis Morel
    Louis Morel

    37 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 décembre 2013
    Beauté et poésie sont les maîtres mots de cette comédie romantique magistrale.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    908 abonnés 4 830 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2018
    Un splendide portrait baroque et romantique. La rencontre qui se situe entre le rêve et l’imaginaire. Une histoire d’amour très belle également qui pourrait être héritée d’un Murnau par ces couleurs si expressives, et un souvenir qui perdure par-delà le temps qui passe.
    Alasky
    Alasky

    282 abonnés 3 075 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2017
    Très beau film, je n'ai pas vu l'1h26 passer, tellement cette oeuvre m'a transportée. Excellente atmosphère fantastique et superbe images, dont les scènes à Central Park. De plus, le casting est remarquable, on a même le plaisir de voir la merveilleuse Lillian Gish dans un petit rôle.
    Plume231
    Plume231

    3 464 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juin 2011
    Un bijou totalement et injustement méconnu du cinéma fantastique sur l'amour à travers les frontières du temps doublé d'une réflexion sur la création artistique. Ouah...ben oui ouah...surtout que, oublions voulez-vous le surestimé William Dieterle, que c'est le perfectionniste producteur David O. Selznick qui a la paternité de ce film. Joseph Cotten, absolument parfait, est en parfaite alchimie avec une des actrices les plus rares, les plus belles et les plus fascinantes qui soient, la rayonnante Jennifer Jones. Sans-faute intégrale aussi dans le choix des seconds rôles, Ethel Barrymore, Lilian Gish, Cecil Kallaway, David Wayne, et un New York onirique filmé avec inspiration. Une mise en scène moderne, voir même intemporelle à l'image de l'histoire du film, tout le temps magnifique, parfois spectaculaire (la scène de la tempête franchement, effets numériques vous pouvez aller vous rhabiller!!!). Et le point d'orgue pour la fin qui apparaît progressivement en Technicolor. Et même si il manque une petite étincelle pour en faire un chef d'oeuvre, "Le Portrait de Jennie" est une petite merveille.
    Freaks101
    Freaks101

    126 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 juillet 2013
    Un beau film onirique et poétique sur l’amour éternel et l'art. Ce conte surréaliste est mis en valeur par une photographie qui sublime New York, Central-Park en particulier, et amène le fantastique dans le quotidien des personnages via de subtils touches de lumière. A noter également une utilisation originale du passage du noir et blanc à la couleur, source d’émotion et de poésie.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    661 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2018
    Dotés d'une sublime BO de Dimitri Tiomkin, d'une interprétation magnifique de Joseph Cotten et de Jennifer Jones, d'une mise en scène ingénieuse de William Dieterle et d'une très belle histoire d'amour, "Le Portrait de Jennie" s'impose comme une grande réussite dans le registre de la romance fantastique. Certaines séquences marquent les esprits, comme celles se déroulant à Central Park sous la neige ou encore bien-sûr celles de la fameuse tempête qui est présente à la fin du film et qui est filmée dans un vert assez insolite. Une oeuvre touchante et qui fait clairement penser à d'autres oeuvres de la même époque que sont "Peter Ibbeston", "L'Aventure de Mme Muir" ou encore "Le Portrait de Dorian Gray".
    AMCHI
    AMCHI

    5 014 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2011
    Un très beau film romantico-fantastique dont les Américains avaient la bonne recette à cette époque ; on songe parfois à Le Fantôme de Mme Muir en regardant Le Portrait de Jennie. Une belle histoire d'amour pour un joli film teinté de mystère de très belles séquences dans la neige, Joseph Cotten incarne un amoureux très attachant face à une charmante et étrange Jennifer Jones. On suit avec une véritable passion cette quête de l’amour, il manque tout juste un je-ne-sais-quoi pour faire de Le Portrait de Jennie un véritable chef-d’œuvre mais ce film plaira à tous même aux plus réfractaires des films romantiques.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 088 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 novembre 2020
    Toujours cornaquée par David O’Selznick, son mentor devenu son amant puis son mari (en 1949), Jennifer Jones entame le tournage du « Portrait de Jennie » déjà auréolée d’un solide palmarès alors qu’elle n’a pas encore trente ans et seulement sept films à son actif en sept ans de carrière (un rythme très inhabituel dans le Hollywood de l’époque). Un oscar mérité est venu récompenser son interprétation particulièrement habitée du rôle de Bernadette Soubirous dans « Le chant de Bernadette » d’Henry King suivi de trois nominations rapprochées (« Depuis ton départ », « Le poids d’un mensonge » et « Duel au soleil ») qui la placent au sommet d’Hollywood. Autant dire que l’influence de David O’Selznick qui l’a prise sous contrat exclusif lui est particulièrement profitable. Pour ce film au parfum fantastique et romantique très marqué, inspiré d’une nouvelle du romancier Robert Nathan parue en 1940, elle retrouve le réalisateur William Dieterle qui l’a dirigée dans « Le poids d’un mensonge » ainsi que Joseph Cotten avec lequel elle a déjà partagé l’affiche à trois reprises. Le film livre une allégorie sur la relativité du temps entremêlée à une réflexion sur l’inspiration et le mystère de la création artistique. Eben Adams (Joseph Cotten), peintre désœuvré erre dans New York en quête d’un acheteur de ses tableaux figuratifs. En entame, sa rencontre avec une galeriste magnifiquement interprétée par la grande Ethel Barrymore va éclairer tout le propos qui va suivre et livrer les clefs aux différentes interprétations possibles. La galeriste dotée de l’expérience certaine que lui procure son âge et spoiler: séduite par le charme du peintre, lui explique que toute la technique du monde n’est rien si elle n’est pas au service d’une flamme intérieure qui la sublime. Fort de ces précieux conseils, Eben Adams s’enfonce dans Central Park où il aperçoit une jeune fille nommée Jennie Appleton (Jennifer Jones) semblant venir d’une autre époque qui lui servira de modèle puis de muse avant qu’il n’en tombe éperdument amoureux. Dès lors le scénario suit en parallèle l’influence de cette rencontre sur la création artistique d’Eben qui s’emballe et les attentes de la jeune fille devenant une femme dont la sensualité va grandissant
    . Tout en finesse, William Dieterle se délecte à filmer la transformation d’un homme entre deux âges sans jamais nous dire si Jennie n’est spoiler: qu’un artefact intellectuel propre à nourrir l’inspiration d’un artiste en plein tourment ou une apparition surnaturelle parvenue jusqu’à lui pour vivre l’histoire d’amour qu’elle n’a pas pu connaître dans la réalité
    . A chacun selon sa sensibilité semble nous dire Dieterle qui profite de la connivence entre les deux acteurs pour entretenir la confusion. L’esthétique souvent vaporeuse imprimée par la photographie de Lee Garmes (non crédité) renforce le sentiment d’un rêve éveillé permettant d’amener Eben Adams à une réussite qu’il a peut-être fantasmée. La fin du rêve s’approchant, Dieterle qui a travaillé comme acteur sous la direction du grand Friedrich W. Murnau (« Faust » en 1926), a recours aux filtres chromatiques typiques du cinéma expressionniste allemand. Si « Le portrait de Jennie » mal compris à sa sortie a été un échec public, il peut être aujourd’hui soigneusement rangé à côté du magnifique « Peter Ibbetson » d’Henry Hathaway, autre rêverie temporelle qui rappelle qu’au sein du temple de l’entertainment la poésie et l’audace peuvent parfois se frayer un chemin. Il suffit de penser au troublant « Freaks » de Tod Browning né au sein de la MGM (le studio le plus glamour des années 1930 à 1940) en 1932 pour s’en convaincre. Quant à Jennifer Jones, elle est encore une fois confondante de véracité.
    Eldacar
    Eldacar

    41 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2013
    Mélodrame fantastique d'une grande poésie, "Le portrait de Jennie" questionne avec subtilité et pertinence les notions de mort, de temps et de foi. Le peintre Eben Adams tombe amoureux de Jennie, jeune fille qu'il est le seul à voir et qui apparaît et disparaît dans les rayons du soleil. Car Jennie est une sorte de « fantôme » qui, classique du genre, reste sur terre car a laissé quelque chose d'inachevé derrière elle. En l'occurrence, elle n'a pas trouvé l'amour. Et puisque quand on n'a pas aimé on n'a pas vécu, Jennie n'a pas vécue et ne peut donc pas mourir. Nous nous trouvons alors sur la frontière poreuse entre le monde des vivants et le monde des morts, les deux temporalités se mêlant allégrement. Le point culminant se situant au phare de Land's End, qui comme son nom l'indique marque la fin d'un monde (et le début d'un autre). En tout cas, s'est ici que se retrouveront Jennie et Eben alors qu'une tempête fait rage (la même que celle ayant emportée Jennie des années plus tôt ?). La teinte verdâtre de l'image succède alors au noir et blanc, renforçant l'impression d'un monde surnaturel, le vert renvoyant bien sûr au vert cadavérique puisqu'il s'agit du lieu ou la jeune femme trouva la mort. L'autre thématique fascinante traitée dans "Le portrait de Jennie" est la foi, traitée avec une ouverture d'esprit surprenante. Ici, pas de hiérarchie dans les croyances et autres religions. Chacun cherche une explication au pourquoi de la vie et de la mort par leur intermédiaire mais aucune ne possède la réponse. Se que "Le portrait de Jennie" nous dit, c'est que si on a foi en quelque chose, alors c'est vrai et ce peu importe que les nous croient ou pas. Belle morale pour un film bien trop méconnu et qui mériterai d'être redécouvert.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 janvier 2012
    "Le portrait de Jennie" film de William Dieterle est un magnifique film poétique, romantique et fantastique en noir et blanc ! L'histoire d'Eben Adams : artiste peintre un peu fauché peignant des paysages ou il du mal à vendre ses toiles dans des galeries d'art, rencontre un jour en traversant Central Park, une curieuse gamine faisant des bonhommes de neige ! Puis il continu sa vie, fréquente le pub irlandais avec ses amis ou un autre jour, prêt d'une piste de patinage, il rencontre de nouveau cette fille qui et Jennie mais cette fois-ci en jeune-fille ! Lui est sur ses patins à glace, et elle danse dans une joie avec lui tout en l'entrainant par terre ! Il l'a rencontre un soir, pleurant assise sur un banc, il la console dans ses bras et commence à être amoureux d'elle, elle laisse un foulard dans un papier, il se retourne et elle disparait ! Il se renseigne sur elle. Pendant ce temps, c'est la Saint-Patrick, et il peint des peintures pour décorer le restaurant. Un jour en rentrant chez lui, il voit la porte de son atelier entrouverte et s'attend à trouver un voleur et voit la fille en question dans une robe de dentelle, il décide de la peindre. Et là, commence le succès, la galerie de peinture est séduite et lui achète à un bon prix le tableau. Il revoie Jennie et sont dans un pensionnat pour jeunes-filles avec un couvent. Là de nouveau un tableau avec elle, habillée plus en femme, et elle semble s'endormir, lui inquiet la réveille puis la serre dans ses bras, lui couvre le visage de baisers et là l'embrasse sur la bouche à deux reprises, il veut la serrer dans ses bras, puis elle se lève, met le foulard sur son visage et disparait ! Eben Adams va dans le couvent et les religieuses lui dit que Jennie est morte depuis pas mal de temps et il en pleure ! Il se rend compte que Jennie est un fantôme ! De là, en se renseignant sur elle, prend le train et va près d'un port.
    Tanguy Adisson
    Tanguy Adisson

    2 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2023
    Le portrait de Jennie est un drame romantique qui sort de l’ordinaire. New York et central park sont vus sous un autre jour, tout comme Jennifer Jones et Joseph Cotten.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 mars 2012
    très beau film, mysterieux qui vous tient en haleine du début a la fin,je le conseille a tous ceux qui liront ce message.
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