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    Prad12
    Prad12

    77 abonnés 1 085 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 novembre 2013
    Pourquoi mettre 0.5 ?
    Annie Girardot est formidable, Yves Montand fait du Montand, Candice Bregen fait plus âgée que son âge réel et Lelouch nous tartine 2h05 d'une longue complainte sur la difficulté de vivre pour vivre quand on est un couple de grand bourgeois de gauche avec bonne à tout faire à la maison et caviar à la louche dans l'avion.......... en somme, comment vivre sa vie et ses contradictions quand on veut dénoncer le mode de vie de l'occident alors que l'on en profite pleinement......
    Pas facile d'être de gauche, mais très facile à cette époque et d'ailleurs c'est le seul intérêt de ce film qui est finalement un véritable documentaire sur la vie des riches avant la crise de 1973 et l'effondrement lent et progressif de leur mode de vie.............et par la même du nôtre.........
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 905 abonnés 12 156 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mars 2023
    Golden Globe du meilleur film ètranger 1967 ! "Vivre pour vivre", rèalisè par Claude Lelouch, est le rècit moderne d'une traditionnelle histoire d'amour entre trois personnes - interprètèes par Yves Montand dans le rôle du journaliste-grand reporter, Annie Girardot (remarquable, comme toujours) et de la jeune Candice Bergen - , dans laquelle chacune aime à sa façon et souffre à la recherche èperdue d'un amour impossible! Une fois de plus, Lelouch dècrit les hommes comme des lâches et des menteurs! On comprend assez rapidement que le cinèaste n'a pas une grande admiration pour le personnage de Montand! Certes les femmes ne sont pas parfaites mais plus courageuses et plus fiables à ses yeux! Quelques longueurs mais on se consolera avec la grisaille d'Amsterdam et les très belles prises de vues en safari photo en Tanzanie...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 12 janvier 2015
    Avant de commencer je tiens à dire que je ne suis aucunement un détracteur de l’œuvre de Claude Lelouch, j’apprécie même fortement son travail. De part sa soif d’image prise sur le vif ou non, Claude Lelouch dans un premier temps nous fait voir des tas et des tas d’images qui allongent la séquence trop fortement et inutilement. De ce fait on coule sous un flot d’image jusqu’a en arriver au point de l’ennui permanent. Dans un second Temps Lelouch filme l’allure d’Yves Montand et d’Annie Girardot, Amsterdam, New-York, Deauville, l’Afrique tout ça est beau mais ça ne suffit pas car on lassé par les longueurs interminables et le film qui n’en finit jamais. Même avec la magnifique musique de Francis Lai, le film ne touche et nous transcende pas car Lelouch, ce qui est assez surprenant, dans ce film ne s’applique aucunement sur le travail de l’image. Un film avec du potentiel complètement gâché. Martin, Le Frisson de la Pellicule.
    calamarboiteux
    calamarboiteux

    18 abonnés 440 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 avril 2008
    Robert, grand reporter, délaisse et trompe sa femme, celle-ci le sait. Lorsqu’il engage une nouvelle liaison, plus durable semble-t-il, elle en a la preuve, il avoue, ils se séparent. Robert comprend alors qu’il l’aime toujours et cherche à la reconquérir.
    Lelouch, à l’instar de réalisateurs qui le dépassent de cent coudées, tels Fellini ou Kubrick, est un cinéaste de la forme, c’est à dire qu’il est plus intéressé par la façon d’exprimer son propos que par le propos lui-même ; vu la simplicité et la banalité du scénario ici développé, on ne peut que s’en réjouir. Lelouch reprend le procédé de séparation du son et de l’image utilisé dans « un homme et une femme », mais il en abuse. Plus intéressantes sont, entre autres, la fausse interview de la compagne de Robert où les questions sont supprimées, l’intervention éclair de Léon Zitrone, un dialogue d’explication du couple haché par les roulements du train de nuit, et l’élégante trouvaille de conclusion du film.
    Mais le plus contestable, ce sont ces séquences, souvent longues, qui pourraient être supprimées sans aucune conséquence pour l’action. Elles peuvent être savoureuses, comme l’interview des mercenaires, belles comme le safari en Ouganda et la chevauchée dans Central Parc enneigé, incongrues, comme les actualités chinoises ou nazies, mais ont pour effet immédiat de transformer cette comédie dramatique en une suite décousue de documentaires.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 janvier 2007
    fort en sentiment sur une tres belle musique
    les acteurs jouent a merveille.film superbe,j'ai adoré
    David R
    David R

    40 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 janvier 2010
    Je trouve certains films de Lelouch très bons mais celui-ci, quel ennui ! Une histoire on ne peut plus banale d'adultère, des scènes en Afrique horriblement filmées et soporifiques au possible (quel est l'intérêt de nous faire subir l'intégralité de son reportage au Kenya ??). C'est très très banal, on a connu Lelouch beaucoup plus inspiré !
    Tabatah
    Tabatah

    2 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2011
    Excellent film et bande-son. Comme toujours un charme fou, d'annie Girardot a Montand en passant par l'americaine Candice Bergen, du tres bon cinema
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 février 2007
    Deuxième beau succés de Claude Lelouch après "un homme et une femme". Peut-être un peu moins réussi que le précédent. Car on s'ennuit un peu à quelques scènes au milieu du film. En tous cas, Yves Montand et Annie Girardot forment un très beau couple et sont admirables dans ce film. A noter, la sublime musique de francis Lai. A voir.
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 764 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 avril 2021
    Je crois que je peux compter sur les doigts d’une main les films de Claude Lelouch que je n’aime pas. « Vivre pour vivre » est un film que je découvre. Nous sommes en 1967 et Claude Lelouch se connecte si je puis dire à son actualité du moment comme la guerre du Vietnam. Mais d’autres images remplissent son film, des images insoutenables de violence d’Afrique noire et comme si cela ne suffisait pas, des images d’archives du IIIème Reich. A toutes ces images réelles se mêlent celles de la fiction, celles du grand-reporter Robert, images d’un safari interminable précédant une interview d’un mercenaire tout aussi interminable et soporifique. Bref, Lelouch m’abreuve d’images jusqu’à l’indigestion. Sont-elles vraiment toutes à propos ? Il aurait pu écourter sans que cela nuise à la compréhension du récit. Justement, parlons du récit. Un récit banal entre un homme et deux femmes. Robert, grand-reporter est un prédateur de jupons. Marié à Catherine, il tombe soudainement amoureux d’une jeune américaine, Candice. Candice n’est pas un 5 à 7, c’est du sérieux. Et le voilà à jongler entre l’une et l’autre. Robert ment dans sa vie personnelle alors qu’il s’emploie avec talent dans sa vie professionnelle à relater la vérité. C’est le deuxième film de Lelouch après le succès de « Un homme est une femme ». On retrouve la patte de Lelouch avec ses dialogues décalés par rapport aux images, son souci du réalisme confondant de banalités, ses plans serrés, ses prises de vues qui le définissent. « Vivre pour vivre » a obtenu le Golden Globe du meilleur film étranger tout de même ! Pas difficiles les américains encore sous le charme de « Un homme et une femme ». Reste quand même la séquence où Catherine, Annie Girardot, nous fait part de sa douleur, de ses désillusions et de sa résignation suite à sa séparation avec Robert. Annie Girardot est rayonnante dans la peau d’une femme malmenée, Candice Bergen est pétulante, Yves Montand assure dans la peau d’un homme peu sympathique. Il se murmurerait qu’il aurait aimé rendre sympathique son Robert mais Lelouch a tenu bon. Tant mieux. Je lui reconnais sa bonne direction d’acteurs, ce ne devait pas être évident d'imposer sa direction face à un monstre comme Montand. Vous l’avez compris, ce « Vivre pour vivre » est un des films de Lelouch que je compte sur les doigts d’une main.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 novembre 2015
    Vivre pour vivre est un film particulier dans son montage , comme beaucoup des films de Lelouch et qui s'attaque aux tumultueuses relations hommes femmes . Le personnage de Montand est un séducteur invétérait, jamais réellement éloigné de sa femme interprété avec douceur par Annie Girardot, jusqu'à ce qu'il rencontre une magnifique blonde qui change tout, bouscule tout. La naissance de leur liaison née dans le tumulte d'une bande son bruyante comme la savane qui emporte les deux amants et dans la critique très marqué à l'encontre de la guerre au moment où celle Vietnam faisait des ravages. Puis à l'insouciance des premiers instants apparait l’inquiétude, la difficulté de vivre entre deux femmes et d'être ensevelie entre le mensonge . La crainte de perdre un quotidien calme qu'on connait pour un nouveau monde idéalisé. Yves Montant apparait plus perdu qu’agaçant en Don Juan invétérait, hésitant entre la stabilité charmante et la sublime jeunesse insouciante. Puis il y a ce monologue prononcée face caméra, par le personnage de Girardot, après la révélation, celui d'une femme réaliste faisant face à la tromperie mais aussi à la fin d'un amour qu'elle savait consommée depuis longtemps. Le discours digne et âpre mais si poignant de la femme trompée . Annie Girardot est si belle, naturelle et poignante qu'elle éclipse la blondeur ravageuse de la jeune maitresse. Montand peu à peu voit ce qu'il a perdu au profit de ce qu'il a gagné. La réalité n'est pas à la mesure du rêve et la liaison interdite n'a plus lieu d'être une fois LA femme partie. S’amorce alors la conquête de l'amour et de la compagne de toujours. Ce film est avant tout une ode au talent et à la beauté particulière de Girardot, une actrice pétillante mais si mélancolique parfois qui manquera le cinéma français.
    Hotinhere
    Hotinhere

    410 abonnés 4 728 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 novembre 2020
    Un reporter de guerre marié à une française, rencontre une jeune américaine. Entrecoupé de scènes de reportage choc, un drame sentimental touchant et délicat, malgré quelques longueurs, où tout se joue dans les regards grâce au beau montage de Lelouch, magnifié par l'interprétation d'Annie Girardot. La dernière scène est scène est sublime.
    Golden Globe du meilleur film étranger.
    Roub E.
    Roub E.

    726 abonnés 4 820 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 avril 2021
    Un film dont j’ai décroché au fur et à mesure qu’il avançait. J’ai eu du mal à voir où Lelouch voulait en venir au final et l’histoire de ce couple qui s’éloigne peu à peu m’a désintéressé au fur et à mesure. La musique répétitive a fini par m’agacer et les personnages et intrigues annexes ne m’ont pas emballés non plus. Seule Annie Girardot arrivant à faire vivre cette femme délaissée a réussi à m’accrocher à un film qui de mon point de vue n’est pas dans les réussites de son réalisateur.
    Vincent A
    Vincent A

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2020
    Difficile de succéder à "un homme et une femme" , mon Lelouch préféré, et peut être mon film préféré.
    Mis à part le décalage sociétal entre les années 70 et maintenant, qui pourrait dérouter les plus jeunes, l'analyse de la complexité des rapports amoureux reste d'actualité, et pourrait même séduire Allan Konigsberg...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 mai 2010
    Histoire d'amour entre adultère et pardon, trés avant gardiste pour la fin des années 60. Pour être honnête aucun film de romance n'est arrivé encore a rentrer aussi bien dans l'intimité et les pensés les plus profondes des personnages que celui-ci. Une bande original magnifique qui s'écoule doucement tout le long du film signée Francis Laï. Interprétation original et troublante de Annie girardot et Yves Montant. Ne parlons pas de Candice Bergen qui est époustouflante de beautée. Un Lelouche comme on les aimes avec un casting audacieu et non sans risques.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    13 abonnés 1 376 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 avril 2024
    Grand reporter autant que grand séducteur, Robert mène une vie trépidente et, bien que marié à Catherine, spoiler: on le voit s'adonnant à un safari amoureux au bras de sa nouvelle maitresse (la gracieuse Candice Bergen).

    Voyageur, Lelouch l'est aussi, et c'est en partie à spoiler: Amsterdam
    que va se jouer l'avenir du couple brinquebalant que forment Yves Montand et Annie Girardot. Lelouch ne révolutionne pas l'histoire générale du couple qui s'étiole et de l'adultère. Mais les subtilités de sa mise en scène (quand elle ne s'égare pas!) et son talent de directeur d'acteurs permettent au cinéaste de raconter une histoire sensible à laquelle Girardot et Montand apportent une interprétation tout en nuances. La première tout en dignité et en douleur contenue, le second sur le mode du mari volage et inconséquent spoiler: puis empêtré dans le mensonge.

    Le film peut sembler un peu long (avec des séquences qui sont comme digressives au coeur de la chronique sentimentale) mais contient, sur le toument amoureux, de belles séquences empreintes de vérité et d'humanité.
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