Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Jean-Luc Bertet
Le réalisateur a bien saisi, derrière la banalité du quotidien, la réalité, le pittoresque presque, de ces derniers campagnards. Un film ethnographique édifiant. Et dépaysant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-Luc Douin
C'est avec un mélange de nostalgie et d'émerveillement que nous voyons défiler chez eux [les protagonistes] les saisons et les jours, cette tranche de vie quasi ethnographique.
Libération
par Eric Loret
D'où vient qu'Yvette... ne sent pas le purin (...) C'est que dans ce documentaire (..) on est plutôt au ras du sol, sans jugement, d'un point de vue presque physique qui accompagne les gestes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Franck Garbarz
Chatenay capte des moments formidables (...). La beauté de ce documentaire tient aussi à la dramaturgie, qui affleure peu à peu.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par ME Rouchy
Pendant deux ans, le réalisateur (...) a suivi le quotidien de cette femme étonnante (...) On sort de ce documentaire brut (...) avec le sentiment oppressant d'assister à la fin d'un monde.
Cahiers du Cinéma
par Christophe Beney
L'entreprise, pour n'être pas condescendante, déroule sans surprise son programme, que désennuie à peine une série de photographies gratuites (...) Le renflement du fichu fait pressentir ce qu'une plus grande confiance dans l'enregistrement pur aurait permis d'obtenir.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Filmé avec des sabots, "Yvette, bon dieu !" se tient à la hauteur de ses personnages et a le mérite, dans son travail de complaisance discrète (...), d'épouser la temporalité de la ferme sans jamais instrumentaliser les acteurs.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site www.cinelive.com
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
La Croix
par Marie-Valentine Chaudon
Avec un soupçon de nostalgie, Sylvestre Chatenay pose un regard très tendre sur un monde en voie de disparition, mais comme Yvette, toujours debout et vivant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par La Rédaction
Un documentaire quasi ethnographique (...) Yvette est une figure attachante.
MCinéma.com
par Rémy Batteault
si le réalisateur Sylvestre Chatenay ne manque pas de tendresse à l'égard des personnages qu'il filme, sa réalisation apparaît comme assez terne et manque de relief, voire de point de vue.
Première
par Gérard Delorme
Le film fascine surtout parce qu'il témoigne des derniers instants d'une espèce en voie de disparition. Yvette ne fait que répéter des gestes millénaires mais, après elle, plus personne en France ne le fera.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Mathilde Blottière
Nettement plus convaincant lorsque la caméra se fait oublier (...) ce documentaire dit alors l'âpreté et la douceur mêlées d'une vie soumise aux saisons
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Rien qu'on n'ait pas déjà vu dans plusieurs docu sur le monde rural (...). (...) on a l'impression que le cinéaste, ayant peur d'ennuyer le spectateur, n'a monté que les scènes d'activité intense.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur a bien saisi, derrière la banalité du quotidien, la réalité, le pittoresque presque, de ces derniers campagnards. Un film ethnographique édifiant. Et dépaysant.
Le Monde
C'est avec un mélange de nostalgie et d'émerveillement que nous voyons défiler chez eux [les protagonistes] les saisons et les jours, cette tranche de vie quasi ethnographique.
Libération
D'où vient qu'Yvette... ne sent pas le purin (...) C'est que dans ce documentaire (..) on est plutôt au ras du sol, sans jugement, d'un point de vue presque physique qui accompagne les gestes.
Positif
Chatenay capte des moments formidables (...). La beauté de ce documentaire tient aussi à la dramaturgie, qui affleure peu à peu.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Pendant deux ans, le réalisateur (...) a suivi le quotidien de cette femme étonnante (...) On sort de ce documentaire brut (...) avec le sentiment oppressant d'assister à la fin d'un monde.
Cahiers du Cinéma
L'entreprise, pour n'être pas condescendante, déroule sans surprise son programme, que désennuie à peine une série de photographies gratuites (...) Le renflement du fichu fait pressentir ce qu'une plus grande confiance dans l'enregistrement pur aurait permis d'obtenir.
Chronic'art.com
Filmé avec des sabots, "Yvette, bon dieu !" se tient à la hauteur de ses personnages et a le mérite, dans son travail de complaisance discrète (...), d'épouser la temporalité de la ferme sans jamais instrumentaliser les acteurs.
Ciné Live
Voir le site www.cinelive.com
La Croix
Avec un soupçon de nostalgie, Sylvestre Chatenay pose un regard très tendre sur un monde en voie de disparition, mais comme Yvette, toujours debout et vivant.
Le Figaroscope
Un documentaire quasi ethnographique (...) Yvette est une figure attachante.
MCinéma.com
si le réalisateur Sylvestre Chatenay ne manque pas de tendresse à l'égard des personnages qu'il filme, sa réalisation apparaît comme assez terne et manque de relief, voire de point de vue.
Première
Le film fascine surtout parce qu'il témoigne des derniers instants d'une espèce en voie de disparition. Yvette ne fait que répéter des gestes millénaires mais, après elle, plus personne en France ne le fera.
Télérama
Nettement plus convaincant lorsque la caméra se fait oublier (...) ce documentaire dit alors l'âpreté et la douceur mêlées d'une vie soumise aux saisons
Les Inrockuptibles
Rien qu'on n'ait pas déjà vu dans plusieurs docu sur le monde rural (...). (...) on a l'impression que le cinéaste, ayant peur d'ennuyer le spectateur, n'a monté que les scènes d'activité intense.